Socrate Obeir Aux Lois

« valeur » : Il peut s’agir de la valeur épistémologique, de la valeur de vérité, ou bien de la valeur morale, de la valeur politique, etc. Ex2 : « faut-il obéir aux lois ? ». Concernant verbe « falloir » (devoir) : nécessité matérielle // obligation juridique // devoir moral ? Concernant les « lois » : domaine juridique // loi morale (Kant) // lois de la nature (ex : gravitation) ? Ex3 : « Peut-on tout dire ? ». Concernant verbe « pouvoir » (devoir) : possibilité concrète, matérielle (vocabulaire

par de bonnes lois. L'idéal c'est que tout les citoyens se connaissent et aient l'occasion d'exercer une charge publique.          4) Un Etat indépendant et autonome    Les grecs ont été très soucieux de leur liberté ; quelles que soient les différences des régimes politiques, les inégalités sociales, les grecs ont toujours estimé qu'ils représentaient la liberté face aux barbares.    Chaque Cité frappe sa monnaie. L'autonomie est politique ; il s'agit de se régir selon les lois fondamentales

civilisations, certains sont dédaigneux envers les aborigènes et d’autres critiquent notre société. - Critique le pouvoir absolu héréditaire (l'enfant roi n'a aucun mérite), les inégalités, la pauvreté (sans révolution) Montesquieu (L'esprit des lois) - Contre l'esclavage. - Utilise le conditionnel pour indiquer qu'il ne s'agit pas de son avis personnel. - Ironie, on dit les choses + clairement - 2 arguments des esclavagistes : les européens ont exterminé des hommes (amérindiens) donc il faut exploiter

Chapitre 1 : Introduction à la philosophie du droit Examen : dissertation en deux heure, deux sujet (technique/transversal) démonstration et exemples. Paradigme entre le positivisme et le juste-naturalisme. La plupart de nos lois sont fondés sur soit l’un soit l’autre. Quel est la raison d’être du droit ? Ces deux paradigmes apportent des réponses très différentes. Le positivisme consiste à penser que le droit positivisme se suffit à lui-même. Il s’impose en tant que tel sans prétendre traduire

dire c'est vrai ou c'est faux, c'est beau ou c'est laid, c'est juste ou c'est juste, en tout cas qui d'entre nous va voir dans le dictionnaire quel est le sens de ces mots, conclusion la philosophie ne sert à rien ! Le père de la philosophie est Socrate, était un étrange personnage qui discutait avec des jeunes gens il qui leur posait des questions apparemment idiotes, qu'est ce que la vérité, la justice etc.. ? Les gens sont persuadés de savoir répondre pourtant, le philosophe leur montre qu'ils

fait de la nature, l’inégalité: «Si le plus fort domine le moins fort et s’il est supérieur à lui, c’est là le signe que c’est juste (...) conformément à la nature du droit, càd conformément à la loi, oui, par Zeus, à la loi de la nature...». Mais Socrate répond alors qu’une foule assez grande de «faibles» sera toujours plus forte qu’un seul «fort». Néanmoins, aucune force de n’importe quel individu, partie ne fondera jamais aucun droit. En ce sens, la force - quelle que soit sa forme - semble alors

la dignité de l'homme. Il faudrait pourtant s'entendre sur ce point. Que la raison soit la marque distinctive de l'homme, personne ne le contestera. [...] Mais il faut expliquer pourquoi elle peut commander absolument, et comment elle se fait alors obéir. La raison ne peut qu'alléguer des raisons, auxquelles il semble toujours loisible d'opposer d'autres raisons. Ne disons donc pas seulement que la raison, présente en chacun de nous, s'impose à notre respect et obtient notre obéissance en vertu de

d’infraction la peine qui la sanctionne inéluctablement. Par un tel dressage toute velléité de transgression de la loi commune déclencherait spontanément d’elle-même son inhibition. Avant eux, et après eux, tous les philosophes rationalistes et Socrate le premier soulignent que l’homme ne recherche partout que son bien. Des lors il suffit de montrer la cohorte de maux qui accompagnent inéluctablement tout crime pour en détourner les hommes (du moins ceux qui ayant compris la leçon seront devenus

Montesquieu, Lettres persanes, lettre XXXVII : « le roi est vieux », 1721. Anouilh, Antigone, 1944, de « Un matin, je me suis réveillé » à « C’est facile de dire non ! ».. Lectures complémentaires : Platon, Criton (388 ? av. JC ), la prosopopée des lois : la servitude volontaire au nom de la morale et de la Cité. Diderot, Jacques le fataliste (1796), « la parabole du chien » : de la représentation de la hiérarchie sociale au XVIIIe siècle. Hugo, « Chanson », les Châtiments (1853) : la poésie comme

Assemblée est censée être une Assemblée égalitaire. La répartition est purement géographique. Elle va élire les magistrats inférieurs, notamment les édiles, les questeurs mais aussi les tribuns de la Plèbe. Sa principale attribution est le vote des lois, ce qui vient ainsi concurrencer les Comices Centuriates. Dès 414 av J-C, la Plèbe va se mettre à revendiquer un pouvoir politique et va s’insurger contre la toute puissance des patriciens (=peuple découlant de l’aristocratie de par la naissance)