ô Tourment

vis, je meurs Je vis, je meurs : je me brûle et me noie,J’ai chaud extrême en endurant froidure ;La vie m’est et trop molle et trop dure,J’ai grands ennuis entremêlés de joie. Tout en un coup je ris et je larmoie,Et en plaisir maint grief tourment j’endure,Mon bien s’en va, et à jamais il dure,Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment me mèneEt, quand je pense avoir plus de douleur,Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis, quand je crois ma joie être certaine

sont là pour personne »… L’amour n’a pas été évoqué que par des hommes. Louise Labé (1520-1566) apparaît comme une poétesse « tourmentée ». Dans « Œuvres », cette femme nous raconte les aventures extraconjugales qu’elle traverse. « Ô pires maux contre moi destinés » (…) « Ô larmes épandues ». Ici, il s’agit d’un amour intense, qui crée un vide. Mais l’amour peut aussi être « amusant » et prêter à sourire. Ainsi, Daniel Biga (poète contemporain né en 1940) dans « Merci Hans merci Karl merci Peter

d’exclamation présent à la fin de ce chiasme, il traduit la stupéfaction et l’état désemparé de Rodrigue, cette marque de subjectivité suggère les sentiments du locuteur. Egalement, la présence d’interjections peut être associée au registre lyrique : ‘Ô(v8), Ô(v18)’ A l’aide de ces interjections, Rodrigue pousse un cri de désespoir, cela renforce l’expression des sentiments qu’il veut nous faire partager. Enfin la disposition du texte, sous forme de stances, caractéristique du lyrisme, nous confirme

D’abord réaliste (vers 1 à 3) puis idéalisé. Les enfants sont assimilés à des condamnés (vers 9), « innocents », puis à des « anges ». Tout au long de ce poème, il y’a une forte présence religieuse. L’homme est très vite assimilé au diable qui tourmente ces créatures innocentes. Le faite de comparait implicitement les adultes à des démons est déjà une façon de dénoncer. Victor Hugo cherche à convaincre et persuader dans un premier temps il va essayer d’argumenter. Le lecteur est fictivement

pouvoir de l'amour Les sentiments sont excessif et passe d'un extrême à l'autre, de la joie au désespoir, symbolisant l'instabilité d'un cœur subissant la passion. Cette passion hyperbolique se retrouve par l'emploie de terme fort telle que au v.6 tourment ou par exemple l'adjectif « Grand » au v.4 ou encore au v.2 le groupe nominale «  chaud extrême », de même au v.3 par les adverbes d'intensités « trop ». C'est de cet excès que né la confusion et notamment celle du temps. L'amante soumise à des

frimas, enchanté, tourmenté et comme possédé par le démon de mon cœur. " La nuit, lorsque l'aquilon ébranlait ma chaumière, que les pluies tombaient en torrent sur mon toit, qu'à travers ma fenêtre je voyais la lune sillonner les nuages amoncelés, comme un pâle vaisseau qui laboure les vagues, il me semblait que la vie redoublait au fond de mon cœur, que j'aurais la puissance de créer des mondes. Ah ! si j'avais pu faire partager à une autre les transports que j'éprouvais ! O Dieu ! si tu m'avais

âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps, et transir2 et brûler. …........................................................ Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D’un sang qu’elle poursuit tourments inévitables. Par des voeux assidus je crus les détourner : Je lui bâtis un temple, et pris soin de l’orner ; De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée. D’un incurable amour remèdes impuissants

refoulait vers l'ombre où le soleil se tait. Tandis que je glissais ainsi vers les abîmes, devant mes yeux quelqu'un apparut tout à coup, qui, l'air mal assuré, sortait d'un long silence. Dès que je l'aperçus au sein du grand désert, je me mis à crier : « Ô toi, qui que tu sois, ombre ou, sinon, vivant, prends pitié de ma peine ! »11 « Je ne suis pas vivant, dit-il, mais je le fus. J'étais Lombard de père aussi bien que de mère ; leur terre à tous les deux avait été Mantoue. Moi-même, je naquis sub Julio

souvenir. Par exemple dans le poème « le balcon », Baudelaire évoque le souvenir de la femme aimée. Femme, figure du spleen : femme représente le mal qui détruit le poète La femme est une source de souffrance. Dans « la destruction » le démon qui tourmente le poète prend ainsi la « forme de la plus séduisante des femmes » vers 6. La femme fatale se révèle dans les métamorphoses. Elles sont souvent métamorphosées en des figures qui lient l’amour et la mort, le bien ou le mal. Elle prend parfois les

nouvelle république proclamée, un gouvernement provisoire réunit des membres de deux équipes : o Celle du journal « le National », républicain modéré o Celle du journal « La Réforme », radical o Le ministre le plus illustre, le poète Lamartine. - mesures capitales du gouvernement provisoire : o proclame la liberté de presse et de réunion o abolit la peine de mort o abolit l’esclavage dans les colonies o le droit au travail : crée les Atelier nationaux, chargés de procurer du travail aux ouvriers