ô Tourment



La
peinture
montre
à
travers
le
jeu
des
formes,
des
couleurs
et
de
la
lumière,
 des
grandes
oppositions
comme
l’espoir
et
le
désespoir,
la
vie
et
la
mort,
le
calme
et
la
tempête
qui
correspondent
à
 l’état
d’esprit
des
naufragés
perdus
dans
une
grande
tourmente.
Géricault
a
su
rendre
dans
son
tableau
à
la
fois
le
 paysage
extérieur
(la
tempête,
le
naufrage)
et
le
paysage
intérieur
des
personnages
(la
souffrance,
le
désespoir,
 l’espérance).
 
 Photographie
d’Adad
Hannah,
un
artiste
du
XXème.
 Poème
«
Le
naufragé
»
de
José‐Maria
de
HEREDIA

romaine a pour but de grandir la figure du loup. Commentaire biographique Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière, / Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, / Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre / Où tu la vis s'asseoir ! Lamartine fait référence à son amour passionné pour Julie Charles, rencontrée au lac du Bourget en 1816 et décédée un an plus tard. Commentaire faisant référence à l’histoire littéraire « Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure! / Vous, que le temps épargne

est vécu comme une souffrance (moral mais aussi physique) par phèdre. Dans cette première partie, on retrouve le champs lexical de la souffrance : « trouble » v274, « tourments » v278, « ma raison égarée » V282, « incurable amour » v283 : cet amour est également comparé à une maladie. Phèdre exprime ça souffrance au vers 289 : « O comble de misère » avec au début de ce vers : une interjection suivi du mot « misère » qui exprime la souffrance puis il y a une hyperbole « comble de ». tout ceci exprime

Je vous salue ma France Je vous salue ma France, arrachée aux fantômes ! Ô rendue à la paix ! Vaisseau sauvé des eaux… Pays qui chante : Orléans, Beaugency, Vendôme ! Cloches, cloches, sonnez l’angélus des oiseaux ! Je vous salue, ma France aux yeux de tourterelle, Jamais trop mon tourment, mon amour jamais trop. Ma France, mon ancienne et nouvelle querelle, Sol semé de héros, ciel plein de passereaux… Je vous salue, ma France, où les vents se calmèrent ! Ma France de

Je t'implore et réclame ; Tu sais ; à quoi bon, hélas ! Ne fuis pas loin de mes maux, Rester là si tu me quittes, Ô fauvette de mon âme Et vivre si tu t'en vas ? Qui chantes dans mes rameaux ! A quoi bon vivre, étant l'ombre De quoi puis-je

comprendre. J'arrive enfin, je vole, je m'enferme dans ma chambre, je m'asseye hors d'haleine, je porte une main tremblante sur le cachet. O première influence du talisman ! J’ai senti palpiter mon coeur à chaque papier que j'ôtais et je me suis bientôt trouvé tellement oppressé que j'ai été forcé de respirer un moment sur la dernière enveloppe. . . Julie ! . . . ô ma Julie ! Le voile est déchiré . . . je te vois . . . je vois tes divins attraits ! Ma bouche et mon coeur leur rendent le premier hommage

plein de passions et d'émotions qui ne s’identifie pas avec la société contemporaine. « Un jeune homme plein de passions, assis sur la bouche d'un volcan, et pleurant sur les mortels dont à peine il voyait à ses pieds les demeures, n'est sans doute, ô vieillards ! qu'un objet digne de votre pitié ; mais, quoi que vous puissiez penser de René, ce tableau vous offre l'image de son caractère et de son existence : c'est ainsi que toute ma vie j'ai eu devant les yeux une création à la fois immense et imperceptible

o Les Preuves: il faut bien appuyer vos arguments sur des citations précises, des références à des experts, des allusions à des faits bien établis. Faites bien attention à ne pas faire des constations douteuses sans avoir des points d'appui. Ce sont ces exemples qui étayent la démonstration. Il faut donc les développer avec précision en mettant en valeur les détails concrets qui viennent à l'appui de l'idée. Attention: les exemples doivent être strictement commentés dans le sens de l'idée à démontrer

Qu'écarlates ou verts, près du Roi qui les raille, Croulent les bataillons en masse dans le feu ; Tandis qu'une folie épouvantable broie Et fait de cent milliers d'hommes un tas fumant ; - Pauvres morts ! dans l'été, dans l'herbe, dans ta joie, Nature ! ô toi qui fis ces hommes saintement !... - Il est un Dieu, qui rit aux nappes damassées Des autels, à l'encens, aux grands calices d'or ; Qui dans le bercement des hosannah s'endort, Et se réveille, quand des mères, ramassées Dans l'angoisse,

semblable », musique de Guillaume Costeley 13 « Marie baisez moi, non ne me baisez pas», Second livre des Amours, poème de Pierre de Ronsard - « Cassandre », « Charlotte », suite de bransles coupés de l’Orchésographie Du désespoir à la joie, les tourments de l’âme amoureuse : 14 « Dedans les flots d’amour … », sonnets pour Hélène, poème de Pierre de Ronsard 15 « J’ai le Rebours », pavane 16 « Tant de fois s’appointer… », sonnets pour Hélène, poème de Pierre de Ronsard 17 « Las que nous sommes