Socrate Obeir Aux Lois

XL LES PAVOTS. ..................................................................... 213 XLI LE COQUILLAGE AU BORD DE LA MER...................... 214 LA MORT DE SOCRATE ...................................................... 216 AVERTISSEMENT. .................................................................. 217 LA MORT DE SOCRATE.......................................................... 221 NOTES ......................................................................................249 NOUVELLES

mais l'homme sous l'emprise des mécanismes passionnels aime ce que les autres aiment. Les hommes finissent par s'accorder sur un bien commun imaginaire. Les passions sont combattues par d'autres passions, d'où la crainte des lois. Le bien se fait synonyme de bon relatif à des lois établies par convention comme production imaginaire. Il y a bien là une anthropologie (Spinoza). • Genèse La gloire et l'orgueil ne sont que le résultat des passions primitives (la reproduction de l'espèce

plus de lui-même, il s’estimera en droit de désobéir. Dès lors, la contrainte n’est efficace que si elle est accompagnée d’une puissance de contrainte, de coercition. La soumission à la contrainte s’inscrit dans ce que Kant appelle l’hétéronomie (obéir à la loi dictée par un autre que soi). Dès lors, une même action peut être vécue sur le mode de l’obligation ou au contraire sur le mode de la contrainte dépendamment de l’autorité dont émane le devoir – respectivement sa propre raison ou une volonté

4 : Le pouvoir d’État est-il nécessairement violent ? SUJET 5 : « L’enfer c’est l’absence des autres ». Qu’en pensez-vous ? SUJET 6 : Suffit-il d'appliquer le droit pour que règne la justice ? SUJET 7: « La liberté consiste à ne dépendre que des lois. » Qu’en pensez-vous ? SUJET 8: La nation relève-t-elle de l’utopie ? SUJET 9 : L’athéisme est-il une illusion ? SUJET 10: Le regain de la foi religieuse dans un monde gagné par la rationalité scientifique est-il un phénomène insolite ? SUJET

différences sociales et également du fait de la coutume qui tient lieu de Constitution. La société repose sur un ordre mythique et global, les dieux ont créé la Terre et ont donné des lois et des coutumes sociales aux hommes. Désobéir, c’est désobéir aux dieux. Ces principes d’organisations sociales sont les lois de la nature. On ne peut pas parler de pensée politique réelle. La politique ne se pense pas, c’est la perpétuation d’un ordre établi et l’application de principes. II- Les monarchies

Politique (*) ✓ AUGUSTIN D’HIPPONE, La Cité de Dieu (*) ✓ Nicolas MACHIAVEL, Le Prince (*) ✓ Jean BODIN, Les 6 livres de la république ✓ Thomas HOBBES, De Cive et Le Léviathan (*) ✓ Charles de MONTESQUIEU, L’Esprit des lois ✓ Jean Jacques ROUSSEAU : Du Contrat social (*) ✓ John LOCKE, Du gouvernement civil (*) ✓ Baruch de SPINOZA, Tractacus politicus (*) ✓ Emmanuel KANT, Projet de paix perpétuelle (*) ✓ Georg Wilhelm Friedrich HEGEL

philosophie l’ (techne tou biou). La figure centrale de cette analyse est naturellement le Socrate des écrits de Platon, même si le mot parrhèsia à cette époque était quasi absent du vocabulaire. Le rôle de Socrate comme parrhèsiastes apparaît clairement dans l’Apologie où il discute avec les gens dans la rue en les exhortant à prendre soin de leurs âmes par la sagesse, la vérité et la perfection. Et un Socrate parrhèsiastes est aussi celui de l’Alcibiade majeur, apprenant à Alcibiade le sens du souci

qui a une théorie de la justice. Thomas vient d’Italie et sa famille est une grande famille et à l’époque le 1er gère le domaine, le 2e s’occupe des terres et le 3e est dans l’Eglise. Es qu’on écarte la loi du prince ou es qu’on la garde ? 3 types de lois : la loi des Humains, la loi naturel qui est la loi que l’on peut découvrir en observant la nature et la loi divine ; laquelle va prévaloir ? Aristote disait la loi humaine et naturelle. Thomas disait que la loi humaine est en dessous de la loi divine

Antilogie : Ensemble de deux propositions contradictoires utilisé par les sophistes de l’antiquité pour paralyser la pensée, en la rendant incapable de trancher. Antinomie : Du grec antinomia, contradiction dans leur application pratique entre des lois. Dans le criticisme kantien, contradiction entre deux propositions dans laquelle tombe la raison lorsqu’elle prétend dépasser l’ordre des phénomènes et atteindre l’absolu. Les deux propositions, dites thèse et antithèse, s’appuient sur des arguments

philosophe, et, s’il est philosophe, qu’il tienne le milieu entre le savant et l’ignorant ; et la cause en est dans son origine, car il est fils d’un père savant et plein de ressources, mais d’une mère sans science ni ressources. Voilà, mon cher Socrate, quelle est la nature du démon. PLATON, Le Banquet. Idée générale Le philosophe est à mi-chemin entre l’ignorance et le savoir. Question - Quel est l’état du philosophe ? Qui fait de la philosophie ? Quelle condition doit-on remplir pour être en