Texte De Arendt

Explication du texte de Jean Pierre Dupuy, « Petite Métaphysique des tsunamis » (2005) Introduction : Ce texte nous fait réfléchir à comment penser le mal au 21ème siècle, et y inclut aussi bien le tsunami de 2004 à Sumatra que trois autres catastrophes, Auschwitz, Hiroshima et Nagasaki, revenant même sur le tremblement de terre de Lisbonne de 1755. Le lecteur peut être pris de suspense car dans le premier cas et celui de 1755, on a affaire à une catastrophe « naturelle », alors que dans le

Il annonce alors les résultats qui en découlent et réponds sommairement aux questions que peuvent se demander les lecteurs en lisant ces lignes. Pour expliquer ce phénomène d’obéissance, l’auteur illustre ses propos par les écrits d’Hannah Arendt à propos d’Eichmann lors de son procès. Milgram insiste sur la banalité des statuts des sujets et sur le fait que beaucoup de ceux qui lisent l’expérience disent « je ne serais pas allé jusque là » alors qu’en réel, leurs actions seraient différentes

L’usage de la terreur Questions : 1- Après avoir lu l’extrait de « La nature du totalitarisme » écrit par Hannah Arendt, on peut dire que la violence constitue le caractère fondamental du totalitarisme, car elle est dirigée contre le peuple innocent, sans aucune raison qui puisse être supportée, comme on le lit au tout début du premier texte, a la ligne trois: « La terreur devient l’essence d’un gouvernement seulement lorsqu’elle est dirigée contre des victimes qui sont innocentes ». On

j’insisterai sur cette montée en puissance des juges, et les raisons pour lesquelles elle est souvent perçue comme une menace. Enfin, j’essaierai de lire le rôle des juges dans la mondialisation à la lumière du conflit entre droit et politique. `Ce texte est une version préparatoire à un article intitulé « Les juges dans la mondialisation : ‘empire du droit’ ou ‘politique par d’autres moyens’ ? », qui sera publié fin 2007 par E. Delruelle, Le conflit entre droit et politique, Bruylant. 2 Le lien entre

Hannah Arendt naît en Allemagne en 1906.Philosophe élève de Husserl et de Heidegger ,elle fuit l’Allemagne pour les USA en 1941 où elle meurt en 1975.Sa liaison avec Heidegger notoirement NAZI et antisémite continue d’alimenter une vielle polémique peu reluisante qui a débuté dès la parution de La naissance du Totalitarisme en 1951 au motif d’un amalgame jugé pour le moins déplacé entre nazisme et stalinisme ;:cette odeur de souffre dont on l’entoure ne fera que s’accentuer après la publication

que comme nous l'avons déjà vu avec Hannah Arendt, plusieurs philosophes tentent de les séparer. De montrer l'importance de l'éducation parentale et l'institution scolaire. La sphere scolaire, à laquelle l’enfant est confronté dès son plus jeune âge est importante, mais il ne faut pas oublier ce que la ohilosophhe Hannah Arendt appellee “ la sphère privée”, qui est nécessaire à l’éducation. Pour en revenir de plus près à Fernando Savater, prenons le texte de la page 59, où il parle du système de

en eux-mêmes ; il ne représentent rien, aucun objet sous un concept déterminé et sont de libres beautés (pulchritudo vaga). On peut encore ranger dans ce genre tout ce que l’on nomme en musique improvisée (sans thème) et même toute la musique sans texte. » On trouverait donc déjà au XVIII e siècle, dans les arts décoratifs et appliqués qui sont des arts à la fois ornementaux et fonctionnels travaillant le bois, le verre, le textile, le métal, le papier, etc., cette imitation de la nature que le design

humain est “ l’être humain doué du logos”, ce qui signifie qu’il est un animal rationale (doué de la raison). 4. Vie comme processus vital et vie humaine Le terme “bios” désigne la vie humaine, alors que “zoê” évoque le processus vital. Le texte d’Hana Arendt traite de la différence entre les deux. On parle de « bios » lorsqu’il s’agit de la vie humaine individuelle constituée d’une histoire personelle particulière. Cette vie humaine est orienté vers un certain accomplissement que l’on va nommer

« La conscience n’est qu’un mot à l’usage des lâches, inventé tout d’abord pour tenir les forts en respect… tout homme qui entend vivre bien tache de vivre sans elle » Richard III est la figure du scélérat, méchanceté extrême. Commentaire de Anna Arendt le scélérat, le criminel est méchant, mais il a quand même une conscience morale et il craint sa conscience morale, richard III est un scélérat, mais il en a conscience, il considère qu’il a des excuses et il est misérable au fond comme en témoigne

car elles sont l’expression spontanée des vrais besoins d’une société. En cela, il peut être rattaché à la coutume, et s'opposer à la modernité. Mais revenons-en à la rupture opérée dans la seconde moitié du XIXe siècle : il s'agit d'après Hannah Arendt d'une rupture historique dans la tradition, non délibérée, et « résultat de la force des choses », puisqu'à l'époque la tradition ne répondait pas aux problèmes nouvellement posés par la société, d'où le silence de la tradition au XIXè siècle. Mais