Strategie De Lisbonne

Economie Chapitre 7 : La politique structurelle Emilie FERRIE Introduction (page 69) : Q1 : Au vu des deux graphiques, les objectifs de la « stratégie Europe 2020 » montre que l’Europe veut se recentrer sur les domaines suivants : l’emploi, l’innovation, l’éducation, l’inclusion sociale et l’énergie. Mais la prévision que montre ces deux graphique est une baisse de la part du PIB mondial et ainsi que la baisse des exportations mondiales. Donc on peut dire que l’Europe va avoir de nombreuses

LA POLITIQUE D’EDUCATION ET DE FORMATION La stratégie de Lisbonne a pour objectif de faire de l’Union européenne « l’économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde d'ici à 2010, capable d’une croissance économique durable accompagnée d’une amélioration quantitative et qualitative de l’emploi et d’une plus grande cohésion sociale ». I. Lien entre croissance économique et éducation et formation. Le capital humain (ensemble des connaissances et aptitudes

terme (politiques industrielles ; politiques de l’emploi et de la formation ; politiques d’aménagement du territoire…). Les objectifs généraux des politiques structurelles sont définis de manière coordonnée au niveau de l’Union européenne (stratégie de Lisbonne) dont les grands objectifs sont : o L’accroissement de la compétitivité des entreprises ; o La modernisation du modèle social ; o La prise en compte de la gestion des ressources naturelles dans la croissance. Véronique AMBLARD, Enseignante

rédigée sous la seule responsabilité de la Présidence, et ne préjuge en aucun cas des positions à venir des délégations. Messages clés Les Etats membres soutiennent majoritairement une concentration accrue des interventions sur les priorités de la Stratégie Europe 2020, pour autant qu’elle soit assortie de la flexibilité nécessaire à l’adaptation aux besoins régionaux et aux spécificités de la Politique de Cohésion. Les modalités doivent encore en être définies. Les Etats membres se prononcent largement

Il participe aussi à la mise en place de clusters, pôles de compétitivité, qui sont vivement appréciés dernièrement par la Commission européenne. L’Etat doit investir dans les PME car celles-ci investissent beaucoup dans la R&D. Grâce à la stratégie de Lisbonne qui vise à développer la compétitivité de l’Union Européenne, les Etats agissent de manière préventive afin d’éviter les principaux échecs du marché : externalités, déficience du marché due aux coûts initiaux élevés, et le problème de la transparence

capitaux et… les services. Quarante-cinq ans plus tard, des quatre libertés inscrites dans le Traité de Rome, celle touchant aux services n'a pas été réalisée[2]. » Cet objectif d'abaissement des barrières non tarifaires a été réaffirmé dans la stratégie de Lisbonne de 2000. Cet objectif de lever les obstacles à un marché commun des services est d'autant plus essentiel pour la vie économique de l'Union que ces activités représentent jusqu'à 70 % du PIB de certains pays de l'Union. Il s'est cependant heurté

droit chemin. III- Comment l’Europe prévoit-elle d’améliorer sa situation ? D’autres facteurs sont en a prendre en compte et a améliorer pour pouvoir considérer qu’une économie est « riche ». De 2000 à 2010, l’Europe a mis en place la stratégie de Lisbonne qui consistait à devenir « l’économie de connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde ». Suite à la crise, les objectifs ont été revus à la baisse, mais l’Europe prévoir d’ici 2020 : un taux d’emploi d’au 75%, que 3% du PIB

soutenir financièrement la mise en œuvre des objectifs de l’Union européenne dans le domaine de l’emploi et des affaires sociales, tels qu’ils sont stipulés dans l’Agenda social, et de contribuer ainsi à l’accomplissement des objectifs de la stratégie de Lisbonne dans ces domaines. Ce programme de sept ans cible toutes les parties prenantes qui peuvent contribuer à façonner des politiques et des réglementations appropriées et efficaces dans le domaine social et de l’emploi dans l’UE-27, l’AELE-EEE et

de l'Union Européenne. Il constitue l'un des piliers de l'EER (Espace européen de la recherche) vers le développement d'une économie et d'une société de la connaissance en Europe. L'UE s'est en effet fixée comme objectif principal depuis la stratégie de Lisbonne un effort d'investissement dans le domaine de la recherche et du développement afin de faire de l'Europe "l'économie fondée sur la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde". Le budget du 7°PCRD s'élève à plus de 50 milliards

soutenir financièrement la mise en œuvre des objectifs de l’Union européenne dans le domaine de l’emploi et des affaires sociales, tels qu’ils sont stipulés dans l’Agenda social, et de contribuer ainsi à l’accomplissement des objectifs de la stratégie de Lisbonne dans ces domaines. Ce programme de sept ans cible toutes les parties prenantes qui peuvent contribuer à façonner des politiques et des réglementations appropriées et efficaces dans le domaine social et de l’emploi dans l’UE-27, l’AELE-EEE et