Un mari idéal

encore « les lampes pâlissaient » (MB, p. 85) renvoient à la vie romanesque dont Emma s’était fait idée en lisant les romans romantiques. La pâleur est considérée comme un trait de l’aristocratie, de la noblesse. Ce synonyme de la beauté constitue un idéal à atteindre. N’ayant pas d’autre point de repaire que le couvent et le monde des héros romantiques, Emma s’est fait une fausse idée de la vie et malheureusement ce bal lui a donné la preuve qu’une telle vie peut exister. Nous saisissons l’ironie

que prend cette femme si banale, mais pourtant hors du commun. Cela n'a pas empêché cet ouvrage de traverser les siècles et d'avoir été adapté de toutes les manières possibles d'années en années. Autour d'Emma, cette femme désespérée, se trouve son mari Charles et ses fantasmes. Flaubert dans ce roman, nous raconte ses aventures tout en blâmant certaines mœurs. Madame Bovary, ne se contente pas de vivre une vie maritale simple, elle s'éprend d'autres hommes au cours de cette histoire, alors qu'elle(s)

La venue au monde de Charles sera pour chacun l'occasion de reporter sur le fils ses espoirs déçus. Son père, voulant un fils viril, lui enseigne la vie à la dure. Sa mère quant à elle reporte sur lui tout l'amour frustré qu'elle ne donne plus à son mari. Très tôt, elle lui enseigne le piano, la lecture, et souhaite qu'il poursuive des études. C'est ainsi que le jeune garçon se retrouve au collège de Rouen. Sans être médiocre, Charles Bovary n'est pas un bon élève et se situe tant bien que mal dans

entre familles de mêmes conditions sociales, à la fois le mari est intelligent et la femme est belle, c’est le mariage idéal pour les chinois. Dans la Chine contemporaine, les jeunes prônent l’amour libre. Ils cherchent un /une amoureux/se dans leurs amis, camarades de classe, collègues etc. Bien qu’il ait eu beaucoup de changement en matière de la façon de trouver le mari ou la femme, les critères de mariage idéal ne change jamais, ils sont les mêmes que des milliers d’années

enfin le bonheur avec Emma ! Malheureusement pas réciproque : Emma grande lectrice. Son mariage loin de ses idées préconçues et livresques de l’amour. A un idéal, personnification de l’amour qu’elle s’est forgé en lisant les livres au couvant. Emma éduqué au couvent où elle a lu énormément durant son enfance. Elle s’est construit un idéal de la vie, une vie imaginaire semblable aux livres, une vie romantique, féminine et fabuleuse. C’est quand elle perdit sa mère qu’elle a commencé à lire : les

à l'envie de se noyer dans les infinies profondeurs de ses yeux. Ajoutez à cela ses lèvres charnues et sensuelles, et vous aurez une idée de la fascination qu'elle peut exercer sur son entourage.  Fatma n'a pratiquement pas de problème pour se marier — elle ne court pas le risque de rester vieille fille —, ce qui constitue déjà un privilège appréciable, n'est-ce pas ? Le cortège de ses soupirants est impressionnant, à telle enseigne qu'elle a bien souvent l'embarras du choix. On la demande en

avait rouvert ses portes en 1716. Parmi les nombreuses comédies écrites par Marivaux, le jeu de l’amour et du hasrad est considéré comme le chef-d’œuvre de cet auteur. Il était inspiré de Gianetta Benazziti dit Silvia, elle fut pour lui une interprète idéale. Dans cet extrait, nous verrons dans quelle mesure cette scène est-elle une scène d’exposition ? Pour cela, nous étudierons dans un premier temps les différences entre Sylvia et Lisette. Ensuite nous analyserons en quoi cette scène est originale

l’Inde connait ses premiers soulèvements. Dégoûté par ce qu’il voit, il démissionne et se consacre à l’écriture. En 1928, il regagne l’Europe et adhère aux idées communistes. C’est au nom de cet idéal qu’il s’engage dans la Guerre d’Espagne contre les fascistes. La dictature de Staline achève ses idéaux. En 1939, il devient chroniqueur. La source de ses écrits vient notamment de son expérience personnelle vécue : l’impérialisme britannique, colonialisme, totalitarisme… C’est dans cette période qu’il

hyperbolique = insistance sur la gravité de la situation - euphémismes = annonce la mort de façon atténué = bienséance classique - éloge appuyé par 4 mots mélioratif : personnage idéal : force morale/qualité morale/qualité religieuse - annonce d’une scène d’intimitéMme de Chartres est représentée comme un personnage idéal qui fait preuve d’une grande sérénité face à la mort. Le passage reflète l’atténuation de la bienséance classique pour ne pas choquer le lecteur.- discourt direct = mère à initiative

répondre à cette problématique nous étudierons la description de Melle de Chartres à travers sa beauté et son rang et l’éducation qu’elle a reçue par sa mère. Premièrement, l’auteure utilise le champ lexical de la beauté pour représenter la femme idéale : « grande beauté », « pleins de grâce et de charmes », « tous ses traits étaient réguliers ».Melle de Chartres est personnifiée en « une beauté parfaite ». Une beauté qui est accentuée par l’utilisation de l’adjectif hyperbolique « une beauté parfaite »