Un échange Peut Il être Désintéressé

Le thème du texte est les échanges. La question que se pose HUME, l'auteur, est : Est-ce qu'un échange peut-être désintéressé ? Sa réponse est : Oui, il peut l'être. De la ligne 1 à la ligne 5, l'auteur parle du type d'échange intéressé : «  (..) Rendre un service à autrui, sans lui porter de tendresses réelle parce que je prévois qu'il me le rendra dans l'espérance d'un autre service (..) » De la ligne 5 à la ligne 11, l'auteur parle du type d'échange désintéressé. « Je peux encore rendre des

Un échange peut-il être désintéressé ? Tous les êtres vivants se maintiennent dans l’existence que grâce à des échanges biologique. Dans le cas de l’Homme, il existe beaucoup d’autres formes d’échanges (économiques, politesses, idées, regards,…). Un échange est une opération de transfert de biens ou de services considérés comme équivalents. Le mot désintéressé n’est pas préoccupé par son intérêt personnel, il n’agit pas par intérêt.Le langage n’est-il qu’un moyen de communication lors d’un échange 

selon laquelle la promesse est « une sanction de l'échange intéressé entre les hommes » à laquelle on doit se soumettre. L'auteur explique clairement dans le premier paragraphe ce qu'est l'échange intéressé pour ensuite le distinguer de l'échange désintéressé qu'il développe dans le deuxième paragraphe. Cette argumentation lui permet de démontrer sa thèse. Alors pourquoi donne t-on peu d'importance à une promesse? Hume, dans ce texte, répond à ce problème en disant que c'est parce que nous n'attribuons

Sujet 1 : Les échanges sont-ils toujours intéressés ? Problématisation possible: il y a échange quand on donne ou cède quelque chose contre quelque chose. Il apparaît logique de penser que si on accepte de se défaire de quelque chose que l’on possède, c’est parce que nous avons besoin ou envie de ce que l’on va obtenir en retour. Donc les échanges semblent être de fait intéressés dans le sens où c’est l’intérêt qui fait qu’on accepte de perdre ce qu’on a en échange de ce qu’on n’a pas. C’est particulièrement

Les rapports entre les hommes peuvent-ils être désintéressé ? Selon une opinion très répandue , les rapports entre les hommes ne sont pas purement existants par leurs intérêts . La réponse a la question posée semble donc très évidente . Les rapports sont basé sur un interet personnel et désignent la relation entre les choses , en l'occurrence , ici les hommes . Def homme Le désintérêt , lui désigne ce qui n'importe pas , c'est à dire qui n'apporte aucun avantage . De ce point de vue , lorsque

Donner et recevoir, c’est ce que l’on appelle un échange. Mais peut-on réellement considérer que cette réciprocité soit active pour appeler l’acte un échange ? Doit-on recevoir pour partager ? Le don gratuit ne peut-il pas être également considéré comme un échange ?. En matière de sciences, généralement, l’échange est considéré comme une action bilatérale donc réciproque. C’est ce qui se passe par exemple, au niveau des échanges moléculaires. Dans la société, la constatation est la même, on donne

donc jamais désintéressé. Mais peut-on toujours rapporter l’échange à la poursuite d’un intérêt ? Il semble que cela ne soit pas possible. Par exemple, l’échange verbal – la communication – n’est pas toujours orientée par la recherche de l’intérêt personnel. Il nous arrive de parler pour le plaisir de parler sans que nous ayons par avance déterminer ce que cela allait nous (r)apporter. Mais, précisément, dans ce cas, ne s’agit-il pas d’une forme d’illusion que de croire qu’un échange puisse ainsi

d’insatisfaction : on ne peut pas tout acheter ! I2) Les conditions d’un achat : accord avec le vendeur, liberté d’échanger, fixation d’un juste prix. . Problème : il y a des choses qui semblent ne pas avoir de prix : la Nature (ex : l’eau), sorte de propriété collective de l’humanité. On leur fixe un prix mais danger : on se l’approprie (ex des matières premières, des pays qui vendent leus terres cultivables), l’être humain (prix des dédommagements pour les assurances). Peut-on refuser que certaines

1ère partie : la politique CHAPITRE 1 : La société et les échanges Une cité c’est une communauté d’individu, par extension ça va donner l’Etat. Etat invention du 15ème siècle. Chez les grecs : 250 cités indépendantes, jamais unifiées parlaient la même langue ; ne pénétraient pas dans les terres passaient par la mer. Les cités avaient des régimes politiques, religions différents. Mythe et pensée explique qu’à cause de ces diversités, la même langue aurait fait émerger la philosophie. Grèce

On peut être tenté de définir rapidement autrui comme « alter ego » (autre moi). Cela semble poser une égalité par rapport à ce que je suis et garanti qu’il me ressemble ; bien que son corps occupe dans l’espace un lieu différent, je lui prête une conscience, une pensée, une affectivité de même nature que les miennes. Peut-on dire que toute relation à l’autre est un échange ? Comment nous faut-il comprendre cette notion d’échange ? Qu’échange-t-on lorsque nous échangeons ? Que signifie « avoir