ò Vous Frères Humains

XIVème Siècle) signifie en grec "créer"ou "fabriquer". De là, on peut donc observer cette pratique comme utilisant les jeux du langage, la rhétorique pour "fabriquer" un poème, "faire des vers". Au départ, elle était liée au fait que les cultures humaines ne savaient pas encore écrire et se tournaient donc vers une tradition orale qui leur permettait de fixer les événements historiques et leurs origines. Ce langage rythmé était alors sans doute associé à la musique et véhiculait des faits essentiels

d’information (11e éd., p. 631). Paris, France: Pearson. .168 j Anlvité� Étude de cas : Renault En 1899, Louis Renault ( 1 877- 1944) construit sa première « voiturette » et fonde le 25 juin, avec ses deux frères Marcel et Fernand, l 'entreprise familiale Renault Frères, située au 10 avenue du Cours à Billancourt. En 1 922, l 'entreprise familiale devient la Société ano­ nyme des usines Renault. Elle est nationalisée en 1 945 et rebaptisée Régie nationale des usines Renault. En 2009

avertissement : VE " Le Paradis est entouré d'horreurs et l'Enfer de plaisirs" "Le grand jour s'approche et les hommes en sont encore à se toquer de ce bas monde, à s'éloigner du Paradis et à se rapprocher de l'Enfer" ; il ajoutera :  "Il y a parmi les humains des hommes dont la moitié du corps serait morte mais l'autre moitié n'en serait pas même, pour autant, assez avertie" ; dans une autre sentence, il dira cette vérité :  "S'il était donné à l'homme deux vallées pleines d'or il en chercherait quant

patience, un apaisement mental ; si vous avez la voix adoucie, le corps léger ; si vous êtes sans crainte, ni désir, sans goût pour les choses de ce monde, pensez que vous faites des progrès dans le sentier spirituel et que vous vous approchez de Dieu. O Prema ! II est un lieu où tu n'entendras aucun son où tu ne verras nulle couleur. Ce lieu s'appelle « séjour hors de toute peine » (parama dama, ou padam annamaya). C'est le royaume de la paix et de la félicité. Là, point de conscience physique ; le

batailles Leur esprit voyageait là-bas : Point de lettre qui les rassure ! Quand les enfants sont au combat ! Pour les mères tout est blessure ! L’une comme l’autre invoquaient le ciel Priant dans sa langue ou la nôtre : " Mein Kind ! mein Kind " O vie cruelle ! " Mon fils ! Mon fils " murmurait l’autre. Et j’entendais, au même instant, Sur un affreux champ de carnage, Contre la souffrance luttant, Gémir deux enfants du même âge Les deux soldats se ressemblaient, Mourant quand il fait

cette création, en reprenant un personnage déjà utilisé par d'autres auteurs (exemple Tirso de Molina) II situations de cette scène dans la pièce Don Juan et Sganarelle sont dans la forêt. Ils se sont enfuis parce qu'ils sont recherchés par les frères de Don Elvire qui veulent se venger de Dom Juan d'avoir bafoué l'honneur de leur sœur et donc de leur famille. Avec ce thème de l'honneur et de la vengeance nous sommes sur des thèmes de la tragédie classique. Dom Juan s'est enfui au moment où il

L'ÉPOQUE Pro Deo amur et pro christian poplo et nostro commun salvament, d'ist di en avant, in quant Deus savir et podir me dunat, si salvarai eo cist meon fradre Karlo, et in adiudha et in cadhuna cosa, si cum om per dreit son fradra salvar dift in o quid il mi altresi fazet, et ab Ludher nul plaid nunquam prindrai qui meon vol, cist meon fradre Karlo in damno sit. TRADUCTION EN FRANÇAIS DU XXe SIÈCLE Pour l'amour de Dieu, et pour le commun salut du peuple chrétien et le nôtre, dorénavant, autant

  Réaction contre les excès lyriques du romantisme : la poésie sera objective et non plus personnelle; impassible et non plus passionnée : « Promène qui voudra son cœur ensanglanté Sur ton pavé cynique, ô plèbe carnassière... » (Leconte de Lisle)   « Le Poète devrait voir les choses humaines comme les verrait un dieu du haut de son Olympe; les réfléchir sans intérêt dans ses vagues prunelles et leur donner, avec un détachement parfait, la vie supérieure de la forme ».   Puisque la poésie ne doit

aux vengeances d’un roi ? Sans moi ton insolence allait être punie ; À ma seule prière on ne t’a que bannie. C’est rendre la pareille à tes grands coups d’effort : Tu m’as sauvé la vie, et j’empêche ta mort. Médée On ne m’a que bannie ! ô bonté souveraine ! C’est donc une faveur, et non pas une peine ! Je reçois une grâce au lieu d’un châtiment ! Et mon exil encor doit un remerciement ! Ainsi l’avare soif du brigand assouvie, Il s’impute à pitié de nous laisser la vie ; Quand

grand soleil d'hiver éclaire la colline Que la nature est belle et que le cœur me fend La justice viendra sur nos pas triomphants Ma Mélinée ô mon amour mon orpheline Et je te dis de vivre et d'avoir un enfant Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent Vingt et trois qui donnaient leur cœur avant le temps Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir Vingt et trois qui criaient la France en s'abattant Louis ARAGON, poème issu du Roman