Critique De La Politéia D Aristote

elles n'en expliquent pas la raison d'être, ni ne parviennent à surmonter certaines contradictions ontologiques et épistémologiques. Platon adopte plusieurs attitudes à cet égard, selon la nature de l'explication. Ainsi, dans le Phédon, Socrate critique-t-il la thèse d'Anaxagore de l'organisation du monde, du fait de l'insuffisance de son explication des causes de cette organisation. En revanche, Platon adhère à la thèse héraclitéenne du devenir, mais en montre les limites : d'une part, cette thèse

politique au sens large du terme qui va rendre cette réforme possible et nécessaire, une crise politique et sociale totale, la stasis. Les citoyens qui régissent leurs affaires sont amenés à réfléchir au meilleur système politique, à la meilleure politeia, c'est-à-dire la meilleure façon de s’organiser pour surmonter cette crise multiple. ------------------------------------------------- Les origines de la démocratie athénienne : la crise de la cité grecque[modifier | modifier le code] La démocratie

politique au sens large du terme qui va rendre cette réforme possible et nécessaire, une crise politique et sociale totale, la stasis. Les citoyens qui régissent leurs affaires sont amenés à réfléchir au meilleur système politique, à la meilleure politeia, c'est-à-dire la meilleure façon de s’organiser pour surmonter cette crise multiple. Les origines de la démocratie athénienne : la crise de la cité grecque La démocratie trouve son origine dans la grave crise de la cité grecque et les mutations

référence a la coutume, sous forme d écriture cunéiforme. On ne connait pas les domaines juridiques concernés par la coutume. Peu d info sur la coutume en Grèce, emploi de l expression de loi non écrite. Ethos terme employé pour la coutume en Grèce, pour Aristote, ce qui est fait de façon répété et accepté par tous. 2- Rome Coutume existe dès l époque archaïque, existait sous l empire MORES GENTIUM. Les coutumes régissaient la vie familiale, du moins en partie. A partir de l époque classique, on retrouve

définitif. 1880 Décret de cours obligatoire 1896 Création d'un corps d'enseignant spécifique. Avant il y avait un enseignement romain ( a vocation technique, mise en place des technique) A partir de la fin du 19 siècle Plus vocation d'explication/ critique du droit positif ( privilégie les sources) avant que cela ne soit remis en cause au profit de la recherche sociologique, droit comme une résultante de force dans une société. Ouverture au moyen age et à l'ancien régime depuis le 19eme/20eme. II-

d’Aristote. Aristote est un philosophe grec du 4ème siècle avant JC : 384 – 322. Dans ses ouvrages ; Ethique à Nicomaque et La Politique, Aristote cherche à classer de façon empirique les différentes constitutions et à les juger d’un point de vue moral : quelle est la meilleure et la plus juste des formes de gouvernement ? Il distingue les formes ayant pour but la justice dans le sens de l’intérêt commun, et celles qui ne visent que l’intérêt personnel des dirigeants. Selon Aristote, il existe trois

conscience comme fondement de la philosophie : À partir de Kant, les réflexions sur la conscience dominent la scène philosophique. Les diverses conceptions de la conscience s’opposent, mais le primat de celle-ci demeure incontestable. -         Les critiques de la conscience : La conscience morale a pu être contestée comme n’étant rien d’autre qu’ensemble de préjugés, d’opinions, d’interprétations ou encore comme intériorisation de l’autorité. Le concept de conscience né avec la philosophie classique

(ex : ex Yougoslavie). La distinction entre la guerre et la politique est toujours assez floue. SECTION 2 : FAIRE DE LA POLITIQUE UN OBJET DE SCIENCE A) Science et politique avant la science politique 1) des filiations possibles ARISTOTE essaye de comprendre les phénomènes politiques en les comparant et essaye de construire la comparaison sur des critères rigoureux et comparables. C’est ce qu’il fait dans sa typologie des régimes politiques où il classe les régimes politiques en

démesure (l’hubris des Grecs), il n'en reste pas moins que, enracinée dans la vie politique, elle représente, si on peut dire, le reflet des problèmes que celle-ci rencontre. Dès lors, on pourra toujours dire, à l'instar de Hegel dans l'Essence de la critique philosophique, que l'opinion rejette l'opinion et qu'elle se présente comme un adversaire sourcilleux de ne pas laisser autrui venir sur son terrain ; à ce compte,6 l'opinion ne saurait rendre compte, comme tout ce qui provient de l’immédiateté

l’autorité souveraine de la loi. La loi, disent les sophistes, n’est toujours que la loi d’une Cité. La loi est donc relative. Or, étant relative, dès lors, la loi ne peut plus avoir un caractère d’universaliste et d’autorité indiscutable. Face à cette critique fondée, Socrate répond que les lois sont simplement perçues comme relatives, mais au fond, toutes se soumettent à des principes universels, non écrits, qui valent pour toutes les Cités. Socrate va toute sa vie défendre le Nomos de toutes ces attaques