Critique De La Politéia D Aristote

contemporaine de la citoyenneté. 1. EVOLUTION HISTORIQUE DE LA NOTION 1.1. Grèce antique La figure du citoyen est très forte dans la Grèce antique. Sur le plan de la philosophie constitutionnelle, on en trouve la plus forte affirmation dans la politeia d’Arisote. La vision du citoyen est cependant très aristocratique. Il s’agit d’un homme libre qui participe directement à la gestion des affaires publiques ; tour à tour gouvernant ou gouverné, il délibère sur l’Agora, se réunit dans l’Eclésia et

politique par elle-même (qui va au-delà d'une simple description). (Idée à vocation politique). Lorsqu'une pensée cherche à justifier ou à critiquer les institutions politiques, cette pensée est elle-même politique. L'idée politique peut constituer successivement une description de la cité réelle ou idéale, une justification des institutions ou l'instrument d'une critique du pouvoir et lorsqu'une idée politique paraît avoir été transposée dans la réalité institutionnelle, il semble qu'il existe toujours

LES CITOYENS Introduction - Les sources : Aristote, La Constitution des Athéniens Plutarque, La Vie de Lycurgue Xénophon, La Constitution des Lacédémoniens - Généralités sur la citoyenneté Les citoyens sont une minorité. Les femmes, les enfants sont exclus ; et parmi les hommes, seuls les hommes libres et nés sous certaines conditions sont citoyens. L’ensemble des règles qui régissent la citoyenneté s’appelle la politeia, c’est-à-dire, la constitution d’une cité mais également

capacité à être entendu et obéit. La question de l’obéissance dans le commandement est donc importante dans la définition du pouvoir. Différenciation entre gouvernants et gouvernés : peut être réversible en société. La spécificité du politique : (Aristote) « C’est une erreur de penser qu’il n’y a pas de différence entre une grande famille et une petite cité ».  -> De manière qualitative : la cité est une communauté politique donc pas les mêmes liens entre individuels. (Famille, liens du sang : ancêtres

politique au sens large du terme qui va rendre cette réforme possible et nécessaire, une crise politique et sociale totale, la stasis. Les citoyens qui régissent leurs affaires sont amenés à réfléchir au meilleur système politique, à la meilleure politeia, c’est à dire la meilleure façon de s’organiser pour surmonter cette crise multiple. Les origines de la démocratie athénienne : la crise de la cité grecque La démocratie trouve son origine dans la grave crise de la cité grecque et les mutations

| |1.1 Aristote : la classification des pouvoirs | |1.1.1 Contexte | |1.1.2 Contenu | |1.1.3 Critique

dans un optique généraliste). Ex : Antigone (Sophocle) va enterrer son frère malgré l'interdiction de Néron, oppose la morale à la loi des hommes (réflexion philosophique). = à l’origine de la pensée politique. Politique = polis (la cité), politéia (organisation de la cité). Unité socio-politique des grecs = la cité c’est à dire que la pensée politique grecque ne peut pas se comprendre en dehors de la cité. La cité = libre, correspond à une ville, vit en autarcie. Athènes domine l’Attique

démarche respective consistant à appréhender philosophiquement l’état social auquel s’oppose l’état de nature. Le premier constat que l’on peut tirer de la comparaison entre ces deux auteurs qu’un siècle sépare est qu’ils s’accordent, contrairement à Aristote, sur le fait que l’homme à l’état de nature ne naît pas avec une prédisposition naturelle à s’assembler : l’homme n’est pas un zoón politikon (un animal social) par nature. Cependant, à partir de ce postulat commun, la conception de l’homme seul

relatif à l’idée qu’il se fait de la Justice. Prenons l’exemple des différences pratiques qu’impliquent les divergences de philosophie politique entre Platon & Aristote. Si le second, auquel on doit une distinction entre Justice distributive et Justice corrective ou encore la théorie du « juste milieu », semble défendre une démocratie modérée (politéia), les avis sur le premier sont particulièrement controversés, certains penseurs, même, n’hésitant pas à taxer ses idées politiques[5] de « totalitaires »…

peuvent pas etre punis Le droit s'applique à tous les individus alors que la morale est unique à chacun. Différence Morale/Droit VOIR TABLEAU DONNER EN COURS D) Le Droit et l'équité - Equité = C'est une notion mathématiques inspirée de l'oeuvre d' Aristote. C'est l'égalité proportionnelle → chacun a ce qu'il mérite pour que tout le monde soit satisfait. - Pour les Romains, le droit est ce qui est équitable: - Celse « Le droit est l'art du bon et de l'équitable » - Ulpien « faire reconnaître