Sur Le Lieu Commun Kant

évolutive que les intellectuels entretiennent avec la notion de bonheur. Qu'est-ce que le bonheur ? Il est frappant de constater à quel point il est difficile à définir pour les philosophes qui aiment les classifications nettes et tranchées. Lisons Kant dans les Fondements de la métaphysique des mœurs : « ...par malheur, le concept de bonheur est un concept si indéterminé, que, malgré le désir qu'a tout homme d'arriver à être heureux, personne ne peut jamais dire en termes précis

rationaliste nulle autorité n'est supérieure à celle de la raison ou du «bon sens» qui, selon l'auteur du Discours de la méthode, est «la chose du monde la mieux partagée». Le courant humaniste Ce courant va de Montaigne à Auguste Comte en passant par Kant. Pour ces philosophes, l'humanité – hors de nous, mais d'abord en nous – est la seule réalité digne de ce nom, la seule source, sinon la seule mesure, de toute valeur. Le courant existentialiste Ce courant désigné par un terme d'origine récente

serait un guide à ceux qui ont la foi lorsqu’ils auraient des angoisses ou des doutes. Leur foi les ramènerait à Dieu afin qu’ils confient et voit en lui une protection que la science ne peut donner. De plus, la religion est la science ont pour point communs de donner une vérité, mais cette vérité ne mène pas u même objectif, la science cherche des vérités plus réel et la religion des vérités plus spirituelles. Leur objectif n’étant pas le même elles ne devraient donc pas être ennemies mais plutôt cohabiteraient

signifiant « naître » ou « commencer », « avoir pour origine ». La nature, par conséquent, est universelle : tout homme a la même nature, parce qu’il est homme, parce qu’il est né homme. La culture, au contraire, est absolument relative : elle dépend du lieu, du temps et d’autres nombreux facteurs. De ces quelques caractéristiques, l’on peut comprendre qu’effectivement, nature et culture semblent tout à fait opposées : tout homme aurait la même nature que les autres à l’origine, mais chacun différerait

propre vision éthique du monde. Le processus de mondialisation qui se veut aussi processus d’humanisation se réduit pour les pays développés à l’acceptation par les pays pauvres de leurs propres conceptions de l’homme et du monde. Les Lumières avec Kant ont d’abord affirmé que Dieu était inconnaissable et la sanction radicale a suivi avec Nietzsche, Gott starb ! (Dieu est mort !). Après donc avoir proclamé la mort de Dieu, la pensée dite moderne -puisqu’il s’agit d’elle- veut nous mener comme des

cannibalisme par exemple) Kant pense que notre conscience avait deux propriétés : - L'idée qu'elle est innée et universelle, qu'elle ne dépend pas du contexte... - et qu'elle nous rend libre. En somme, Kant s'oppose au Relativisme car l'homme a une conscience, les choses sont soumises au Déterminisme et que donc grâce à la conscience, l'homme peut échapper au Déterminisme. Notre conscience peut imposer des lois universelles comme l'interdit du meurtre. Pour Kant, c'est la preuve que notre

Nous tenterons d’y répondre à travers 3 parties. La première consistera à présenter les deux grandes polarités de la réflexion sur la justice pénale. La deuxième mettra en lumière certaines incohérences des théories classiques et analysera l’apport de Kant et Rawls dans la réflexion sur une théorie démocratique de la peine. Enfin, dans la troisième partie, nous montrerons que la vraie question n’est pas de savoir qu’est-ce qu’une peine juste mais si une peine juste existe véritablement ou pourra exister

dire la vérité ». Le critère moral qui va tenir lieu d'obligation doit relever d'un raisonnement, d'un jugement rationnel, qui fasse loi. « Dois-je ou pas...? ». question éthique, l'obligation nait d'un questionnement éthique comment dois ja agir ou faire pour mener ma vie au mieux. Lignes directrices, de conduite. C) On est arraché à la subjectivité et on bascule alors dans dans l'universel avec la notion d'impératif catégorique donné par Kant. L'obligation est imposé par soi même mais devient

fondateurs du XXème siècle sont le résultat d’une longue réflexion sur l’Europe. - L'Europe provient de trois processus = conception commune de l'Europe : Une histoire institutionnelle partagée : - Les européens ont en commun une expérience des organisations politiques, ce qui laisse une trace dans la mémoire collective, une nostalgie et des espoirs communs. - Empire romain < carolingien Europe = espace de civilisation gréco-latine prolongée par le christianisme. I / L’idée d’Europe au

remet pas en ? le fait que technique est étrangère au progrès technique et montre que ce n’est pas la même branche de savoir que la philo spéculative = Il sépare connaissances théoriques et le savoir pratique= veut trouver une philo pratique au lieu de la philo spéculative= donnent connaissances utiles à la vie. Descartes pense que connaissance humaine = philosophique car exercice de la raison est dans toutes les sciences. Newton a écrit Principe mathématique de la philosophie naturelle =ouvrage