Un échange Aristocratique

gouvernement, inséparable de la personne royale. 5 Le xviie siècle marque une véritable mutation bureaucratique du Conseil, rompant avec les pratiques antérieures, par lesquelles la monarchie associait fréquemment les élites aristocratiques à la prise de décision, en réunissant des conseils royaux élargis ou en consultant les États généraux*. Pour des raisons à la fois politiques et pratiques, une spécialisation des tâches s’est peu à peu imposée. Le roi n’assiste plus qu’aux séances

(crises boursières) ou a une surproduction industrielle (crises industrielles). Ces crises concernent l’ensemble de l’activité économique et touchent le monde entier à cause de la circulation de l’argent et des biens mais aussi en raison du libre échange. Les Etats peuvent décider d’intervenir en rétablissant le protectionnisme par exemple et pour ce qui est de la crise de 1929, en intervenant directement dans l’économie. Aux Etats-Unis, à la suite de la crise de 1929, le présidant Hoover a refusé

d’un vocabulaire hyperbolique, de longues phrases accumulatives et ils représentent un affrontement manichéen entre des valeurs opposées (le bien et le mal, le juste et l’injuste). Enfin ,ce roman témoigne d’une évolution de la société aristocratique ,l’apparition de la courtoisie : c’est un nouvel idéal de relations à la cour, plus raffiné, en réaction contre les mœurs féodales rudes et guerrières . Pour être digne de l’amour qu’il porte à sa dame, le chevalier se met à son service et réalise

ses absences, occupé à d’autres tâches dans son immense empire ou dans des conflits qui l’amènent à batailler sur de nombreux fronts. Tout n’est pourtant pas reposant dans cette prospérité, Anvers reposant principalement sur le commerce et donc les échanges avec l’étranger se trouve à la merci des conflits qui déchirent le XVIème siècle. Après la guerre avec la France de 1542-1543, la banqueroute de l’Etat Espagnol en 1557, la politique du duc d’Albe qui entraine des crises populaires, Anvers devient

langue commune à toutes les personnes instruites de leur époque, mais étudient aussi les autres langues prestigieuses de l'Antiquité, le grec et l'hébreu (studia humanitatis). Ces humanistes ne gardent pas pour eux leur savoir, mais multiplient les échanges, soit en voyageant, soit en échangeant des lettres : c'est à partir de cette époque que l'on parle d'une «République des lettres», c'est-à-dire d'un cercle de gens instruits qui correspondent de manière intensive. 2) l'homme, au centre du monde

divers suzerains, en courant l’aventure pour trouver une héritière fortunée à épouser ( Les jongleurs peuvent devenir des auteurs lyriques • L’aristocratie cèdera des droits à de nouvelles classes sociales : une bourgeoisie de négociants (échanges commerciaux) surtout dans le nord fait naître de puissantes confréries. Les thèmes de la littérature féodale ne parlent plus à cet auditoire nouveau ( développement du théâtre (comique) 5. Trois tendances 1. La chanson de geste (XIIe

guerre mondiale, trouve ici des remplaçants à sa mesure. Le champ est libre pour la lutte et la ruse, le suspense, l’adrénaline… et le grand spectacle de cinéma de divertissement. Ce héros de fiction s’exprime dans les combats et les coups de feu échangés avec les méchants. Car ce monde-là est terriblement manichéen. L’agent secret 007 créé par Ian Fleming affronte, au sein d’épisodes à rebondissements, des incarnations du Mal et sauve toujours le monde, ou du moins sa face occidentale. La saga trouve

intellectuels : 1ere faculté de théologie. On se déplace pour écouter les grands intellectuels. Il faudra attendre la Renaissance pour voir naitre le savoir. Au Moyen Age, les gens sont confinés dans les pays, surtout dans le milieu rural. On limite les échanges entre les gens ainsi que les voyages : c’est le féodalisme qui morcèle les territoires et la société occidentale. On parle de l’insécurité lié à l’absence de sécurité suprême, incursion des barbares, des pirates (« le désir de rivage »). Les populations

ne peut être envisagée hors du mécénat. L'écrivain est nécessairement au service d'un prince ou d'un puissant, et exécute pour eux des commandes. En échange de ses productions, il reçoit la protection qui lui permet de vivre à l'abri du besoin. C'est ainsi que l'écrivain est appelé à jouer un grand rôle dans le divertissement des cours aristocratiques, où le public féminin occupe alors une place de choix. Ce sont d'ailleurs surtout des femmes qui ont fait le succès de la littérature romanesque au

fois. Cela lui est possible que parce qu’il est nourri par les paysans de son domaine (seigneurie) souvent réduits au servage et qui, en échange de l’usage des terres (tenures), versent à leur maître des redevances et effectuent des travaux divers sur la réserve (corvées). Forts de cette autorité, ils encadrent les paysans qui leur versent en échange des redevances et il marque le paysage de leur présence et de leur autorité avec les châteaux-forts. Chaque seigneur domine un territoire