ò Vous Frères Humains

tellement bien que nous sommes aujourd’hui, arrivés à accepter la religion de l’autre sans connaître véritablement ses buts ultimes. Je ne peux accepter cette issue. Je ne peux accepter que l’on impose une croyance qui prêche la virginité de la mère d’un humain. Pas plus que je n’accepte l’unicité d’une religion imposant le rabaissement de la femme, sans lesquelles nous n’existerions pas. Une religion dans mon esprit, ne peut être que divine. Hors, toutes celles que l’on nous propose ont été créées par

• Dans la lignée de : o PJ Beranger o Monthéus o Georgius / Aristide bruand • en même temps que : o Trenet o Brassens L’œuvre et son interprétation : Il existe de nombreux interprètes de Ferré : Hélène Martin, Franscesca Solleville, Juliette Gréco, les Frères Jacques, Jean Roger Caussimon, Lavilliers, Sansévérino, Michel Hermon

Christ) ». Notre société, chacun, y compris nous peut-être, est malade de manque d’amour vrai. Ce n’est pas nouveau. Le problème de cette carence et de cette incompréhension a 2 origines profondes : 1. la  dimension humaine , parce qu’on ne sait pas  aimer son prochain  (nous sommes tellement tournés sur nous-mêmes), parce que nous ne savons pas accepter qu’on nous aime (l’orgueil nous aide en cela) et puis peut-être n’avons-nous pas

puis successivement les analyses de : ‘’Vere novo’’ (page 2) ‘’Melancholia’’ : deuxième épisode (page 3) sixième épisode (page 5) ‘’Ô souvenirs ! printemps ! aurore !’’ (page 8) ‘’Demain dès l’aube’’ (page 10) ‘’J’ai cueilli cette fleur’’ (page 13) Bonne lecture ! Ces poèmes, que Hugo fit paraître à Paris et à Bruxelles et dont

brebis a sa ` ` droite, mais les chevres a sa gauche. ” (Mat. 25:31-33). Il est ici question de la venue de Christ ´ comme Juge pour separer les gens de “ toutes les nations ” en deux ´ categories : “ les brebis ”, ` qui ont soutenu activement les freres spi´ rituels de Christ (les chretiens ` oints sur la terre), et “ les che´ ` vres ”, “ qui n’ob eissent pas a la bonne nouvelle concernant notre ´ Seigneur Jesus ”. (2 Thess. 1:7, 8.) Les brebis, qui sont aussi appe´ l´ees “ les justes ”, recevront

On croit voir à la fois, sur le vent de la nuit, Fuir toute la fumée ardente et tout le bruit De l'embrasement d'une ville. D'où vient-elle ? des cieux, de la mer ou des monts ? Est-ce le char de feu qui porte des démons À quelque planète prochaine ? Ô terreur ! de son sein, chaos mystérieux, D'où vient que par moments un éclair furieux Comme un long serpent se déchaîne ? 10 II La mer ! partout la mer ! des flots, des flots encor. L'oiseau fatigue en vain son inégal essor. Ici les flots,

son corps au plus fautif des deux, Polynice. Ceci est un paradoxe décrit par Sophocle. Pour sauver la cité, il prendra une mesure injuste car elle ne fait pas partie de la cité, il va rompre une tradition humaine très importante. Il décide que le plus coupable des deux protagonistes (les deux frères) sera laissé pour pourrir au soleil. Donc il ne sera pas enterré comme le veulent les coutumes des dieux et de la religion. Pour Créon, une loi est celle établie par les maîtres de la cité. Antigone ne

effet, il nous prouve que la guerre ne déshumanise pas tous les soldats et que certains outrepassent le statut d’ennemi de leurs opposants en les considérant simplement comme des humains. J'ai choisi ce poème car il nous communique l’espoir, l’espoir qu'un jour les combattants, à défaut d'être des soldats deviennent des humains. De surcroît, grâce à sa vision proche de la réalité de la guerre, nous pourrons observer l'évolution de la représentation de la guerre dans l'art. L'illustration que j'ai associée

Villeneuve les Avignon, à l’entrée de laquelle se trouve ma maison. _______________ °oOo° _______________ TEXTE D’UNE CONFERENCE DONNEE SUR L’HARMONIE le 12 mai 2001, à la maison du compagnonnage à Paris, place St Gervais Mes Amis, Pays, Coteries, mes Frères, Dans son dialogue avec Max TORRES, au troisième chapitre d’Hôtes de passage, André MALRAUX a inséré à la main le texte suivant : « On m’a fait dire: le XXIème siècle sera religieux ou ne sera pas. La prophétie est ridicule; en revanche, je pense

croulantes, Qui dans le creux muet des vieux antres païens T’appellent au secours de leurs fièvres hurlantes, O Bacchus, endormeur des remords anciens ! Et d’autres, dont la gorge aime les scapulaires, Qui, recélant un fouet sous leurs longs vêtements, Mêlent, dans le bois sombre et les nuits solitaires, L’écume du plaisir aux larmes des tourments. O vierges, ô démons, ô monstres, ô martyres, De la réalité grands esprits contempteurs, Chercheuses d’infini dévotes et satyres, Tantôt pleines