Superstition

Accumulation de termes sur la superstition : des éléments irrationnels sont utilisés pour former le discours historique. Critique généralisée (présentatif « ce sont » au pluriel et adverbe « partout »). Parallélisme « Etats » et « empires » : la fable historique est utilisées à tous les niveaux, importance politique. « Bêtes qu’on adore » : religions païennes et parallélisme « ici » et « là ». Chiasme dieux hommes//hommes dieux : Homme au centre, écrasé par Dieu, superstition pour asservir l’Homme. « Je »

de croire ? Il existe trois sortes de croyance : La superstition (croire à/au) celle-ci est le fruit de la peur et de l’ignorance La foi (croire en) celle-ci ne repose pas sur des arguments rationnels. La foi se manifeste par un engagement total qui parfois peut aller jusqu’au fanatisme L’opinion (croire que) dans ce cas, on adhère à une idée qui n’est pas justifiée, mais qui nous parait vrai Qu’il s’agisse de la superstition, la foi, l’opinion. A chaque fois le fondement de la certitude

D’un enfant monstrueux Intro : Siècles passés : anormalité très svt mise à l’index => curiosité ou effrayait. L’obscurantisme aidant les superstitions l’associait svt à une prod° diabolique. A partir de cette observat° Montaigne, humaniste va observer des enfants monstrueux dans cet extrait du CHAP II des Essais : prod° sur la différence et le regard que nous portons sur les autres. I ) La nature de cet exposé (examen clinique) Etude détaillée + bcp de précisions : 2etres monstrueux =>

Dans le recueil des Lettres Persanes de Montesquieu, la lettre 143 écrite par Rica à Nathanaël Levi, un médecin juif, procède à une argumentation philosophique contre les superstitions et s’appuie sur un exemple cocasse en la forme d’une correspondance entre deux médecins, cette lettre étant enchâssée dans la première. La particularité de la lettre 143 réside en ce que la forme épistolaire est mise au service d’une argumentation. Nous verrons d’abord que cette lettre est mise au service d’une argumentation

faire un conte philosophique amusant et sérieux à la fois. Zadig possède l’ironie mordante de son créateur. Il met celle-ci au service de son combat pour les lumières. Voltaire estime que le philosophe doit agir pour dissiper les ténèbres de la superstition pour apporter les lumières de la raison et œuvrer au bien public. Zadig est écrit par voltaire dit François marie Acouet philosophe des lumières, réprimandé plusieurs fois pour ses différentes satires de la société française. Voltaire dans ce

l'agriculture et l'industrie (progression sociale et morale), diffuserait l'Histoire objective pouvant faire réfléchir les hommes, répandrait la philosophie des Lumières: « éclairer les hommes » et mettant en jeu des vertus morales, remplacerait la superstition par la vraie religion, et enfin entraînerait des progrès dans la médecine. Les deux derniers paragraphes ne sont pas numérotés, et précisent les modalités d'application de l'interdiction de lire, puis de penser. II. L'efficacité       Le choix

punitions ridicules distribuées par l’Eglise ? Plan : I Le regard du naïf Candide a) Une scène d’aspect rituel b) Une scène qui fait penser à un spectacle c) L’incompréhension de Candide II Une dénonciation féroce et ironique a) Dénonciation des superstitions b) La mise en cause de la religion c) Derrière Candide se cachent les idées de Voltaire Introduction : Après avoir été chassé de son château natal de Thunder-ten-tronckh, Candide est enrôlé dans l’armée qu’il déserte lors d’une bataille, puis il

l’accent sur les sciences de la nature et les sciences humaines qui convergent toutes deux dans un souci de compréhension du monde mais elle va aussi dénoncer la superstition, le fanatisme ou encore la tyrannie. Dans les salons, les partisans des lumières débattent sur leurs idées. - Ils critiquent la religion, notamment la superstition qui a leurs yeux est responsable de nombreuses erreurs de jugement. Mais ils continuent tout de même à croire en Dieu. - Ils remettent en cause la tradition

but, loin d’être celui-là, est de mettre en évidence la richesse de la métaphysique spinoziste qui conduit tout autant à la fondation de la science moderne qui ruine la superstition et l’aliénation politique qu’elle engendre, qu’à l’éveil d’une forme nouvelle de spiritualité (épurée justement de toute superstition). La philosophie de Spinoza permet donc en ce sens une accession de l’esprit 12 à l’éternité par la connaissance de l’être dans son universalité, connaissance créant les

XVII°siècle pour évoquer la « lumière naturelle » de la raison. Cette métaphore souligne le vœu de lutter contre les ténèbres de l’ignorance et de la superstition. Il s’agit là d’un des principaux combats de cette philosophie qui, en France, est largement laïcisé. Elle s’efforce en effet decombattre les ténèbres de la religion en dénonçant la superstition, le fanatisme et l’intolérance (affaire Calas). Les Lumières sont donc un mouvement militant qui entend faire partager ses idées au plus grand nombre