éloge Paradoxal Objet

du mythe de l'Age d'Or 2. Le grief: la simplicité primitive comme pure ignorance 3. Le ton de la provocation: impertinence et libertinage II/ Le credo d'un mondain et d'un honnête homme 1.Une position apparemment paradoxale et tranchée pour mieux persuader 2. L'éloge des plaisirs de la civilisation 3. La promotion

vraiment. De plus, il crée avec Gusman un personnage protoattique qui ne réapparaitra pas par la suite. Toutefois, ce sont l’a des infractions mineures, en comparaison de cette étrange ouverture qu’il place dans la bouche de Sganarelle, un éloge du tabac. Cet éloge est encore plus provocateur du fait que le tabac est condamné par les dévots. Suite à la censure de Tartuffe, Molière à écrit cette digression avec le but de provoquer ses censeurs. Mais, la représentation de Mesguich nous pousse à remplacer

I) Le parti pris de l'huître : une description-définition à la fois renouvelée et méliorative A. La description de l'huître comme dans un article de dictionnaire B. Un regard neuf : l'huître comme un petit univers C. Un éloge paradoxal : un regard émerveillé sur un objet ordinaire, trivial, banal II) "Le Parti pris des choses = un compte tenu des mots" : un poème à l'image de l'huître A. L'analogie entre le texte et la chose 1. L'analogie macrostructurelle entre le texte et la chose 2.

muse, la beauté étant incarnée le plus souvent par la nature, la femme et la divinité. Bien que la majorité des œuvres poétiques soit inspirées par la contemplation du beau, les images de la laideur et de l'horreur peuvent-elles aussi constituer des objets poétiques ? Afin de trouver une réponse, nous nous intéresserons en premier lieu aux différentes formes de la poésie dans la représentation de la laideur. Puis en second lieu nous nous pencherons sur les différents thèmes de ces poésies. Et

stratégie habituelle qui vise à capter l’attention du lecteur. Nous verrons donc en quoi ce début de roman place celui-ci sous le signe du contraste. Pour cela, nous verrons dans un premier temps que cet incipit est paradoxal, puis en quoi il constitue une critique. I- UN INCIPIT PARADOXAL Cet incipit nous donne les informations caractéristiques d’un d « but de roman classique. Les questions qui ? où ? quand ? trouvent ici une réponse dès les premières lignes : « au XVIIIème », « en France », « Jean-Baptiste

XVIème au XVIIème siècleGroupement de texte : la quête du bonheur. Texte 1 : Érasme, éloge de la Folie , 1511 Page 260 L’éloge est de venter les mérite de quelqu’un ou quelque chose. On serait tenté de faire un blâme de la folie que d’en faire l’éloge, c’est donc un éloge paradoxal. Un paradoxe est une opinion qui va contre l’opinion commun ou l’opinion commune et contre le sens commun et contre la logique. Il y a une

OBJET D’ETUDE 1 : La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation (Œuvre intégrale : La Fontaine, Fables) Commentaire Les animaux malades de la peste Introduction : Cette fable est l’amorce du deuxième recueil. La Fontaine s’est inspiré d’Esope et de Pilpay (fabuliste oriental). Thème de la fable : mal fréquent, sujet grave, évocation du monde de la Cour à travers les animaux. I. Un récit à caractère théâtral, à multiples rebondissements 1. Une exposition longue

toujours dit de ne pas croire les Monsieurs » « vous autres courtisans êtes des enjôleurs, qui ne songez qu'à abuser des filles » (r.28), « j'aimerais mieux me voir morte, que de me voir déshonorée » (r.31) Naïve, ridicule - Dom Juan la traite comme un objet - Il examine « Je ne sais si vous dites vrai, ou non ; mais vous faites que l'on vous croit » > manipulation (r.35) Acceptation, séduite => Remise en cause des sentiments pour son fiancé (Pierre) Réponses affirmatives « oui, pourvu que ma tante

Dom Juan n’est pas fautif.  * Il se considère comme une victime de l’amour, comme avec l’emploi des verbes « charmer » et « enchanter », à prendre au sens de l’époque, soit ensorceler. * Il recourt à l’argument de la nature II. Un éloge paradoxal de lui-même 1) Il se désigne comme un conquérant * Il montre qu’il attache plus d’importance à la conquête qu’au résultat : la longueur des phrases marque la progression (l.64-l.72) * Il emploie le champ lexical de la guerre : « réduire »

d’ailleurs, puisqu’« il (…) vaudrait bien mieux d’être au diable que d’être à lui »). De même, il semble l’imiter lorsqu’il emploie un discours savant qu’il maîtrise mal, cherche à se montrer supérieur à Gusman et propose par son éloge paradoxal du tabac, un éloge évident du plaisir, car même s’il prête des vertus morales au tabac, le tabac n’a pour seule finalité le plaisir, sa défense du tabac est donc déjà une défense de la conduite de son maître. D’ailleurs, avant de révéler la personnalité