Un mari idéal

« vu » - Chps lexical de la vue - La vue est au centre de cet extrait mais aussi du roman A la cour, l’apparence est la chose la plus importante : il faut se montrer Lieu de ttes les intrigues B/- Ou apparaît une Princesse a la beauté idéale Les trois 1ère lignes = Apparition de la Princesse - Préparée par un passé simple : «  Apparut » et suivit par un adverbe de temps : « alors » But = dramatiser l’action Elle chamboule tout -« blanche de peau », « cheuveux blonds » => princesse

inférieur à l’homme –c’est ce que Aristote affirme dans ses ‘Dialogues’- qui n’avait pour but que la production et l’élevage des enfants. Aristote va jusqu’au point de dire que la femme n’est qu’un homme raté. Elle est un objet, emprunté par le père au mari. Au sein du mariage elle doit être taciturne et fidèle, même si l’homme n’est pas contraint d’être fidèle à sa femme. Les fillettes participaient à des rituels dans le temple de la déesse Artémis, où on les voyait comme ‘des petits oursons’, des animaux

la définition du Concile de Trente. « il est possible de mettre en lumière les étapes successives qui ont conduit à l'avènement de la phase explicite de la spiritualité conjugale, laquelle n'émerge qu'au XXe siècle » p. 148 ! les textes reflètent idéal de vie. DONC, « on peut néanmoins souligner qu'à fin du XVIe siècle, l'Église impose un modèle conjugal relativement original » p. 149 Le concile de Trente clôt le débat avec la doctrine de grâce. Le mariage entre dans le domaine du sacré, ce qui implique

cet échec n'est-il pas uniquement perçu sous le point de vue d'un idéal d'une classe sociale, celui de la bourgeoisie ? Tout d'abord, de manière générale, l'échec se traduit par le résultat négatif d'une tentative, un manque de réussite, une défaite. L'échec se définit de façon différente pour chaque individu, mais il reflète souvent l'idéologie de la classe à laquelle l'individu appartient. Chaque classe sociale a un idéal de vie qu'elle diffuse. Dans Madame Bovary, le personnage d'Emma appartient

frère unique du Roi. Molière, dans cette pièce comique fait donc passer par Arnolphe (le personnage principal), la misogynie exagérée des hommes au XVIIème siècle. Dans scène d'exposition de l'acte I scène 1, Arnolphe fait le portrait de la femme idéale tout en gardant un esprit comique. Genre : Le genre de ce texte est le théâtrale. Registre : Le registre dominant est le registre comique (puis pathétique), le but de cette pièce est de faire réfléchir le spectateur sur une attitude de l'homme

vie quotidienne Ces éléments de style d'écriture permettent la transmition du message de l'auteure de facon concrète et presque brutale. Dans ce texte, Annie Ernaux veut dénoncer le manque d'émancipation qu'elle a face à son mari qui tient le discour de l'égalité des sexs mais qui en réalité s'englue dans une organisation traditionnelle d'un couple marié. Ainsi Annie Ernaux devient une femme du foyer et doit apprendre à cuisiner car c'est elle la "femme" du couple. La narratrice

dans les villes ou même aux États-Unis pour se trouver du travail. C’est à ce moment qu’il y a eu l’apparition du courant littéraire du terroir. En effet, la vie paysanne était représentée comme un idéal à suivre dans les œuvres qui s’inspiraient de cette littérature. Le but était d’afficher le portait idéal de la société canadienne française et convaincre les gens d’y croire Deux récits s’apparentent donc à ce courant, soit Grand-mère de Blanche Lamontagne-Beauregard et Le Noël à St-Hilaire de Camille

sentiments, cet amour secret qui se vit généralement hors mariage. Nous nous demanderons donc comment cet idéal courtois s’exprime-t-il dans les lais de Marie de France ? Pour répondre à cette question nous analyserons dans un premier temps l’univers des lais de marie de France et la place qu’il laisse à la beauté ainsi qu’à la perfection puis dans un second temps nous verrons la relation idéale entre le chevalier et sa dame. Marie de France nous décrit l’univers dans lequel se déroule les lais comme

puisque tous abordent la question de la femme au XVII°. Mais quelle vision de la femme chacun de ces textes prône-t-ils ? Nous pouvons initialement observer que tous recourent au registre satirique et à l’ironie pour confronter leur vision de la femme idéale, attachée aux valeurs du passé, à l’image de la Précieuse qui sert de repoussoir et semble effrayer la gente masculine. Les deux extraits de Molière proposent ainsi, dans des tirades, le point de vue de deux hommes. Tous deux ont également la particularité

noblesse et de la chevalerie a conduit vers la propagation des modèles chevaleresques. Une “idéologie” de classe prend contour, et l’éthique du siècle se constitue dans l’unité de multiples valeurs: militaires, religieuses ou courtoises, en créant un idéal qui devient universel. Dès le Xème siècle puis au XIème , “l’idéologie” chevaleresque n’est plus l’apanage seul du roi. Elle s’est formée peu à peu, sous l’influence de l’Eglise, de la noblesse et de la littérature, dans une idéologie vulgarisée pour