Barthelemy De Las Casas

Catolicos, en donnant « une image à la fois édifiante et dramatique (...) intéressante certes, mais brossée à très grands traits, sans beaucoup de nuances »[11]. Parmi ceux qui ont vécu aux côtés de l'Amiral on recense les livres de Bartolomé de Las Casas, Fernand Colomb et Gonzalo Fernández de Oviedo y Valdés. C'est sur ces publications du XVIe siècle que se sont appuyés en premier lieu tous les travaux historiques postérieurs et c'est grâce à eux qu'il est possible aujourd'hui de reconstituer ce

Caloucaera rebaptisée Santa Maria de Guadalupe de Estramadura); en partant vers le nord-ouest en direction de Hispaniola, il aperçoit la petite 'île de Montserrat, un peu plus au nord La Antigua, et La Barbuda. Le 11 novembre 1493, c'est l'île Saint-Barthélemy qui est en vue (du nom de son frère), ainsi que l'île Saint-Martin, au nord-ouest Saint Croix (qui fait actuellement partie des îles Vierges américaines). En avril 1494, vers l'ouest il découvre Porto Rico et La Jamaïque. Il tombe malade pendant

Reyes Catolicos, en donnant « une image à la fois édifiante et dramatique (…) intéressante certes, mais brossée à très grands traits, sans beaucoup de nuances »14. Parmi ceux qui ont vécu aux côtés de l'Amiral on recense les livres de Bartolomé de Las Casas, Fernand Colomb et Gonzalo Fernández de Oviedo y Valdés. C'est sur ces publications du xvie siècle que se sont appuyés en premier lieu tous les travaux historiques postérieurs et c'est grâce à eux qu'il est possible aujourd'hui de reconstituer ce

la modeste mise de fond initiale requis. Le voyage inaugural de Colomb est celui qui est le mieux connu des historiens. Deux documents écrits permettent de suivre les navires de l'explorateur : le Journal, dans la version donnée par Bartolomé de Las Casas, et la lettre à Santangel, écrite le 14 février 1493 sur la route du retour, sorte de bilan de son expédition adressée en Espagne. Par ailleurs, à compter de 1938, l'amiral américain Samuel Eliot Morison a entrepris de refaire le périple du Génois

retour, souffrant en particulier d'une très invalidante goutte, ce qui l'empêche dans un premier temps de se rendre à la cour royale qui s'est installée à Medina del Campo. De Séville, où il s'est installé, il y envoie son fils Ferdinand et son frère Barthélémy afin qu'ils « s'occupent de ses affaires »70. Il reste en contact avec eux par lettres et par l'envoi d'émissaires, dont Amerigo Vespucci. Il travaille à essayer de faire reconnaître ses droits et les richesses qui lui reviennent. Il peut lui-même

Catolicos, en donnant « une image à la fois édifiante et dramatique (...) intéressante certes, mais brossée à très grands traits, sans beaucoup de nuances »[13]. Parmi ceux qui ont vécu aux côtés de l'Amiral on recense les livres de Bartolomé de Las Casas, Fernand Colomb et Gonzalo Fernández de Oviedo y Valdés. C'est sur ces publications du XVIe siècle que se sont appuyés en premier lieu tous les travaux historiques postérieurs et c'est grâce à eux qu'il est possible aujourd'hui de reconstituer ce

Reyes Catolicos, en donnant « une image à la fois édifiante et dramatique (...) intéressante certes, mais brossée à très grands traits, sans beaucoup de nuances »[]. Parmi ceux qui ont vécu aux côtés de l'Amiral on recense les livres de Bartolomé de Las Casas, Fernand Colomb et Gonzalo Fernández de Oviedo y Valdés. C'est sur ces publications du XVIe siècle que se sont appuyés en premier lieu tous les travaux historiques postérieurs et c'est grâce à eux qu'il est possible aujourd'hui de reconstituer ce

de tous les voyages maritimes du temps (...) aucun ne peut être connu (...) avec tant de minutie et de sérieux. »[28] Deux documents écrits permettent de suivre les navires de l'explorateur : le Journal, dans la version donnée par Bartolomé de Las Casas, et la lettre à Santangel, écrite le 14 février 1493 sur la route du retour, sorte de bilan de son expédition adressée en Espagne. Par ailleurs, à compter de 1938, l'amiral américain Samuel Eliot Morison a entrepris de refaire le périple du Génois

La Saint Barthélémy de François Dubois, où un authentique massacre de protestants est dénoncée, ou dans le poème Les Tragiques d’Agrippa d’Aubigné, un poème engagé où l’auteur fait une allégorie en comparant le parti protestant et le parti catholique, qui est vu comme le créateur du conflit, certes, à deux frères qui se battent dans le sein de leur mère, la France. De même, Montaigne à pris parti, dans ses Essais, pour le dilemme de la Conquête de l’Amérique, faisant écho à de las Casas, montrant

quelle créature a une âme (=est un homme) ? -tous ne reconnaissent pas l’humanité (morale) dans tout homme (biologique). Sepulveda, Théologien catholique défendant la conception issue d’Aristote : les indiens ne sont pas des hommes véritables. Las Casas, moine dominicain qui défend une conception humaniste : les indiens sont des hommes. -Remarque : Aucun ne remet en cause la distinction sauvage / civilisé c-« L’opposition du civilisé et du primitif » L’opposition primitif/civilisé : développée