Un mari idéal

suivante : Dans quelle mesure ce roman illustre-t-il ou remet-il en question l’idéal du siècle des Lumières ? Pour y répondre, nous étudierons d’abord le contexte historique de l’époque ainsi que les principaux idéaux des Lumières, puis nous aborderons les ombres cachées derrières ces idéaux. Si l’on remonte au règne de Louis XIV (1643-1715), on peut retrouver une ambiance morose dont veut se débarrasser Louis XV en arrivant au pouvoir (1715-1774). C’est pour cela que Louis XV réitère le goût du

d’autrui ? Autrement dit, le bonheur est-il un idéal égoïste ? Vouloir être heureux et agir en fonction de cette recherche du bonheur, cela signifie t-il pour autant être égoïste et ne penser qu’à soi ? Tout d’abord, le bonheur peut se révéler comme étant un idéal individualiste et personnel ; cependant il n’est pas certain que cette quête soit véritablement tournée vers notre propre personne et nos propres intérêts. Si le bonheur est un idéal de satisfaction intense auquel on tient particulièrement

repose sur son droit. Il est le mari du mariage de raison, l’autorité à contester. Romantique de cœur mais pas d’allure Il incarne l’idéalisme révolutionnaire. Républicain mais héritier d’une richesse bourgeoise. Soumis aux convenances Atteint du spleen baudelairien, de mélancolie chronique Exalté par sa propre souffrance Il est une victime de l’idéologie du siècle. LA POLITIQUE Critique des monarchistes sous Louis-Philippe Sans idéaux, présentés comme des libéraux à l’esprit

ses victoires contre Picrochole est une utopie qui symbolise la cité idéale telle que la conçoit l’idéal humaniste. Après avoir vu l’extérieur du silène, comique et burlesque, dans la majeure partie de Gargantua, nous sommes ici au-delà des apparences, à l’intérieur du silène, dans le beau et dans le vrai selon Rabelais. Il s’agit d’une anti- abbaye puisque ses habitants peuvent en sortir quand bon leur semble pour se marier. II. LECTURE Lecture distincte et expressive III. PROBLÉMATIQUE ET

fille à son meilleur ami (F), décédé depuis quelques semaines. La scène se déroule dans un restaurant, après que nos personnages aient pris leur dîner, ils discutent depuis une demi-heure. H: Ça fait longtemps que je n’ai pas de nouvelles de votre mari. F: La semaine dernière il est parti à la guerre. Cette guerre maudite cause de mort de millions d’innocents. H: Cela est vrai, mais il vaut la peine d’aller en guerre quand notre pays en a besoin, ne croyez-vous pas? Sinon, qui va défendre notre

de se marier avec Agnès ; Enrique, le beau-frère de Chrysalide ; un notaire ; et Oronte, père d'Horace et grand ami d'Arnolphe. On y retrouve aussi une situation typique de ce genre de comédies : un vieillard, Arnolphe, tient prisonnière sa pupille, Agnès, et veut l’obliger à se marier avec lui malgré le conseille d’un ami qui lui dit de ne pas le faire. Le dénouement est aussi l’attendu par le publique : Arnolphe ne réussi pas à obliger à sa pupille à lui marier et au lieu de se marier avec le

cofondus » (l.5) . Ces pensées la berce d’illusions romanesques .Au fils de ses lectures , elle se crée une image toute faite du mariage idéal et du bonheur à travers laquelle elle se représente désormais la réalité .Elle juxtapose ainsi des images sans lien ni cohérence « chalets suisses » (l.13)avec »cottage écossais » .Elle nous offre ici un stéréotype du mari « parfait » acquis par ses lectures : il porte des « bottesmolles » et un habit de velour noir , chapeau pointu et des manchettes .Ici

précieux. Des problèmes de ce type se retrouvent dans l’ensemble de l’œuvre, de manière plus ou moins explicite. Par exemple, l’aveu que Madame de Clèves fait de son amour pour Monsieur de Nemours à son mari est un cas typique de question précieuse : une femme doit-elle avouer qu’elle a un amant à son mari ? De la même façon, le comportement de Madame de Tournon pose certaines questions d’amour : une femme doit-elle promettre un mariage ? Une femme doit-elle épouser l’homme qu’elle aime ? Enfin, la situation

été profondément affaiblie par ce conflit. Puis nous analyserons les conséquences qu’on eut les divers traités de paix sur le continent. Enfin, nous nous intéresserons aux changements politiques qu’on connu certains pays et à l’arrivée de nouveaux idéaux. L’armistice est signé le 11 novembre 1918. Le bilan de cette guerre qui semblait ne jamais vouloir finir est désastreux. Les pertes humaines sont considérables, on parle d’une « boucherie ». On dénombre presque dix millions de morts et huit

privation alimentaire n’est pas d’aujourd’hui. Durant l’époque médiévale, le jeûne était utilisé pour prendre la parole ou pour contester. De nos, il y a encore un jeûne répandu surtout dans les sociétés occidentales appelé anorexie mental, dû à un idéal physique établit par ces sociétés. Il est intriguant de constater qu’à une époque aussi différente et éloignée, les femmes encore aujourd’hui utilisent ce moyen d’automutilation. « De nos jours, nous n’accordons pas la même importance au culte religieux