Salaire d'efficience

MOTIVATION I/ Introduction générale En 2009 dans les entreprises françaises non cotées, la masse salariale représentait en moyenne 67 % de la valeur ajoutée. SMIC 9 € / heure soit 1365 € mensuel brut (22 % des salariés). Le salaire moyen brut était de 2780 € en 2009 Le salaire médian brut est de 1915 € pour les hommes et 1350 € pour les femmes Ecart moyen entre hommes et femmes 19 % La politique de rémunération des entreprises est tout particulièrement importante. Cela tient notamment à : *

ensemble d'acteurs et d'institutions qui empêchent au marché du travail de fonctionner convenablement, c'est-à-dire sans entrave. Ces « empêcheurs de marché en rond » sont plus exactement au nombre de trois : -        l'Etat qui institue un salaire minimum (SMIC) et ce faisant qui élimine du monde du travail des salariés dont la productivité serait inférieure à leur coût salarial pour les entreprises. L'Etat encore une fois qui fait peser des charges patronales et sociales trop lourdes sur l'emploi

par Phillips en 1958 sur la base de données empiriques sur une période d’environ un siècle de 1861 à 1957 et ses interprétations. Phillips a mis en 1958 en évidence une relation négative entre le taux de chômage et le taux de croissance des salaires nominaux qui a permis aux économistes keynésiens d’affirmer une relation entre inflation et chômage représentée par la figure 1 et conduisant à l’existence d’un certain dilemme entre ces deux grandeurs. Ce dilemme consiste à répondre à la question

A)Définitions et analyses du marché du travail. Notions : Salaire réel : le pouvoir d’achat. Salaire nominal : le salaire que l’on retrouve sur la fiche de paye. Ainsi pour passer du salaire nominal au salaire réel, on enlève l’inflation (la hausse des prix). Doc 22 p 123 Théorie néoclassique sur le marché du travail. Le travail est une marchandise comme les autres L’offre de travail émane des ménages en fonction du salaire réel augmente plus la quantité offerte de travail

trouver le salaire d'équilibre, là où l'offre et la demande de travail s'égalisent. Ainsi, une entreprise demandera du travail tant que la productivité marginale du travail sera supérieure au coût du travail. De même, sachant qu'une personne a le choix entre les loisirs ou le travail, celle-ci ne proposera sa force de travail que tant que le salaire compense cette désutilité marginale du travail. C'est cet ajustement entre l'offre et la demande de travail qui conduit, selon les libéraux, au salaire d'équilibre

inégalités de salaires. Mais les fondements économiques de la formation des salaires s’avèrent incertains et une répartition plus équitable des salaires est envisageable pour certains auteurs (B). A. Les inégalités de répartition peuvent être justifiées économiquement 1. Dans le cadre de l’économie nationale Les différences de salaires reflètent, dans une certaine mesure : la contribution plus ou moins importante de chacun à la production (cf. théorie néoclassique : le salaire est déterminé grâce

l'importance du taux de croissance qui est de regarder le temps nécessaire pour que la richesse double (en fonction de différents taux de croissance) ex: Un salarié perçoit en début de carrière 2 000€/mois. La croissance est de 3%. Après 40 ans, le salaire aura été multiplié de combien ? 2 000 * (1,05)40 = 7. En fin de carrière il percevra 14 000 / mois. C. Mesure de la croissance • On ne va pas étudier la question • Ne pas confondre accroissement de la richesse et accroissement

Le salaire est-il l’ennemi de l’emploi ? Controverse sur chô britannique des 20’s oppose Keynes à Pigou et Rueff. Pr Keynes : Pol déflationniste de W. Churchill réduit D et crée chômage involontaire. Pr Pigou et Rueff : salaires excessifs détruisent l’n et engendrent chômage vltaire. A la fin du XX, ce débat n’est pas clos. Mondialisation, en soumettant salariés des PDEM à concurrence des NPI, l’UE en intégrant les anciens pays de l’Est, conduisent à reposer question : ( Le salaire est-il

Croissance régulière des salaires. Forte intensité capitalistique (Capital / Travail) - secteur 2 : archaïque. Faibles gains de productivité. Faible intensité capitalistique. Gains de productivité : ↑ salaires, ↑ profits, ↓ prix de vente du produit ↑ investissement + ↑ consommation = ↑ demande = ↑ production 1ère hypothèse : Les coûts de production peuvent être réduits aux coûts salariaux 2ème hypothèse : le niveau de productivité influence le niveau des salaires 3ème hypothèse : cette

Le marché du travail: Une relation entre des “demandeurs de travail” (les entreprises) et des “offreurs de travail” (les individus à la recherche d’un emploi) Le contrat de travail: une opération d’achat-vente de temps Le “prix d’équilibre”: le salaire il varie dans le temps selon l’évolution de l’offre et de la demande de travail Mais des analyses diverses de son fonctionnement Rémi Bazillier Economie des conditions de travail La nature des relations de travail Le rôle des mécanismes incitatifs