Spécificité Humaine Sartre

pouvons nous questionner sur l’existence de l’étant et quelle serait son origine première, est-elle détermine avant la création ? Puis en quoi ce questionnement de l’existence est à l’origine de tout et dans quelle mesure est-il révélateur d’un besoin humain sur la connaissance de sa propre existence ? I. La justification de l’être comme cause de l’existence Nous allons voir dans un premier temps, qu’il y a un besoin de trouver la cause de l’existence de ce qui est, de ce “quelque chose” afin de pouvoir

veut porteur de joie pour donner la connaissance de la nature, c'est à dire de Dieu. Pour arriver à cette station de contemplation de la nature divine des choses, il faut accéder à celle des causalités qui donnent à chaque être, dont l'homme, sa spécificité. De cette substance essentielle des choses, l'homme ne peut percevoir que deux attributs : L'étendue, c'est à dire le corps éternel dans une sorte d'idée platonicienne et la pensée qui ne peut appréhender que les moments du corps dans ses manifestations

inférieur, il n’existe qu’une seule race qui réunit tous les hommes de quelle ethnie soient-ils : la race humaine. Ainsi, si un individu blanc regarde se compare à un individu noir ou autre, il auront la même morphologie, avec chacun ces spécificités mais seront semblables d’une manière générale. Ces deux individus ne peuvent pas être totalement étranger puisqu’ils se retrouvent tous deux dans la race humaine. Mêmes si tous les hommes ne parlent pas la même langues, tous les hommes pourront converser plus

particulier au général sans scrupules par habitude ou inconsciemment. En suivant « la pente du moindre effort »,9 il fait de ses valeurs les valeurs et s’en contente. En conséquence, on érige du culturel en naturel voire universel ; on confond le genre humain avec sa propre culture. L’ethnocentrisme chrétien alla même jusqu’à localiser les races monstrueuses au-delà de la partie connue de l’Afrique que traverse le cours du Nil. 8 Aristote, La Politique, nouvelle traduction avec introduction, notes et

compte exactement deux mots : le genre dans lequel la chose signifiée se range, et la spécificité qui permet, au sein de ce genre, de la distinguer de toutes les autres choses rangées dans ce même genre. Ainsi l'humain défini comme "zoôn logôn" : il appartient au genre "animal" (comme le lion, la mouche ou le moineau) ; et au sein de ce genre, il possède pour caractère spécifique (ce qui distingue l'espèce humaine de toutes les autres espèces animales) le discours articulé. L'humain peut également

d’Eric WEIL Aristote : « L’Homme est un animal politique » Problématique : Les interactions entre conscience et négation (différentes formes de négations) On voit les différences entre l’homme et les autres espèces, réflexion sur l’Homme, spécificité => cas universel/particulier. Comme tous les autres animaux, l’Homme a des besoins MAIS aussi des désirs. * Besoins élémentaires vitaux : alimentation, repos, reproduction, eau … Naturels et nécessaires : instinctifs et pulsionnels (naturel=instinctif)

Poche, les Usuels de Poche, 1994, etc… Quelques sites à fréquenter activement : -Le catalogue du CDI : https://0240024w.esidoc.fr/ -Les archives du concours http://www.ens-lyon.fr/formation/admission/vue-archives-du-concours-lettres-et-sciences-humaines - Points de langue : http://www.academie-francaise.fr/questions-de-langue - Trésor de la langue française : http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv4/showps.exe?p=combi.htm;java=no https://www.cnrtl.fr/definition/ 3. Bibliographie complémentaire

dévalorisation de l'intention d'auteur. Sartre : Qu'est ce que la littérature ? (1948) Anthologie Le Lecteur (p.51). => Le lecteur pour Sartre n'est pas tout à fait libre, mais il n'est pas non plus absolument contraint par le texte. Cf citation. Qd un livre paraît : il n'est pas fini. Pour devenir complet, il a besoin de la collaboration du lecteur, « car l’œuvre littéraire est une étrange toupie ». Approche phénoménologique de Sartre qui rappelle cette incomplétude de l’œuvre. A

une simple abstraction. _____________________________________ I. La conscience de soi n’est pas encore une connaissance de soi ; elle peut même apparaître comme ce qui, paradoxalement, nous détourne d’une telle connaissance. A. La spécificité de l’être conscient : il dévoile toutes choses et se sait être. 1. L’être conscient est l’être pour qui « il y a » de l’être, qui rend manifeste le monde, en le tirant hors de sa « permanence obscure », hors de sa « léthargie » : l’unité du

montrer le conflit du poète avec lui même. Le chœur n’a plus qu’un intérêt musical. Euripide a écrit environ 90pieces mais il n'en reste que 18. Son œuvre se caractérise par son innovation : les comportements humains et les situations sont représentés avec plus de réalisme. Ce sont des êtres humains avec leurs faiblesses, leurs peurs, leurs lâchetés, en dépit de leur haut rang. Enfin, une véritable intrigue est créée et il y a donc un dialogue. Aristote le qualifiait comme "le plus tragique des poètes"