Critique De La Politéia D Aristote

n'est pas applicable dans tous les pays → spécificité des pays → un régime sur-mesure semble + approprié. Section 1 : La pensée antique Très tôt les grecs ont réfléchi sur la question de régime → dès les pré-socratiques. Les écrits de Platon et Aristote s'appuient sur la question politique inaugurée précédemment. Ces auteurs ont considéré que cette étude portait sur la structure même des régimes et sur leur finalité = ce qu'ils visent → le bien commun ? I- Platon Philosophe idéaliste. Il a envisagé

(1995). Remontant bien au-delà de Marx et jusqu'à la relation entre Platon et Aristote, Rancière y mettait en lumière la difficulté que la philosophie éprouve depuis toujours à penser la politique et il exposait l'origine de cette difficulté. Selon Rancière, la nature de la politique réside dans un certain conflit entre les hommes, et ce conflit a trait précisément à leur humanité. Dès que l'on a reconnu avec Aristote que l'homme est un animal politique (zôon politikon) et que, « seul de tous les

national socialisme. La société close symbolise plus qu’une société utilitariste, elle symbolise un rejet de la civilisation pour revenir à quelque chose de plus archaïque, elle rejette également le progrès comme quelque chose d’hypocrite. Mais critiquer le progrès n’est pas quelque chose de mauvais en soi. Pour lui, la genèse de cette époque était plus prête à une extériorisation de la violence pour grandir. L’ivresse de la violence contribue à occulter une impuissance sur le propre cours de sa

supérieur et l'inférieur se fonde sur la réciprocité. L'amitié civique est la traduction sur le plan affectif de la justice comme proportionnalité entre les biens et les personnes ou égalité des rapports, unité et organisation objective de la cité (Aristote) • Le genre humain Il y a une société du genre humain comme expression d'une nature humaine universelle qui fonde un droit naturel. Contre l'opposition de la nature et de la loi, le stoïcisme s'attache à l'idée de cosmos comme ordre

situation : je m'imaginais qu'aussitôt devenu maître de moi-même, j'irais tout droit m'occuper des affaires communes de la cité. Et voilà comment le hasard fit que je trouvai les choses de la cité. Le régime d'alors était en effet l'objet de virulentes critiques de la part du plus grand nombre, et une révolution éclata. (…) Et moi, voyant donc cela, et les hommes qui s'occupaient de politique, plus j'examinais en profondeur les lois et les coutumes en même temps que j'avançais en âge, plus il me parut qu'il

pas de politique, il ne fait qu’interpréter la politique. B) Les grands ancêtres reconnus Il faut distinguer les grands penseurs reconnus comme des précurseurs, et ceux qui sont plus constructiviste. Un ancêtre de la science politique serait Aristote. Il est le premier a séparé l'approche moral et religieuse du politique. Il propose une analyse avec une réflexion concrète et classifiée. Il ne prend pas parti dans ses réflexions. On trouve aussi dans Machiavel une réflexion politique dans «le

faut comprendre les interactions entre les institutions et la culture politique. Comment ces deux interagissent. Ex : Au RU, comment le système électoral a eu une influence sur le bipartisme. Questionnement du sens commun. Entretien d’un rapport critique par rapport aux flots d’informations délivrés par les medias pour les analyser. Irak : o comment les US, régime démocratique, peuvent-ils prendre l’initiative de déclarer à la guerre à un pays qui ne l’a pas agressé militairement ? o Quels sont les

avait 700 cités. Chaque cité va avoir son propre peuple, sa propre organisation, ses propres institutions politiques et chaque cité va être indépendante et souveraine par rapport aux autres cités du monde grec. La cité grec est une cité fermé. Aristote pense que la vie au sein de la cité est "une nécessité naturelle". L’avènement de la vie au sein de la cité est dont un phénomène naturel, quasiment physique et spécifiquement humain. Il y a une volonté des individus de se placer sous une loi commune

situation : je m'imaginais qu'aussitôt devenu maître de moi-même, j'irais tout droit m'occuper des affaires communes de la cité. Et voilà comment le hasard fit que je trouvai les choses de la cité. Le régime d'alors était en effet l'objet de virulentes critiques de la part du plus grand nombre, et une révolution éclata. (…) Et moi, voyant donc cela, et les hommes qui s'occupaient de politique, plus j'examinais en profondeur les lois et les coutumes en même temps que j'avançais en âge, plus il me parut qu'il

philosophie politique s’efforce de mettre en évidence, il est intéressant de voir comment les philosophes ont conçu la typologie des régimes aux étapes clefs de l’histoire de la philosophie politique. 1.1. La typologie d’Aristote (Les Anciens) Aristote a conçu une typologie des régimes politiques adaptée au cadre de la cité antique ; il distinguait trois types de régimes politiques en fonction du mode de répartition des fonctions politiques : la monarchie, l’aristocratie, la démocratie. Le critère