Controle Interne Ong

ressources « de premier degré » (la terre, l’argent, la main-d’œuvre), des ressources « de deuxième degré » (les contacts stratégiques entretenus avec les acteurs, qui contrôlent les ressources de premier degré). Les ressources de premier degré sont contrôlés par les « patrons » et les ressources de deuxième degré par les « courtiers ». Pour son rôle dans la transmission de l’information, le courtier reçoit une commission, qui consiste souvent en services rendus en retour et pas en une rémunération en

science politique interne aux États). L'idée de puissance ouvre un type d'analyse qui ne part pas de petites questions, mais est essentielle pour les comprendre. Pour parler ce ces petites questions, il faut une vision globale, internationale, et à partir de là, construire des cadres d'analyses. L'international doit s'étudier autour de la notion de puissance (comme la domination dans le cadre étatique). Dans le monde, il y a des différentiels de puissance, cf. Weber en interne lorsqu'il parle du

fonctions de coordination entre les différents départements ; le choix des priorités et des moyens. • Les directeurs vont avoir la responsabilité de définir la stratégie de l’entreprise ; ils assurent que les objectifs sont atteints ; il faut donc les contrôles de l’efficacité de l’entreprise. La direction générale est concernée par l’efficacité de l’ensemble de l’entreprise plutôt qu’à la productivité de chaque unité. Elaborer sa stratégie d’entreprise c’est choisir les domaines d’action stratégique

préliminaire 2. Evolution historique du terme 3. Les composantes de la société civile 4. Les caractéristiques de la société civile 5. Le rôle et les fonctions de la société civile 5.1 La fonction de protection 5.2 La fonction de contrôle 5.3 La fonction de participation 5.4 La fonction d’allègement de l’Etat 5.5 La fonction d’articulation 5.6 La fonction de démocratisation 5.7 La fonction de gestion et de règlement des conflits sociaux 6. les instruments de la

nous a donc fallu réfléchir à quels enjeux géopolitiques étaient apportés. Tout d’abord, notre première réflexion se pose sur la multinationalité de la forêt amazonienne comme montrée ci-dessus, et par cela, la question des frontières. De plus, le contrôle quasi exclusif du Brésil dans l’exploitation forestière de la région apporte des tensions entre le Brésil et ses voisins. Un autre enjeu, encore plus local et d’autant plus actuel, est l’impact social engendré par la surexploitation de la forêt amazonienne

faits, Economica, 1997(a), p. 1. 2. CHARREAUX G., «Vers une théorie du gouvernement des entreprises», in Le gouvernement des entreprises: corporate governance, théories et faits, Economica, 1997(b), p. 427. 3. GLYNN J.F., Public sector financial control and accounting, Cambridge MA: Blackwell Publisher, 2nd Edition, 1993, p.98. 4. CARASSUS D. ET GREGORIO G., «Gouvernance et audit externe légal: une approche historique comparée à travers l’obligation de reddition des comptes», Communication aux

. 12 5.1. Nouveau constat d’échec à Manhasset .............................................................. 12 5.2. Volonté américaine de poursuivre les négociations........................................ 13 6. Un cruel manque de démocratie interne........................................................ 14 6.1. Colère après la suspension des négociations.................................................... 14 6.2. Contestation de la légitimité du Front Polisario............................

c’est une nécessité mais il ne constitue pas sa finalité. L’existence d’un profit permet de juger de l’efficacité d’une décision tandis que l’absence de profit la disqualifie. B. Les facteurs d’influence de la finalité de l’entreprise facteurs internes : les statuts et l’histoire de l’entreprise, sa culture, les valeurs personnelles et les aspirations des dirigeants, guident en profondeur la définition des finalités (quand une entreprise change de dirigeants, les finalités sont modifiées) mais

firmes 2) Grandes firmes ayant subi des actions d’ONG II) États et ONG contre les multinationales, quels moyens pour lutter ? ………….. p.5 1) Les contre-pouvoirs 2) Les ONG, montée en puissance et doutes III) Étude de cas de deux firmes multinationales ...………………………………… p.8 1) Description des deux sociétés 2) Implantation et investissements 3) Différents projets, impacts écologique et stratégie 4) Société, économie et ONG Conclusion : ……….……………………………………………………………………… p.13 Bibliographie :

réduits au minimum pour revaloriser le travail du producteur. Pour le consommateur c’est aussi une garantit d’avoir sur sa table un produit dont il connaît l’origine et le “juste” contexte de sa production. Pour plus de cohérence, certaines de ces ONG se sont regroupés en un label international : Fairtrade / Max Havelaar. L’association n’intervient pas directement dans la commercialisation des produits équitables mais permet la mise en relation des producteurs équitables du sud et des professionnels