ô Tourment

déesse à ce dieu qui est Hippolyte. *Phrase exclamative : ô comble de misère !*le retrouve dans les yeux du père !: préfixe de réitération retrouver = échec*ironie du sort : le mari la ramène à Trézène et donc elle revoit HII- Un aveu qui montre que Phèdre est à la fois innocente et coupable A- Phèdre est innocente car elle subit la fatalité C’est Vénus qui décide : je reconnus Vénus et ses feux redoutables/ d’un sang qu’elle poursuit tourments inévitables. Rimes en [able] à la fin du vers montre la

plus chaud qu'une olla-podrida. O folle, c'est en vain que tu comptes tes piastres. Tes yeux sont des lampions et ne sont plus des astres. Tu n'achèteras pas même un baiser de gueux. Pourtant si ton désir frénétique se cabre, S'il te faut à tout prix un cavalier fougueux, Tu pourras le trouver à la danse macabre. 2. Louise Labé est née à Lyon en 1524 et décédée en 1566. Ainsi on retrouve dans les sonnets de Louise Labé l'évocation des tourments de la passion, de l'amour meurtri.

« sa bouche », « sa voix ». La présence de « tu » dans la deuxième strophe montre un rapprochement plus intime avec la femme aimée. Ainsi, il la nomme, « Elsa », faisant d'elle une réalité à part entière. Il arrive même à la vénérer en utilisant « Ô » dans la troisième strophe. Elsa est « pareille au soleil des fenêtres », elle l'illumine de son éclat. De plus, dès qu'il la voit, il « tremble », ne peut s' « habituer » à elle et « frémit » comme « un arbre jusqu'à la souche », c'est à dire jusqu'au

qui fis vibrer mes fibres, Quoi qu’en aient dit et dit tels imbéciles noirs
Compagnon qui ressuscitas les saints espoirs,
Va donc, vivant ou mort, dans les espaces libres ! Paul Verlaine (1890) Dit de la force de l’amour Entre tous mes tourments entre la mort et moi
Entre mon désespoir et la raison de vivre
Il y a l’injustice et ce malheur des hommes
Que je ne peux admettre il y a ma colère Il y a les maquis couleur de sang d’Espagne
Il y a les maquis couleur du ciel de Grèce
Le pain le

comprendre que l'argent n'est rien mais qu'il est tout. De nouveau vers la porte, un genou à terre Ah, pauvre de moi ! Quelle déveine, quelle poisse et quel grand malheur. Me voilà seul et sans une poussière d'argent, pas un denier, rien, nada. Ô souffrance, ô malédiction ! Devrai-je mourir à mon tour ? Dieu, fais preuve de mansuétude et montre au malheureux Sganarelle l'océan de bonté qui est en toi. Faut-il avoir péché pour trouver grâce à tes yeux ? La vie m'est étrangère sans mon argent. Allons

je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par des voeux assidus je crus les détourner : Je lui bâtis un temple, et pris soin de l'orner ; De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée, D'un incurable amour remèdes impuissants

mon ami, qu'est-ce que le cœur de l'homme ? Te quitter, toi que j'aime, toi dont j'étais inséparable ; te quitter et être content ! Mais je sais que tu me le pardonnes. Mes autres liaisons ne semblaient-elles pas tout exprès choisies du sort pour tourmenter un cœur comme le mien ? La pauvre Léonore ! Et pourtant j'étais innocent. Était-ce ma faute, à moi, si, pendant que je ne songeais qu'à m'amuser des attraits piquants de sa sœur, une funeste passion s'allumait dans son sein ? Et pourtant suis-je

souffrance exprimée par les poètes. Bonne lecture ! Caliste, en cet exil j'ai l'âme si gênée (À la vicomtesse d'Auchy) Caliste, en cet exil j'ai l'âme si gênée, Qu'au tourment que je souffre il n'est rien de pareil ; Et ne saurais ouïr ni raison ni conseil, Tant je suis dépité contre ma destinée. J'ai beau voir commencer et finir la journée, En quelque part des cieux que luise le soleil ; Si le plaisir me fuit

Lors donc qu'un homme se lamente sur lui-même la pensée du sort mortel qui fera pourrir son corps abandonné, ou le livrera aux flammes, ou le donnera en pâture aux bêtes sauvages, tu peux dire que sa voix sonne faux, qu'une crainte secrète tourmente son cœur, bien qu'il affecte de ne pas croire qu'aucun sentiment puisse résister en lui à la mort. Cet homme, à mon avis, ne tient pas ses promesses et cache ses principes ; ce n'est pas de tout son être qu'il s'arrache à la vie ; à son insu peut-être

tout mon corps et transir et brûler. | | |Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, | | |D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. | | |Par des vœux assidus je crus les détourner : | |280 |Je lui bâtis un temple, et pris soin de l'orner ;