éloge Paradoxal Objet

de la première partie des Fleurs du Mal, recueil publié en 1861, censuré pour son inadéquation aux bonnes règles de la morale et de la pudeur. « Une Charogne » suit « le Serpent qui danse », qui est un éloge de la femme aimée, mais cet éloge va ici se transformer en un memento mori paradoxal. Baudelaire ose s’attaquer à des motifs peu conventionnels, comme celui de cette « charogne ». XXIX ème poème de la première partie du recueil, intitulée « Spleen et Idéal », « Une Charogne » reflète bien

mythe littéraire que Molière met en avant dans la premier acte de sa pièce. A ce titre, la tirade au centre de la scène 2 peut apparaître comme une profession foi libertine dans laquelle DJ prône le credo qui gouverne ses relations amoureuse. Cet éloge de l’inconstance, face à un Sganarelle incrédule, est une véritable leçon de savoir faire rhétorique. C’est pourquoi il s’agira de se demander dans quelle mesure cette tirade tout en thématisant la séduction s’apparente à une entreprise de séduction

et conquérant du personnage mis au service de sa perversité puis une certaine faille qui heurte notre logique. PARTIE I: son esprit stratégique et conquérant mis au service de sa perversité un peu plus tôt dans sa tirade, DJ avait fait une éloge paradoxale de l'infidélité présentée comme une justice à la beauté des femmes. Chaque conquête féminine devient pour lui un véritable combat: champ lexical de la guerre présent dès les premières lignes: « réduire » « combattre » « rendre les

Flaubert évoque rumeurs (Duc de Laverdière à la Vaubyessard) Pinard prend cela pr certitudes>> mauvaise foi Demande au romancier de relater faits historiques et de ne pas jouer avec l'Histoire (Romancier n'est pas libre ds son art) MAIS>> ELOGE INVOLONTAIRE ET PARADOXALE AU TALENT DE FLAUBERT «Je tiens messieurs, à préciser le cachet littéraire de M.Flaubert», «Des traits qui veulent beaucoup dire», «peinture admirable du point de vue du talent mais exécrable du point de vue de la morale» <> Lecture partielle

descriptif. Elle est une écriture sous contraintes : thème, genre ou registre. L’écriture d’invention se base sur une bonne connaissance des objets d’étude et de l’histoire littéraire. Elle est organisée, précise et rigoureuse, avec un style soigné. Entre 4 à 6 pages en 2h30/3h. Exemples de sujets d’invention : - Les écrits à visée argumentative : éloge ou blâme, plaidoyer (défendre), réquisitoire (accuser), dialogue argumentatif… - Les réécritures : par imitation d’une forme de discours, d’un

lois de la raison mais qui apparaissent en même temps singulier et inquiétants. Le genre fantastique offre des thèmes variés: la peur, l'angoisse de la mort, les morts vivants, la folie, la nature qui se venge, ma métamorphose ou bien encore les objets doués de vie (statue, meuble, carafe...).  Le personnage est souvent en proie à des états seconds (ivresse, endormissement) ou bien se trouve dans l'obscurité, souvent seul. L’Humanisme : C’est un mouvement du 16ème siècle centré sur l’homme plutôt

d'une salle de théâtre : faux jour (= les chandelles), ombres, mur invisible (séparation entre la scène et le public nécessaire à l'illusion théâtrale). 2) Le mage : - Le personnage de magicien est aussi un personnage familier de la pastorale. - Eloge du magicien : les pouvoirs du magicien sont annoncés par l'hyperbolequi d'un mot renverse la nature. Personnage mystérieux défini par son habitation  v 2 : N'a choisi pour palais que cette grotte obscure. - Les pouvoirs du mage sont évoqués par prétérition

condition de perte irrémédiable. Tragique : impossibilité d’un salut, de retrouver ce qui a été perdu. Lorsque j’éprouve du plaisir je suis dans le pure présent, dans l’actualité. Le plaisir n’est pas une représentation mais une sensation (pas un objet). Le plaisir ne relève donc pas de la conscience représentative. Cas d’une conscience qui n’est pas une visée, qui ne se prolonge pas au-delà d’elle-même. Modalité de la conscience affective. Pas de conscience d’abolition dans le plaisir, pas de place

Calligrammes, 1918. Laudatif : Vocabulaire : ce registre couvre tous les champs de la louange. Destiné à vanter les mérites d'un personnage (éloge funèbre), d'une valeur abstraite (hymne) voire d'un produit (publicité) ou d'une idéologie (propagande), il emploie naturellement un lexique mélioratif et des images valorisantes de nature à parer les objets concernés de toutes les qualités. Formes : le registre laudatif appartient au genre épidictique de la rhétorique classique. On y retrouve ainsi

« Rappelez-vous », qui évoque immédiatement le memento mori . Poète qui invite ou plutôt contraint (impératif) la destinataire à se retourner sur un événement passé. Il s'agit de se remémorer un « objet », terme volontairement vague et neutre pour désigner la charogne, qui sera par la suite traitée avec beaucoup moins de sobriété, associée à de nombreux éléments. « Mon âme », périphrase pour la dédicataire du poème. Manière la plus idéale