Toyotisme Fordisme Comparaison

protections sociales : si on n’accepte pas des sécu sociales, le communisme  gagnera tous les pays d’Europe et çà, c’est la mort.  - Beveridge instaure le principe des 3 U :  Ce qui est intéressant c’est cet appel universel du modèle Beveridgien. Comparaison des deux Modèles - Important de comparer les deux modèles : C’est la première fois que l’on peut parler de système de sécurité sociale généralisé (avant, système d’état paternaliste où il complétait les initiatives privées). La différence entre

calculé au prix du marché (c’est pour cette raison, que l’on ajoute à la somme des VA les droits de douanes et la TVA, car les VA sont calculées hors taxe) PIB = somme des VA + TVA + droits de douanes – subventions - Afin de réaliser des comparaisons dans le temps, on enlève les effets de l’inflation , car le PIB est calculé en utilisant le prix des produits (si les prix augmentant, on peut croire que le PIB augmente, alors que ce n’est pas vrai réellement). On utilise alors le PIB réel, qui

conception et exécution du travail : à partir de Taylor, on recrute des ouvriers à qui on demande d’accomplir des gestes et non pas d’avoir des capacités intellectuelles Bureaux des méthodes (technostructure) Analyse de chaque geste Prolongée par le fordisme : Tapis roulant  travail à la chaine Limites : (Organisation Tayloriennes ? Post tayloriennes ?) Parcellisation des taches, déqualification des ouvriers Motivation essentiellement financière La bureaucratie : Max Weber (1864-1920)  observe l’administration

intensité entraînera un rendement d’une certaine qualité( VROOM, V., Work and Motivation, John Wiley, 1964, p.43.). - La théorie de ‘’l’équité’’ est fondée sur le sentiment qu’un individu éprouve quant à la manière dont il se sent traité par comparaison aux autres. Le sentiment d’équité se manifeste quand un individu perçoit le rapport entre les résultats obtenus et les apports comme étant égal au rapport obtenu par ceux qui se trouvent dans des situations semblables et le sentiment d’injustice

Depuis la première révolution industrielle, à la fin du XVIII siècle, l’économie mondiale a connu une croissance économique considérable. Si on mesure la croissance comme l’augmentation du Produit intérieur brut et que pour pouvoir faire des comparaisons pertinentes dans le temps et dans l’espace on prend en considération le PIB par hab. , on constate des phases de croissance lente et des phases de croissance rapide qui aboutissent à une augmentation sans précédent des richesses produites et consommées

croissance Travail et emploi (durée indicative : 4 semaines) Programme Organisation du travail et croissance Croissance, progrès technique et emploi Notions essentielles Division du travail Notions complémentaires Qualification, taylorisme, fordisme, toyotisme, contrat de travail Rendements croissants, marchés interne/ externe du travail Marché (de biens et services), salariat, salaire, coût du travail, marché du travail, chômage, précarité, flexibilité 2 - Inégalités, conflits et cohésion sociale

publicité en ligne(p.31) 1.3.6 Menaces au modèle : la fraude au clic (p.35) 1.3.6.1 Une menace qui s’accroît (p.35) 1.3.6.2 Les réactions de Google (p.38) 1.3.6.3 Comparaison de cette avec les autres, notamment Yahoo ! (p.39) 1.4 Analyse de SWOT de Google(p.40) 1.4.1 Strengths(p.41) 1.4.1.1 La forte position sur le marché (p.41) 1.4.1.2 La technologie

adaptée aux activités de l'entreprise et d'un personnel compétent et motivé est donc un facteur primordial de réussite. Les premiers scientifiques s’intéressant à cette problématique sont Frederick Winslow TAYLOR avec le taylorisme, Henry FORD avec le fordisme et Taiichi OHNO avec les méthodes de juste à temps. A. LES ORIGINES DU FLUX TENDUS a) Le taylorisme Le taylorisme est une méthode de travail qui tire son nom de l'ingénieur américain Frederick Winslow TAYLOR (1856–1915). Cette méthode apparue en

l’hypercompétition sont les objectifs prioritaires des organisations. Pour atteindre ces objectifs et rester dans le marché voir arriver à conquérir le leadership de son marché, les organisations ont dû quitter le monde du taylorisme, fordisme, de Chandler ou même du Toyotisme qui était pourtant une révolution, pour se muer en entreprises de demain. Les organisations les plus « intelligentes » ont développé de nouvelles manières de concevoir le travail, nous dénombrons deux axes : * le développement

définissent au préalable des indicateurs, véritables outils de mesure. L’ensemble de ces indicateurs apparaît dans ce qui est appelé tableau de bord. Il constitue un véritable outil de mesure de la performance étant entendu qu’il permet d’effectuer des comparaisons entre les données réalisées et celles initialement prévues. Mais c’est aussi un outil d’aide à la décision. La plupart des tableaux de bord se basent sur des critères financiers qui demeurent insuffisants dans la conduite de stratégies. C’est