Un mari idéal

situe juste après l’acte. Jeanne s’abandonne à des sinistres pensés jusqu’au moment où Julien se réveille ; elle n’a plus à ses côtés le charmant fiancé mais bien le nouveau mari. Notre approche du texte s’articulera autour du désenchantement et de la distance entre les deux époux I) Le désenchantement a) Un idéal brisé _ anciens rêves de Jeanne qualifiés par des termes très forts « ivresse rêvée » (2) « chère attente » (2) « félicité » (3) intensité des rêves d’amour (platonique),

Coupeau : Coupeau, du célèbre livre L’assommoir , écrit par Emile Zola, est l’un des personnages principaux. Tout d’abord, qui est Emile Zola ?D’après l’autobiographie du livre, il est écrit que, je cite : c’est un écrivain et journaliste français, né le 2 avril 1840 à Paris et est mort le 29 septembre 1902. Il est considéré comme le chef de file du naturalisme basé sur le déterminisme. Celui-ci à pour objectif de montrer le destin tragique et inébranlable

SQ 3 : Le portrait dans le roman / Mme de La Fayette La Princesse de Clèves 1678 Intro Contexte : époque classique / mesure et équilibre / idéal de l’honnête homme (valeurs morales, sociales) = idéal classique. Auteur : Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de La Fayette (1634-1693), femme de lettres française. Grande amie de Marie de Sévigné Elle commence à s’introduire dans la haute société de la Cour et à ouvrir avec succès son propre salon. Elle fait paraître anonymement La Princesse

Notre extrait se situe au début du roman lors de la présentation de Mlle de Chartres à la cour, ce qui l'occasion, d'exposé les principes de son éducation. Nous pouvons alors nous demander + problématique + plan ( voir au-dessus ). I) Un portrait idéal. a. Beauté au centre des regards. IDEE : C'est la 1ere fois que Mlle de chartres se présente à la cours, elle est donc au centre de tous les regards comme-si elle était sur une scène de théâtre. On pourrait comparer ce mécanisme à l'architecture

monde - Roman met en scène géants/humains (fond burlesque // fond sérieux) - Ici, chap 57 après guerres Piccrocholines, Gargantua construit l'abbaye de Frère Jean - François Rabelais : moine fransiscain en profite pour proposer sa vision de l'abbaye idéale I. Une description idyllique 1. Liberté accordée - Principale caractéristique de la vie des Thélémite : totale liberté soulignée par la maxime "Fais ce que tu voudras" ; abbaye définit en négatif pour insister sur l'absence de contraintes. - Liberté

la retraite de Coulommiers, l'aveu au mari, la mort du prince, la fuite de la princesse sont repris dans le film. |la retraite de Coulommiers et de l'aveu au mari-fiancé condensés en une seule scène On notera le principe de condensation, théorisé par les adaptateurs Aurenche et Bost et consistant à rassembler eun uen seule scène plusieurs épisodes du livre est ici appliqué aux deux épisodes de la retraite de Coulommiers et de l'aveu au mari. Otto et Junie fuient le cours d'Italien

bourgeois que tout oppose au poète, mal vêtu, mal coiffé, à la tenue négligée. Il accentue encore le caractère ironique du portrait en faisant apparaitre une contradiction, alors qu’au premier vers il qualifie le personnage de « grave » car il songe à marier sa fille ainsi apparaît le caractère calculateur et matérialiste du personnage.   il lui donne ensuite, au vers trois, un caractère insoucieux et rêveur, d’ailleurs la diérèse sur insou/cieux accentue le comique. Verlaine met encore en avant sa situation

La beauté existe t elle vraiment ? Selon le dictionnaire, la beauté est la conformité à un idéal esthétique. Chacun trouvant des qualités à une personne chère que d’autre ne trouveront pas La beauté est un contexte que certain trouve inutile ou secondaire étant donné que l’amour ne regarde pas que l’extérieur mais la beauté d’âme et d’esprit. Nul ne peut dire qu’il est la beauté incarnée car sous ses mots se caches de la vanité qui nous prouve que se n’est pas le cas. La vie nous réserve quelque

semble donc adhérer à cette vision. Effectivement, Mme de Clèves est décrite comme un exemple de “vertu inimitable”, elle incarne des idéaux, des valeurs et de la bienséance. Elle se distingue par son caractère vertueux inculqué par sa mère. Cette idée est invoquée à plusieurs reprises dans le roman, notamment à la scène de l’aveu, ou elle avoue finalement à son mari par le billet d’un euphémisme “et si j’ai des sentiments qui vous déplaisent, du moins je ne vous déplairai jamais par mes actions

étudiant en droit pourtant plein de théories idéales sur l’égalité des sexes, mais qui est vite happée par un conditionnement imposé par la société et voit sa vie confisquée par toutes les tâches domestiques qu’elle est finalement seule à accomplir. Le texte soumis à notre étude est extrait de cette œuvre et nous offre la vision qu’a la narratrice de sa vie quotidienne, ses réflexions, ses inquiétudes, sa lassitude de la routine morne et des attitudes de son mari. Afin de comprendre comment la narratrice