Triangle De Mundell

une zone de stabilité monétaire régionale, sans référence à un ancrage externe), puis à conclure au début des années quatre-vingt dix le traité de Maastricht, conduisant à la mise en place de l’union monétaire européenne en janvier 1999. Le triangle de Mundell L’histoire monétaire du XXème siècle reflète la difficulté récurrente à résoudre le dilemme incontournable entre la stabilité des changes et l’autonomie des politiques monétaires nationales. Le fait marquant des années 1990 est la libéralisation

l’impossibilité de revenir à un monde de Bretton-Woods avec des taux de change fixes (mais adaptables), il ne fait guère de doute que l’instabilité et l’incertitude monétaires ont des effets pernicieux sur la performance économique. Selon les termes de Mundell[7] : «La période qui s’est écoulée depuis la mise en place du système des taux flottants a été l’une des plus instables de l’histoire monétaire. Pour les pays en développement, les trois dernières décennies ont été caractérisées par une forte

A contrario, s’il y a plus d’objectifs que d’instruments, le modèle est indéterminé. 2ème principe, le principe de l’efficience. Le 2ème principe, assez subtil, est celui de l’efficience. Robert MUNDEL[12], grand spécialiste de macroéconomie internationale. Il est aussi appelé principe de MUNDELL, qui préconise l’affectation de chaque instrument à l’objectif pour lequel il a l’efficacité la plus grande. Ex. Cela permet de faire du fine tuning. Vous pourriez essayer d’augmenter Y1 et baisser

La mise en œuvre de cette monnaie unique va être matérialisée par le traité de Maastricht, qui est le moyen d’accéder à la monnaie unique. Le rapport de Padoa-Chioppa s’appuie sur un article de Mundell dans lequel il est réfléchi sur la zone monétaire optimale. Mundell montre qu’il existe un triangle d’incompatibilité. Il ne serait pas possible d’avoir simultanément une parité fixe des monnaies, libre circulation des monnaies et une autonomie de la politique monétaires. Dans le cadre du SME on

faible. Tout point A se situe au dessus de BP caractérise un excédent de la BP. Tout point B se situe en dessous de BP caractérise un déséquilibre de déficit de la BP. Ⅲ. Mobilité du capital et souveraineté monétaire : le « triangle d’incompatibilité » de Mundell M= C+R ...... ① Dans une économie ouverte,la masse monétaire d’un pays (ici M) a une double composants : C : les crédits consentis économique ,on l’appele aussi le canal du crédit,qui répond les objectifs internes de la

contrainte, à travers les fameux critères de convergence du Traité de Maastricht (Stabilité des prix, Situation des finances publiques : déficit public, dette publique, Taux de change, Taux d'intérêt à long terme). Ce choix est basé sur le triangle d’incompatibilité de Mundell : un pays ou une zone monétaire ne peut avoir à la fois liberté des capitaux, des changes fixes et une politique monétaire autonome. Ainsi, les pays européens qui ont fait le choix de préserver un système de change fixe (le Système

théorie déconseillent les régimes à mi-chemin entre l’arrimage ferme et le flottement libre. Ils argumentent leur point de vue, concernant le fait que les régimes de change intermédiaires sont intenables, en se basant sur «le triangle de trinité» appelé aussi «triangle de Mundell», selon lequel un pays ne peut concilier à la fois la liberté des mouvements de capitaux, un taux de change fixe et une politique monétaire indépendante. Dans ce contexte, Fisher (2001) argumente cette tendance vers le bipolarisme

nouveaux tous les problèmes considérables dictés avant. B- L’Europe financière L’adoption de la monnaie unique à permis de résoudre le problème du triangle des incompatibilités au niveau européen. L’Europe a été confrontée à ce problème à partie de 1990 lorsqu’à été décidé de la liberté totale des mouvements de capitaux. L’économiste Mundel a montré des 1960 qu’il y avait incompatibilité entre 3 choses : - la fixité du taux de change - La liberté de la politique monétaire : liberté pour

monétaire. Le « théorème d’impossibilité » (81) dit que ces conditions ne peuvent être satisfaites simultanément. Les régimes des SMI (Bretton Woods…) diffèrent selon la manière dont ils combinent ces critères, et on peut les représenter sur le triangle de Mundell : 1 : Bretton Woods (1944-1971) 2 : SMI post-Bretton Woods (années 1970) 3 : SME (1979-1993) 4 : SMI libéralisé instable (années 1990) 5 : UEM, création de l’euro (1999). Une monnaie est considérée comme internationale si elle remplit

mathématique stricte est « un objectif par moyen, et un moyen par objectif » (il faut autant d'équations qu'il y a d'inconnues). II. Le principe d'efficience Le principe d'efficience est dû au Canadien Robert Mundell, autre prix en l'honneur de Nobel en économie. La règle de Mundell indique que, parmi les moyens disponibles, il faut choisir celui qui permet de réaliser avec efficience l'objectif. III. Critique Le souci de la rigueur mathématique de Tinbergen est peu respecté dans les faits