Un mari idéal

1935 C – Nathalie Sarraute, Le Planétarium, 1959. > Dans ces trois textes, le narrateur fait réagir les personnages féminins en fonction de certaines valeurs morales et sociales : vision de l'homme, places respectives de l'homme et de femme, idéal social. Pour chacun des textes, vous caractériserez ces valeurs, en étant attentif à celles qui peuvent être communes à l'ensemble du corpus. Après avoir répondu à cette question, les candidats devront traiter au choix un des trois sujets. Document

tragique engendré par l’opposition entre leur amour et leur devoir. Phèdre, écrite en 1677, décrit l’histoire d’une femme mariée à Thésée qui tombe amoureuse de son beau-fils Hippolyte, et se retrouve tragiquement dans la même ville que lui alors que son mari est déclaré mort. ; elle va être partagée entre la tentation d’aimer jusqu’au bout Hippolyte ou de suivre son honneur en restant fidèle à Thésée, qui réapparaît soudainement. Bérénice (1670) reine de Palestine, revient avec l’empereur Titus d’une de

I) Les célibataires : une nouvelle cible marketing Les celibataires, quelles images ? Vieux garçon et vieille fille ont longtemps été vus comme des spécimens égoïstes, dans une société qui imposait un modèle de vie idéal, celui du couple marié. Depuis les années 60 et l’essor de valeurs individualistes, le visage du célibataire a changé. Aujourd’hui, il s’impose comme un modèle à part entière. Une image plus positive : «L’individualisme est aujourd’hui revendiqué par l’ensemble de la société;

l'heroine B- Portait physique élogieux , 1) Incarne la beauté Employe de vocaublaire élogieux comme " beauté " , " belle personne " , " sa beauté ' , " grande beauté " = occurance du mot beauté 2) Beauté conventionelle Sobre et abstraite : idéal du XVIIeme Portait physique vague , peu de détails ou uniquement à la fin du texte : Description de son visage Portait idéalisé et non réaliste , on ne peut pas se representer le personnage , le lecteur l'imagine comme il le souhaite 3) Beauté

la veuve et souhaitent le meilleur pour lui quand ils connaissent que Germain aime la petite Marie. Et Germain est un homme très idéal : beau, franc et gentil. Il déteste des intrigues de la veuve, et il ne pense pas beaucoup à l’intérêt économique. La petite Marie est aussi une fille simple. Elle est belle, bonne, courageuse et intelligente. Elle veut se marier pour la meilleure vie de sa mère. Et le petit Pierre, il n’y a pas de personne plus simple et plus superbe qu’un enfant. Evidemment

monde et aspire beauté, la richesse, la passion et la haute société. Il s'agit de la différence entre ces idéaux romantiques et les réalités de sa vie qui animent la plupart des pays du roman, et plus particulièrement son leader en deux amours extra-conjugales ainsi que lui causant d'accumuler une quantité insurmontable de la dette qui conduit finalement à son suicide. Charles Bovary Mari d'Emma, ​​Charles Bovary, est un homme très simple et commun. Il est un médecin de campagne de profession

écho à Montesquieu, que la lecture est tout d’abord une activité de plaisir en agrémentant notre vie d’ « heures délicieuses ». En effet, on observe que la lecture de certaines œuvres nous est agréable car la vie du héros peut nous paraitre comme un idéal qui est difficile, voire impossible à atteindre. Le lecteur peut donc vivre la vie des personnages par procuration sans en subir certaines conséquences néfastes. Ainsi, le roman de Jules Verne, Le Tour du monde en quatre-vingts jours illustre parfaitement

jusqu'à la p148 Une critique de la religion I L'évolution du couple 1 Nouveau Monde 2 L'expérience 3 DG travaille 4 Tranquillité, continuellement 5 Ils sont bons par nature II La décision de se marier 1 Conception du mariage a que veut dire le mariage pour DG b Rien de nouveau c Se marier c'est se conformer à une règle extérieure d Abandon d'un état antérieur 2 La manière dont ils prennent la décision a Murie réfléchie b des obstacles c enthousiasme III La critique de la religion

Molière 1672 en cinq actes. Elle est représentée pour la première fois le 11 mars 1672 au Théâtre de la salle du Palais-Royal, par la Troupe du Roi. L’intrigue réside dans le mariage entre Henriette et Clitandre, lequel risque d’être empêché de se marier par Philaminte qui veut lui faire épouser Trissotin, un poète précieux et pédant. Dans un premier temps on résumera la comédie, dans un second temps on étudiera le portrait du personnage d’Henriette et enfin nous verrons se que dénonce Molière dans

beau être aimante, et d’une beauté incroyable, Baudelaire ne fait pas d’elle un idéal, il a un regard très contrasté. Nous verrons comment Baudelaire voit les femmes à travers ses poèmes. Nous parlerons dans un premier temps du regard positif et dans un second du regard négatif qu’il porte sur la femme. Tout d’abord, nous pouvons voir que Charles Baudelaire a un regard très positif sur la femme. Cette femme idéale est présente deux fois dans La chambre double : « sur ce lit est couchée l’idole