Controle Interne Ong

humanitaire des ONG SOMMAIRE INTRODUCTION I- Les avantages des réseaux sociaux dans la communication humanitaire: la communication externe 1. Outils et objectifs 2. Le Buzz 3. Le Fundraising II- Les Limites rencontrées 1. Méfiance et désintérêt du public 2. Les Dangers de l’interactivité : l’e-reputation 3. La révolution KONY 2012 III- Les enjeux et cas pratique 1. Interview d’une société de production : NTGM PROD 2. Vers une communication éthique et transparente 3. ONG et RSE,

financières, scientifique, etc... Définition des relations internationales : échanges, flux de toutes nature qui traversent les frontières des Etats et échappent au contrôle d’un seul Etat. Les frontières aujourd'hui disparaissent sous certains aspects, par exemple les frontières juridiques ( plus de douane mais des contrôles) , l’internet (non contrôlé par l’Etat, sauf pour quelques uns : la Chine). La frontière n’est plus une protection, mais elle reste un répartiteur d’espace international, politique. C’est

les sociétés internes (ce sont des sociétés homogènes). Il y a un aspect segmenté des RI car elles sont parcellaires ou temporaires : on y circule alors qu’on vit dans une société interne. La mondialisation n’est pas une fusion car il n’y a pas automatiquement d’entente et d’amalgame. • Observation sur l’Etat et sa double nature. L’Etat appartient aux deux types de sociétés. Il donne un sens à cette distinction. Il est à la fois le cadre des organisations des sociétés internes et le visage

l’Assemblée parlementaire : Ex : rapport critique D’alvaro Gil Robles de 2006 sur la situation des détenus dans les prisons françaises  La Conférence des OING (organisations internationales non gouvernementales) Environ 400 ONG sont membres de cette conférence. Certaines ONG ont un statut consultatif, d’autres ont un statut participatif. Dans ce dernier cas, elles peuvent participer aux travaux du Conseil de l’Europe. La Conférence se réunit 4 fois par an. (la dernière conférence portait sur

Identification qu’il y soit un problème ou une opportunité par rapport à l’activité de l’entreprise. - Processus de décision doit suivre des étapes successives et l’articulation des deux logiques. - Conséquences sur l’ensemble des parties prenante (interne/ externe) - Les parties prenantes vont vouloir influencer la décision pour favoriser leurs intérêt ou leur attente souvent contradictoire. - Le manageur devra arbitrer entre les parties prenantes. III/ Les parties prenantes

de l’homme et la Commission Africaine des droits de l’homme et des peuples se sont-elles dotées de leurs règlements intérieurs respectifs. Précisons que le règlement intérieur est une résolution déterminant les méthodes et règles de travail internes qui doivent être observées dans le fonctionnement d’une assemblée, d’un conseil d’un organe complexe ou d’un ordre. Si à la lecture des deux textes de règlement, il apparaît que les deux institutions agissent de façon suffisante dans le domaine des

pratiques de GRH dans les ONG. Dans cette perspective, des approches distinctes ont été (souvent) retenues en fonction du type d’acteur concerné (salariés France, volontaires/salariés expatriés, salariés nationaux). Certaines problématiques sont, en effet, spécifiques à certains types d’acteurs. • Formuler des recommandations et des conseils applicables par la majeure partie des ONG : celles qui ont des ressources (humaines et financières) importantes mais surtout les ONG de petite taille qui font

charge le contrôle. Il y a à la fois une division verticale du travail distinguant les concepteurs et les exécutants et une division horizontale les tâches sont spécialisées et parcellisées. __ Recourir à des méthodes scientifiques pour déterminer la besogne de chacun (exactitude et précision des tâches) __ Choisir l’individu le mieux qualifié __ Former l’individu à l’efficacité et le payer correctement. __ Surveiller les performances individuelles et collectives (rôle de contrôle du contremaître)

organisation, dans le sens où elle traduit une forme de coordination entre des intérêts divers, voire divergents, mais toujours contraints de collaborer ensemble. Organisations non gouvernementales (ONG), mouvements sociaux, réseaux militants transnationaux, opinion publique internationale Les ONG, les mouvements sociaux et les réseaux militants transnationaux se sont multipliés avec le développement des institutions internationales. Créées par les Etats pour servir leurs intérêts communs, celles-ci

dont les entreprises interagissent avec leurs parties prenantes internes et externes. Elle prend en compte la notion de développement durable. Celui-ci est défini comme « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». Elle intègre également la notion de « parties prenantes ». Il s’agit pour l’entreprise de considérer l’ensemble des acteurs internes et externes sur lesquels l’activité de l’entreprise peut avoir des