Seigneurie Banale Et Foncière

PREMIERE PARTIE Les pouvoirs politiques : royautés, principautés et seigneuries. Chapitre 1.1 De la Francie à la France les pouvoirs supérieurs : rois et princes, Xe et XIe siècle 1 la Francie d’Eudes (888 - 898) La réalité du pouvoir en Francie occidentale en 888 est déjà marquée du sceau de l'éclatement et de la compétition. Charles le Chauve, empereur malade, ne remplissait plus sa fonction et avait été désavoué par les grands de la Francie orientale qui avait porté Arnulf à leur

humains se présentent comme peu nombreux et clairsemés. Cette récession démographique correspond à une récession économique, le commerce se tarie et la monnaie tend à disparaître. Les hommes vivent essentiellement dans des grands domaines, les seigneuries qui sont organisés pour fonctionner dans une autarcie à peu près complète. Dans ce monde profondément rural, la ville joue un rôle négligeable. Les villes qui subsistent voient diminuer leur population et leur superficie. Ces villes qui subsistent

E D E S M A T I È R E S I. La féodalité dans l’ancienne Chine. II. La Confédération chinoise. III. Le suzerain. IV. Le seigneur. A. Le seigneur et son domaine. V. Le seigneur. B. Organisation sociale des seigneuries. 6e conférence. Groupements féodaux et groupements fami­liaux. 7e conférence. Groupements féodaux et groupements familiaux. IIe partie, rapports entre groupes. 8e conférence. Rôle et éléments du prestige. Principe de

a user des droits régaliens sur leur territoire. L’autorité des biens publics est passé des mains du roi à celles des seigneurs mais dans le cadre de la seigneurie. Introduction : le double triomphe des principes territoriaux On parle de double triomphe car cela concerne à la fois les princes territoriaux dans leur territoire — leur seigneurie — et aussi par l’accession au trône d’une dynastie issue de leur rang. § 1 Le morcellement territorial Le morcellement territorial s’est amorcé en 843

la cité ( tout les juges... réunit) L'aréopage, conseil des anciens archonte fonction judiciaire, égal au conseil constitutionnel. Ces magistrat seront les plus riches, plus grands propriétaires. Les citoyens sont ces membres de l'aristocratie foncière. Les paysans qui paye des charges importante ( si on payé risque esclavage) Solon interviendra pour trouvé une solution pour ne pas effectué un partage des dettes donc il va crée un code de lois connu de tous, la remise des dettes, création d'un

son vassal. Chapitre 1 : L’ordre seigneurial Section 1 => L’ère de la seigneurie Au 10ème siècle, les carolingiens ne contrôlent plus le royaume et toutes les prérogatives de puissance publique sont passées entre les mains des seigneurs locaux. Lorsque Hugues Capet monte sur le trône, on est déjà dans l’ordre seigneurial, cela signifie que ce sont les seigneurs qui ont le pouvoir au sein de leur seigneurie banale. Les seigneurs imposent leur pouvoir à la population par une violence des plus

s’engagent envers le roi qui est leur seigneur en devenant son vassal. Pour lui permettre de s’équipe et de se consacrer à la guerre, le roi concède aux guerriers, au chevalier, ce qu’on appel un bénéfice sous la forme d’une terre, d’une propriété foncière. Au début les carolingiens ont utilisé ce système pour renforcer leur puissance militaire. Mais se système se transforme progressivement en un instrument de gouvernement. En effet l’entré en vasselage devient une condition d’exercice d’une charge

institutions locales en tant que pouvoir étatique A) La féodalité en tant que pouvoir La seigneurie est un ensemble complexe qui désigne à la fois un domaine foncier, un territoire de puissance et le pouvoir qui s'y exerce. Effectivement, il y a une dimension foncière dans la seigneurie, mais ce qui va différencier un chevalier d'un seigneur par exemple, ce n'est pas le terrain, la seigneurie est un territoire dont le titulaire exerce un pouvoir de puissance (= livres publics, justice, armée)

politiquement et socialement dominée par un étroit milieu aristocratique, qu’on peut si l’on veut qualifier de féodal, organisé en lignages patri- ou matrilinéaires, donc en pratique sinon en principe héréditaire, qui détenait les richesses, essentiellement foncières, dirigeait des hommes et contrôlait des terres, s’imposait par son habitat, son mode de vie, ses compétences guerrières et ses valeurs, se voyait reconnaître, à des degrés divers, l’exercice de pouvoirs de caractère public, notamment dans l’ordre

privilèges qui l'identifient et le distinguent des autres. Ce n'est pas l'individu qui a une personnalité juridique ou une existence politique, mais le groupe. Il y a une multitude de groupes : familles, métiers, communautés rurales ou villes, seigneuries, ordre religieux … Ainsi, dans les élections qui sont nombreuses, ce ne sont pas les individus qui votent, mais le chef de chaque communauté. L'organisation sociale[modifier | modifier le code] Une société d'ordres[modifier | modifier le code]