ô Tourment

SURLAPIERRE mdre une ouverture sur une belle utopie : une p, :61, m note dans sa conclusion. op. cit., p. 268 : « Je donnerais "'lotre Dame - et la Colonne par-dessus le marché - pour ..,. : maison faite ama guise quej'occuperais seul, au centre~ d:are, o\lj'aurais de l"eau, de l'ombre, de la pelouse et du~ lA--dedans une statue, ce ne serait ni un Jupiter, ni un .1 sieurs ; ni des vues de Londres, de Rome, de Constanti ve d'y demeurcr ! J'y menrais ce qui manque : la 1Cvres, des vaches, des moutons

| |Ô beaux yeux bruns, ô regards détournés, |On voit mourir toute chose animée, |Je vis, je meurs : je me brûle et me noie. |Tout aussitôt que je commence à prendre |Diane étant en l’épaisseur d’un bois, | |Ô chauds soupirs, ô larmes épandues, |Lorsque du corps l’âme subtile part : |J’ai chaud extrême en endurant froidure : |Dans le mol lit le repos désiré, |Après avoir mainte bête assenée, | |Ô noires

matières    LA GRECE ET LA SICILE o L'Oubli o HERCULE ET LES CENTAURES  Némée  Stymphale  Nessus  La Centauresse  Centaures et Lapithes  Fuite de Centaures o La Naissance d'Aphrodité o Jason et Médée o ARTEMIS ET LES NYMPHES  Artémis  La Chasse  Nymphée  Pan  Le Bain des Nymphes o Le Vase o Sphinx o ÉPIGRAMMES ET BUCOLIQUES  L'Esclave  Les Bergers  Le Coureur ROME ET LES BARBARES o Pour le Vaisseau de Virgile o Villula o À un Triomphateur o ANTOINE ET CLEOPATRE  Le Cydnus  Soir

plainte indomptable et sauvage. Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets : Homme, nul n’a sondé le fond de tes abîmes ; Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes, Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets ! Et cependant voilà des siècles innombrables Que vous vous combattez sans pitié ni remord, Tellement vous aimez le carnage et la mort, Ô lutteurs éternels, ô frères implacables ! Arthur RIMBAUD Demeny (second cahier de Douai) - «Le Dormeur du Val » (1870)

je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, 10 D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par des voeux assidus je crus les détourner : Je lui bâtis un temple, et pris soin de l'orner ; De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée, 15 D'un incurable amour remèdes

Le Romantisme est souvent traditionnellement associé au lyrisme; à l'expression des extases, des tourments du cœur et de l'âme afin de dévoiler ses peurs et ses états d'âme. Cependant l'expression de ses sentiments intimes est-il le seul objectif de l'artiste romantique? N'aurez t-il pas d'autres finalités ?Nous verrons d'abord que l'artiste romantique a bien comme objectif de mettre son âme à nu et de dévoiler son amour, sa peur de la mort et son sentiment d'être différent,exclu de la société;

doux turbantibus aequora ventis les vents troublant les flots mari magno sur la haute mer e terra spectare de contempler de la terre magnum alterius laborem; le grand effort d’autrui ; non quia vexari quemquam non parce que quelqu’un soit tourmenté est jucunda voluptas, est un plaisir agréable, sed quia cernere suavest mais parce qu’il est doux de discerner quibus ipse malis careas à quels maux soi-même on échappe. Suave etiam Il est doux aussi belli certamina magna tueri de voir les grands

l’empoisonne n’a plus le courage de jouer de la musique, jusqu’à ce qu’une voix pénètre son âme, cette voix appartient à la chanteuse d’opéra Mme Haeser très adulée en Italie. Elle représente dans ce récit une sorte de bénédiction du ciel, quand le tourment est trop intense, elle est comparée à un cygne qui vient apaiser une mer agitée. Le texte exalte une voix de femme. La musique instrumentale de Beethoven : Sorte d’éloge à la musique, le plus pur de tous les arts car c’est l’art de l’infini. Pour

mais je les placerai dans un autre ordre: le fait qu'elle aime son beau-fils devrait arriver en dernier, comme une sorte de conclusion de paragraphe (cf. ci-dessous)) . Elle accuse Vénus (déesse de l'amour) de son malheur "du sang qu'elle poursuit, tourments inévitable" vers.38. (Les références à l'origine divine de cet amour impossible est également intéressant, et à développer si possible) * II) Les émotions et les souffrances de Phèdre. Racine multiplie les mots ou expressions grammaticaux pour

XII, 1558. En 1553, Joachim Du Bellay accompagne Rome son cousin, le cardinal Jean Du Bellay, parti ngocier avec la Pape Jules III au nom du Roi de France Henri II. 1 5 10 Vu le soin mnager dont travaill je suis,Vu limportun souci qui sans fin me tourmente,Et vu tant de regrets desquels je me lamente,Tu tbahis souvent comment chanter je puis. Je ne chante, Magny1, je pleure mes ennuis,Ou, pour le dire mieux, en pleurant je les chanteSi bien quen les chantant, souvent je les enchante Voil pourquoi