Superstition

œcuménisme. On est bien loin de la religion naturelle de Kant!   2. La conception Kantienne de la religion Clarifions d’abord par quelques distinctions.  Religion : soit comme communauté (Eglise) soit comme  religiosité (foi) ; la Foi, soit comme superstition soit comme principe moral. C’est ce que nous allons comprendre, en partant essentiellement de la religiosité. c’est-à-dire ceci que l’homme se réfère spontanément à ce qui l’excède ; considérer le sentiment religieux dans son universalité et sa

Au cours de la pratique création personnelle sur toute la longueur du semestre, j’ai nous avons pu expérimenter diverses thématiques et techniques (dans quel domaine ? l’animalerie ? L’aviation ? les jeux vidéo ? besoin de précision ici, c’est un peu large de décrire ton vécu dans cette matière par des « thématiques et techniques » seulement). En effet, parmi les trois passages (des passages pour quoi ? dans quel but ? je suis un lecteur curieux, i need you to feed my spirit :/), s’est sur le deuxième

de conflits, de disputes parfois vives et chaque nouvelle esthétique ou idéologie, pour s’affirmer, tend à souligner sa différence en s’opposant à la précèdent, c’est -à –dire; l’optimisme humaniste s’oppose au dogmatisme, aux censures et aux superstitions du Moyen Âge, ensuite la sensibilité baroque rompt avec les enthousiasmes et les certitudes de l’humanisme et aussi l’idéal classique, fondé sur le naturel et la mesure, réagit aux artifices et aux excès du baroque, par conséquent; La pensée

disparaître la France tente de perpétuer cette fète en lancants de nouveaux et nombreux produits de consommation aux couleurs d'Halloween. Le fait de considéré cette occasion festive comme un fond de commerce n'empeche pas la préservation de certaines superstitions. L'une des plus populaire, c'est la vision du chat noir ! Signe de malchance. Chez les Celtes les chats noirs étaient considérés comme Satan lui-meme et complice des sorcières. Ils eut donc de nombreux masacres de chats noirs et meme parfois des

d'aucune mode ni d'aucune époque Madame Bovary (1857) L'éducation sentimentale(1869) Salammbô (1832). VOLTAIRE XVIIIème Philosophe des Lumières (mvt intellectuel / XVIIIe / combat : obscurantisme(ne pas vouloir savoir la vérité), les superstitions/intolérence et privilégie les connaissances / sciences / échange.) Tous les genres littéraires : théâtre, ouvrages historiques, romans et contes (Zadig,Candide, L'Ingénu, Micromégas), poésie, essais, articles scientifiques et culturels, textes

lumière naturelle de la raison. Au XVIIIème siècle, les philosophes ont pour mots d’ordre lutter contre les ténèbres de l’ignorance et la superstition. Héritage partiel de l’humanisme. Sa naissance s’explique par l’évolution des connaissances (Newton), le développement des échanges et voyages et l’essor économique de la bourgeoisie. Contre la superstition, le fanatisme et l’intolérance, ils ont pour but le bonheur terrestre. Cela s’accompagne d’une acceptation par l’homme de sa propre nature

courants de pensée ou de sensibilité et de personnages importants. Le siècle des Lumières désigne une « clarté » qui se propage dans toute l’humanité pour que la raison triomphe sur le non-savoir, les croyances, la religion, l’intolérance et la superstition ; ainsi que le triomphe de la bourgeoisie sur le clergé et les nobles. Cette période est caractéristique d’une remise en question, d’un accroissement de la tolérance en général ainsi que l’affaiblissement de la monarchie et ensuit la fin de la

religion. En y ajoutant un peu d’anti-cléricalisme primaire, cela donne des discours du genre : L’obscurantisme du Moyen-Age est loin de nous ! La science s’est érigée sur les ruines de la religion. Vive la science moderne, à bas la croyance et la superstition ! Or, c’est justement dans ce monde de la techno-science que nous trouvons les formes de croyance les plus inattendues. A côté de la rigueur de l’approche méthodique du statisticien, du programmateur, du chercheur, il y a le domaine très

de la paroisse. 2. Son œuvre  Le but d’Etienne de Bourbon est de montrer quelles dispositions morales résultent de chaque don, vertu comme vice (p. 28). L’un des sept vices est l’orgueil (=superbia) dont une des manifestations est la superstition (p.29). Le prédicateur écrit un recueil d’exempla* qui trouvent leur source dans son expérience personnelle. Dans le présent exemplum*, l’inquisiteur montre le pouvoir du diable dont l’influence va jusqu’à l’institution d’un rite dans lequel les

qu’il a inventé les dieux pour jouer ce rôle de cause. Ces dieux sont une « malédiction » car ils inspirent à l’homme la terreur. 7) Religion et intolérance : Spinoza émet une critique de la superstition religieuse née de deux passions : la crainte et l’espoir des biens incertains. Cette superstition est d’autant plus menaçante que les puissants s’en servent pour faire taire les revendications à la libre-pensée. 8) Dieu comme projection de l’homme : Pour Feuerbach les perfections de Dieu ne