éloge Paradoxal Objet

Objet d'étude : La question de l'H dans les genres de l’argumentation, du 19eme a nos jours. Comment se définit le rapport à l’altérité ? Comment le fait d'envisager l'autre permet-il de se connaître soi-même ? En quoi les regards neufs de l'étranger est-il un outils efficace pour remettre en question les pratiques européennes ? Montaigne : est un écrivain, philosophe, moraliste et homme politique français de la Renaissance. 16Eme siècle. → Des cannibales, Montaigne. Comment Montaigne

quelqu’un d’inconstant. En effet, à l’aide de question rhétorique adressée à Sganarelle, il reformule les propos de ce dernier :  « Quoi? Tu veux qu’on se lie à demeurer au premier objet qui nous prend, qu’on renonce au monde pour lui, et qu’on n’est plus d’yeux pour personne? » Dom Juan fait donc ici un éloge paradoxale en faisant passer la fidélité pour un renoncement, un emprisonnement. Cette question rhétorique souligne aussi l’aspect provocateur du personnage car l’inconstance dont il fait l’éloge

du silence de par JP puisqu'il se tait / il est presque un personnage -Est qqchose de fermé à certains : « nous ne sommes pas à la hauteur » (l.36) → Seules certaines personnes sont à la hauteur pour le comprendre ou le produire. -CL du sacré : « objets de culte » (l. 7), « habits sacerdotaux » (l. 7) et « profanation » (l.7) → JP, personnification du silence, est rapproché à la religion. -comparé à une maladie : (voir métaphore filée je sais pas trop où PENSER A REGARDER AVANT) → Connotation négative

piques, les dards, les sabres et les cimeterres » et la phrase « vous voilà munis d'instruments commodes, qui vous servent à vous faire réciproquement de larges plaies d'où peut couler votre sang jusqu'à la dernière goutte ». C’est donc un éloge tout à fait paradoxal de cette incroyable imagination que l’Homme détient et qu’il utilise au service de la mort et de la guerre. Le champ lexical de l’armement est aussi bien présent et donc de La Bruyère permet par ces différentes façon ironique de remettre

travail !". LAUDATIF Vocabulaire : ce registre couvre tous les champs de la louange. Destiné à vanter les mérites d'un personnage (éloge funèbre), d'une valeur abstraite (hymne) voire d'un produit (publicité) ou d'une idéologie (propagande), il emploie naturellement un lexique mélioratif et des images valorisantes de nature à parer les objets concernés de toutes les qualités. Formes : le registre laudatif appartient au genre épidictique de la rhétorique classique. On y retrouve ainsi

l'admirable travail !". LAUDATIF Vocabulaire : ce registre couvre tous les champs de la louange. Destiné à vanter les mérites d'un personnage (éloge funèbre), d'une valeur abstraite (hymne) voire d'un produit (publicité) ou d'une idéologie (propagande), il emploie naturellement un lexique mélioratif et des images valorisantes de nature à parer les objets concernés de toutes les qualités. Formes : le registre laudatif appartient au genre épidictique de la rhétorique classique. On y retrouve ainsi

la scène (1) Une ouverture étrange sur l'éloge du tabac ( dans quel but ? Pour cet éloge paradoxal ? ) Sg reprend une tradition humaniste : il va faire l'éloge, dans une tirade, de manière ironique, parodique. C'est humoristique → anachronismes de Sg ( il parle de Aristote et son avis sur le tabac → Aristote était déjà mort avant ). Le valet est discrédité. Tabac → son éloge permet aussi des attaques contre la religion ( En s'y prenant à Aristote, on s'en prend aux chrétiens

Nous partageons avec les animaux la Phonè, il exprime ses états d’être à travers le cri → adhère au comportement Les sensations ne se séparent pas des émotions. Le langage est bien plus qu’un moyen de communication, un moyen de penser Langue objet absent → partie sociale du langage → contact affectif facilite l’apprentissage de la langue On dit que le langage est spécifique à l’Homme mais est-ce naturel ? Car à la naissance, on n’est pas doté de langage (on communique grâce à la phonè)

épidictique.   Mais, comme il en est de tout classement, ces catégories sont poreuses : un même texte peut, par exemple, conjuguer les formes classiques du judiciaire et de l'épidictique. C'est autour de ce mélange que s'inscrit notre séquence : éloge et blâme, qui appartiennent plus précisément à l'épidictique, rejoignent naturellement les registres mis en œuvre dans le plaidoyer ou le réquisitoire, qui ressortissent au judiciaire. Dans toutes ces productions, en tout cas, la littérature reconnaît

comment une copie pourrait-elle prendre vie ? On a ici un rapport complexe entre la représentation du réel et la Vérité elle-même. Les simples représentations s’animent, prennent du relief, deviennent réels tel que le dit lui-même Diderot : « Les objets sont hors de la toile ». C’est là tout l’art du peintre qui doit savoir tendre vers la Vérité, tout en la sachant inaccessible: « une vérité à tromper les yeux », car le travail du peintre réside dans la supercherie, dans l’illusion et non dans le