Salaire d'efficience

 Troisième Partie - Efficience I. Efficience informationnelle (et les coûts) Formes d'efficience : efficience informationnelle Formes d'efficience Frontière efficiente : le portefeuille qui maximise l'espérance de rentabilité pour un niveau de volatilité donné Efficience allocationnelle : Marché pareto efficient : diriger les ressources vers les projets qui méritent d'être financer. Qui doit décider que les téléphones doivent avec des touches ou un pavé tactile ? Le consommateur

prix du travail (le salaire). L’information est parfaite : à chaque instant, tous les employeurs et tous les travailleurs connaissent toutes les offres et les demandes du travail pour chaque type d’emploi. 1. L’offre et la demande de travail Pour les néoclassiques ce qui est offert ou demandé, c’est un certain temps de travail. L’individu offre son travail à la suite d’un arbitrage entre le temps libre et le desir d’un revenu monétaire (salaire), afin de maximiser

traditionnelles du chômage 1) Le modèle néo-classique du « chômage volontaire » Selon les libéraux, l'offre est une fonction croissante du salaire réel alors que la demande est une fonction décroissante du salaire réel. La confrontation entre l'offre et la demande sur le marché du travail détermine un prix d'équilibre pour lequel l'économie est en situation de plein emploi. Le salaire réel étant flexible, Il n'existe donc que deux sortes de chômage :        - Le chômage volontaire. Les chômeurs volontaires sont

à la pratique de salaires élevés, salaires d’efficiences. Pour le principal, la question est qu’elle est le niveau de l’agent qu’il embauche. Il y a donc un effet de sélection, de dissuasion des tires au flanc. Le salaire élevé encourage la personne a avoir la productivité la plus élevé, d’autant plus que une partie peut être variable. La personne est aussi dissuadée de démissionner car le risque est de ne plus trouver un métier avec autant d’avantages. Le salaire d’efficience va réduire l’aléa

économie exige t-elle une baisse des salaires pour être compétitive? La nouvelle économie = se caractérise par la mondialisation et en parallèle une dégradation du rapport salarial et des conditions sociales dans les pays industrialisés.  La compétitivité = a deux niveaux, prix et structurelle. = aptitude à maintenir ou améliorer sa position dans une économie concurrencée. Compétitivité prix = compétitivité des coûts et notamment des salaires Compétitivité structurelle = qualité

Introduction : Comme toute analyse économique de marché, celle du marché du travail présente conjointement deux aspects : prix et quantité. La dimension "prix" concerne plus spécialement la détermination du salaire et la dimension "quantité" davantage le volume de l'emploi, et donc le chômage. Salaire et emploi sont deux problèmes fondamentaux que non seulement l'actualité met au premier plan des préoccupations des acteurs économiques mais aussi que l'histoire de la pensée économique a toujours placés

FICHE DE SYNTHESE : LA RELATION SALAIRE-EMPLOI CHEZ LES NEOCLASSIQUES ET J.M KEYNES Dans l'analyse classique, pour Adam Smith ou David Ricardo, le salaire est avant tout un salaire de subsistance (fonction du prix des denrées de première nécessité). Mais si les conditions économiques sont favorables aux travailleurs, ceux ci peuvent obtenir un taux de salaire (salaire de marché, résultat de la confrontation entre l'offre et la demande) supérieur au taux de salaire naturel qui lui correspond au minimum

macroéconomie Comment se détermine le montant global des richesses produites dans une économie? Le P.I.B est aussi central parce que le montant de ce que l’on produit est vendu sur des marchés et donnent des richesses. Une partie sera redistribuée pour les salaires (rémunère le travail), l’autre pour les profits (rémunère le capital). Quel va donc être le résultat de cette redistribution? Tous les ans nous produisons de plus en plus. Cependant il se produit des crises qui peuvent avoir des conséquences très

néoclassique. L'offre de travail est une fonction décroissance du salaire réel sur le marché du travail. Le chômage des travailleurs peu qualifiés s'explique donc par les salaires trop élevés. II – Mais les effets positifs de la flexibilité sur l'emploi ne sont pas automatiques A – La flexibilité salariale peut avoir des effets pervers théorie keynésienne – Effet de demande : enchaînement du doc 5 une baisse des salaires ou une baisse du nombre de salriés peut avoir des effets négatifs

Contextualisation du sujet  (le situer dans l’actualité, le débat économique : Cerner sa portée) Si les « trente glorieuses », au lendemain de la seconde guerre mondiale, sont synonymes de croissance de la production, de la consommation et des salaires réels, depuis la fin des années 70, le chômage persiste à un niveau anormalement haut dans les pays industrialisés, notamment en Europe. Cette montée du chômage, entre le milieu des années 70, et le milieu des années 80, est relativement bien expliqué