Tuer Selon Kant

qui peut être justifiable pour plusieurs raisons. Tout d’abord, de nombreuses personnes pensent que l’avortement ne doit pas être légalisé puisque c’est perçu comme un meurtre. Selon eux, avoir recours à cette intervention ne respecte pas le droit à la vie du fœtus. L’avortement en quelque sorte n’est pas un meurtre selon moi si c’est fait pour de bonnes raisons. La femme a le droit de prendre ses propres décisions, c’est son corps et elle peut en faire ce qu’elle veut. « Il vaut mieux envisager

Benjamin Constant, défenseur d'un droit au mensonge si c'est pour faire le bien. Ainsi, il nous explique que l'homme a le droit de mentir uniquement dans certaines conditions. Par exemple, si des assasins poursuivent mon ami, avec l'intention de le tuer, et qu'ils me demandent si ce dernier ne s'est pas réfugier dans ma maison, j'ai le droit de ne pas dire la vérité puique la finalité, qui est de sauver mon ami, est conforme au bien. Si j'avais dit la vérité, mon ami aurait été tué et j'aurais ressenti

aurait été arrêté sur un autre territoire. Dans ce dernier cas, reste le problème du jugement. Pour le même crime, la peine peu tout aussi bien être capitale dans certains pays, mais bien plus légère dans d’autres. Le criminel risque ainsi d’être jugé selon des lois plus dures que ce qu’il devrais, ou inversement. Cela peut poser de nombreux problèmes moraux Au cours de l’histoire se sont succédés de nombreuses conquêtes, annexions, mises en esclavage, changements de gouvernements, etc etc… Tous ces

objets fabriqués, mais nous sommes des vivants. On ne naît pas avec des instincts, tous les comportements sont appris. ★ Clivage entre intention morale et acte  contresens sur Kant. La question est autre chez Kant : est ce que l’intention peut se résumer au bénéfice que l’on attend de l’acte ? Tout l’intérêt de Kant montre que la conscience morale appartient à chaque homme, même aux criminels : chacun sait où est son devoir  certains l’accomplissent, d’autres non. Le fait d’accomplir fait en

identifier la vie heureuse à la vie réussie (bien = réussi), et d’autre part, la réussite pour chaque chose correspond à la réalisation de sa fonction propre. Comme la fonction propre de l’homme, c’est la vie selon la raison, alors la réussite de la fonction propre sera la réussite de la vie selon la raison. Le bonheur réside donc dans la vertu, morale ou intellectuelle (pratique du bien ou contemplation du vrai). « Le bien, c’est ce vers quoi tendent toutes choses » Bonheur,

orchestrerait toute cette illusion. L’individu est au centre de l’examen mais il ne suffit pas à lui tout seul à résoudre la question : cela va finalement être un problème persistant qui va entraîner des interrogations sur la politique et le droit. Selon quelles règles est-il possible de déterminer la société ? La réponse donnée peut être l’individu, l’intérêt général ; mais, avant on peut dire que l’honneur entrait en jeu. Donc, à partir du moment où l’on fixe l’individu comme base il va être compliqué

sur les domaines de la chimie et de la physique ; d'autre part, l'étude des populations peut conduire à l'éthologie (étude des comportements chez les animaux) ou encore à la sociobiologie (théorie qui tente de rendre compte des relations humaines selon les modèles biologiques. Ainsi, la notion de vie ne semble pas se réduire à l'objet propre d'une discipline scientifique, serait-ce la biologie. A. de l'ambiguïté de la notion de vie Comment définir la vie ? Une tentative de définition se

partir des deux conceptions de la liberté proposées par Berlin. Tout d’abord, comment serait-il possible d’arriver à un tel état idéal? Pour que tous les hommes soit en accord avec les principes, se sentent égal par rapport à l’autre, il faudrait, selon moi, que tout le monde pense de la même manière. Que le courant de pensée soit le même que les êtres agissent plus ou moins de la même manière. Pour cela, il faudrait que tous les hommes soient rationnels. Qu’ils comprennent pourquoi il faut agir comme

il le veut (ex: « Je lève le bras ») et l'es^rit agit sur le corps sans le vouloir (ex : « je me présente à une épreuve et j'ai mal au ventre »). → Selon Descartes on explique ça par une mécanique corporelle avec la liaison avec l'esprit. C'est le domaine de la passion. Il y a une réaction. La passion est un domaine d'action réciproque. → Selon Freud, il y a une pensée derrière tout ça, mais une pensée qui n'est pas conscient. C'est l'inconscient sexuelle. Il y a une sorte de logique infantiles

évolutive que les intellectuels entretiennent avec la notion de bonheur. Qu'est-ce que le bonheur ? Il est frappant de constater à quel point il est difficile à définir pour les philosophes qui aiment les classifications nettes et tranchées. Lisons Kant dans les Fondements de la métaphysique des mœurs : « ...par malheur, le concept de bonheur est un concept si indéterminé, que, malgré le désir qu'a tout homme d'arriver à être heureux, personne ne peut jamais dire en termes précis