Controle Interne Ong

humaines. Ce diagnostic peut permettre aux entreprises d’assumer leur responsabilité sociale en améliorant les conditions de travail. Cette amélioration passe par la crédibilité et les compétences du management, la transparence de la communication interne, le respect des valeurs de chacun, la répartition équitable des opportunités telles que la rémunération, la formation (Benraïss, Peretti, 2003). Les entreprises socialement responsables ont une meilleure image et bénéficient d’un jugement favorable

Demander des comptes aux entreprises peut passer par des nouvelles lois et règlementations, nationales ou supranationales, mais aussi par des pressions de la société civile (ONG) ou de certains actionnaires qui exigent plus de transparence. Les effets négatifs des activités des entreprises sont souvent dénoncées par des ONG et/ou syndicat; les multinationales bien que puissantes sont dépendantes de leur image. Elles courent alors le risque de réputation. L'évolution de la jurisprudence, les procès

pressions politiques, ceci au même titre que les discussions de couloir aux USA entre le Congrès et le Président, des discussions afin d’obtenir des faveurs supplémentaires des Etats au détriment de leur souveraineté et de leur droit d’ouvrir un procès interne. b) Le détournement de l'autorité du Conseil de Sécurité par les Etats L’auteur décrit certains comportements, notamment « les Etats Unis ont su exercer une pression efficace sur les nouvelles autorités de la Fédération Yougoslave ». Les USA

. 21 3.2. Environnement légal et réglementaire................................................................................... 21 3.2.1. Situation juridique des IMF : problèmes et aménagements souhaités ............................. 21 3.2.2. Contrôle et supervision des IMF .................................................................................. 22 3.2.3. Dispositifs réglementaires non spécifiques aux IMF....................................................... 22 3.3 Options du Gouvernement

concerne l'ouvrage de M. KAMTO, les EIE y sont traités de façon générale. En effet, cet ouvrage ne se borne qu'à définir cette nouvelle approche environnementale. Il mentionne son champ d'application, son élaboration, son contenu, la procédure de son contrôle et enfin dégage ses effets. Analysant le concept d `étude d'impact, M. KAMTO18, pense que « l'étude d'impact est assurément l'institution la plus spécifique et sans doute aussi la plus originale du droit de l'environnement »19. Dans un premier temps

........................................................................ 79 Plan d’action pour vérifier que le nouveau référentiel est bien appliqué. ............................. 80 5. Outil de cartographie et d’évaluation du cadre de contrôle interne.........................82 5.1. 5.2. 5.3. 5.4. 5.5. 5.6. Objectifs ............................................................................................................................... 82 Index ....................................

membres (généralement des Etats). Ces zones d'intégration régionales sont composées d'Etat et transcendent les limites entre les états. Ces zones sont multiformes. Tout processus d'intégration régionale doit travailler à l'abaissement des obstacles internes, harmonisation des frontières, etc. Ce qui abouti à une interdépendance et favorise l'interrelation. Modalité, étapes ou alternative au processus de mondialisation ? Ces organisations régionales peuvent être interprétées de différentes façon. Pour

d’une vie collective dépassant les intérêts individuels, les associations permettent d’insérer le citoyen dans l’exercice de la citoyenneté.Mais l’association est de nature à susciter l’inquiétude de l’Etat qui a toujours tenté de la placer sous son contrôle pour raisons de sécurité publique • Quelle était la place de la liberté d’association dans le passé ? De quand date sa pleine reconnaissance ? Comment s’est faite cette reconnaissance ? • Quelle effectivité de la liberté d’association

essentiellement les acteurs transnationaux qui s’affirment – FTN, institutions supranationales, ONG, organisations criminelles… - défiant les Etats sur les terrains traditionnels de la puissance, y compris le terrain armé si on prend l’exemple des groupes terroristes et mafieux. · Les ONG (ex cités : Greenpeace et Oxfam) Elles agissent en tant que véritables « entrepreneurs de cause » et détiennent

D’UNE CULTURE »............... 11 1. 2. 3. IL N’Y A PAS « ONE BEST-WAY » POUR GÉRER ET ORGANISER LE TRAVAIL COLLECTIF .....11 EXPLICITER CES DIMENSIONS POUR INVENTER DES MODES DE GESTION HYBRIDES ...........12 POUR UNE POLITIQUE INSTITUTIONNELLE DES ONG DU NORD ...........................................13 LE MANAGEMENT INTERCULTUREL DANS LES PROJETS INTERNATIONAUX ................................................................................................. 15 INTRODUCTION ................