Un échange Aristocratique

n'eussent pas offert le moindre territoire à partager, leurs détenteurs faisant écran. Restait la Saxe, où Henri Ier disposait de droits patrimoniaux, mais c'eût été ruiner la base du pouvoir de la dynastie et prendre le risque d'une insurrection aristocratique ». Henri Ier aurait apparemment déjà décidé de sa succession dans les années 929-930. Il choisit pour lui succéder son fils ainé Otton (pour plusieurs raisons qu'expose K.Schmid). Deuxième différence, Henri Ier désigne son fils Otton et l'allie

d'entrée était conditionné par la naissance. Sous l'impulsion de deux révolutions, une 1ère politique (la révolution française), et au delà de cet événement de 1789, l'avènement de la démocratie, où l'on renverse le pouvoir d'une élite noble et aristocratique (« aristo »= les meilleurs / « cratos » = pouvoir → le pouvoir des meilleurs), et les divisions traditionnelles en ordres n'ont plus officiellement cours : tout le monde a les même droits politiques. On rentre dans une société d'égalité politique

« espacés », « très haut » ou « grand poêle » ne sont que quelques exemples. On assiste en réalité à une distorsion de l’espace par Emma, à qui tout semble immense, par rapport à l’univers bourgeois étroit et fermé. Par métaphore, c’est le monde aristocratique qui devient infini. Grâce à un mode de description en trois dimensions presque pictural qui utiliserait le procédé du clair-obscur, qui rend flou les contours du tableau pour en montrer l’éloignement (« […]à travers la brume on distinguait des

berceau de l’humanité, de l’écriture et des traductions. B. La Mésopotamie 2 fleuves : le Tigre et l’Euphrate. La traduction prend naissance là où il a des échanges commerciaux et diplomatiques entre différentes civilisations. Les fleuves sont nourriciers → implantation de l’agriculture (ex : Delta du Nil). Les échanges commerciaux se font par bateaux, d’où l’importance des fleuves. La traduction se cristallise autour des grandes villes autour des fleuves : les civilisations de Sumer

puisqu'il s'agit de l'application d’une même doctrine dans des domaines différents. * Libéralisme économique : Le libéralisme économique est une école de pensée, née au siècle des Lumières, qui estime que les libertés économiques (libre-échange, liberté d'entreprendre, libre choix de consommation, de travail, etc.) sont nécessaires en matière économique et que l’intervention de l’État doit y être aussi limitée que possible. Les partisans du libéralisme économique se rangent en deux grandes

commercial. Cette position géostratégique permet à Constantinople de s’imposer sur le plan commercial. L’empire byzantin entretient un système de routes terrestres notamment par le drome, mais cependant l’atout majeur du commerce byzantin reste les échanges maritimes, le grand commerce par la mer. Constantinople est au centre d’un grand réseau de commerce maritime, encerclée par la mer Noire et la Méditerranée. Constantinople est d’ailleurs le principal port, et tout une organisation de la ville est

liant situation politique et situation financière, touche un nombre grandissant de paysans non propriétaires terriens : l'inégalité politique et le mécontentement sont forts dans le milieu rural ; d'autre part le développement de la monnaie et des échanges commerciaux fait émerger une nouvelle classe sociale urbaine aisée, composée des artisans et armateurs, qui revendique la fin du monopole des nobles sur la sphère politique. Pour répondre à cette double crise, de nombreuses cités modifient radicalement

l’information et l’initiation. Jusqu’au XVIIIe siècle, l’éducation – essentiellement morale, humaniste et religieuse – donnait le pas à l’initiation sur l’information. Voltaire et Diderot ont dénoncé cette éducation par trop désintéressée et aristocratique. Depuis, la part initiatique de l’éducation ne cesse de reculer. On a abandonné le grec et le latin. La littérature est considérée comme un ornement inutile. L’histoire et la géographie menacent d’être reléguées à leur tour. Il ne s’agit plus

« grands rhétoriqueurs » : ils se caractérisent par une grande virtuosité (rimes riches ou équivoquées, jeux sur le langage, lectures à plusieurs sens… ) La Renaissance Le poète a un rôle social de haut-niveau : des mécènes l’entretiennent en échange de quoi, le poète leur rend hommage et leur écrit des poèmes de circonstance. Il se donne le statut de « vates » (intermédiaire entre les hommes et Dieu) et cherche à s’élever par un usage renouvelé et maîtrisé de la langue. Mouvement littéraire

l’auteur présente au lecteur une introduction de la scène en lui bien décrivant les décors de l’action. L’action elle-même se passe sans mots comme si le lecteur était dans la pièce et faisait partie de la scène. Le lecteur ainsi partage les regards échangés entre la princesse de Clèves et le duc de Guise et les regards dans cette scène semblent être plus significatifs que les paroles. Résumé : A la cour d'Henri II, à Paris, le jeune prince de Clèves rencontre Mlle de Chartres, jeune, belle