Récit Pathétique

conte de Voltaire,  le présent extrait (« Au milieu de ce spectacle … ») constitue du  point de vue de l’économie narrative un moment crucial. C’est le cadre de la scène qui est retenu dans un récit massivement descriptif confié à un narrateur anonyme (hétérodiégétique) et qui n’est pas lui-même l’objet du récit (extradiégétique).     En écho à la construction en dyptique ou à la structure binaire du conte, le mot de la fin , conforme à la sagesse de l’auteur, s’écrit sur le mode de la sentence nuancée

en effet on l’utilise afin de distraire les enfants sous forme de mythe de légende avec des personnages inventés qui font souvent rêver les plus jeunes et cela permet aussi d’éduquer la jeunesse en leur inculquant des valeurs. En grandissant les récits laissent alors place aux films ou romans cependant la fiction n’en est pas moins présente. Pourquoi une œuvre de fiction est-elle efficace pour inciter à réfléchir sur l'homme et sur le monde ? Pour montrer cela nous allons voir le vaste domaine d’expression

COMMENTAIRE DE TEXTE PHEDRE ACTE V, SCENE 6 : RECIT DE TERAMENE 20 L’œuvre de Racine, Phèdre crée en 1677 met en scène la tragédie d’un amour impossible entre Phèdre et son beau fils, Hippolyte. Nous nous intéresserons plus particulièrement au passage de la mort de ce dernier racontée par Théramène. Nous allons nous demander comment ce passage produit une puissante émotion. Pour cela nous examinerons les moyens utilisés pour créer un effet

empreint d'un grand lyrisme. On note la présence de chœurs déplorant longuement la catastrophe ; toutefois, en général, la pièce ne comporte pas de véritable action tragique. La représentation est axée moins sur l'action que sur l'émotion. C'est le pathétique qui domine, avec le spectacle douloureux du malheur des héros et les accents déchirants de leurs plaintes. Note : la tragédie de Sophonisbe (1515) de Trissino dit Le Trissin est la premiere tragédie classique à respecter la règle des 3 unités

l'analyse proposée par Sophie Roughol, nous observerons en quoi Eurydice serait « la seule constante » entre le mythe d'origine et l'adaptation étudiée, ensuite, nous verrons comment se développent ses deux seules apparitions, enfin nous analyserons les récits que les autres personnages font, de cet objet amoureux, afin de comprendre ces notions de personnage raconté et de personnage racontant. Tout d'abord, il s'agit de percevoir les changements, les évolutions du mythe initial, car désigner Eurydice

et où se passent l’histoire (=le cadre et l’époque) Qui en est le perso principal ? b) A quel genre appartient-elle : conte, récit réalise, nouvelle réaliste avec décrochage dans fantastique, récit policier, récit historique, SF…) -> un mélange de genres est tout à fait possible. c) Quel est le ton général (= l’atmosphère) du texte ? (neutre, comique, pathétique, tragique, lyrique, fantastique..) Registre d) Qui raconte l’histoire ? Un narrateur extérieur l’action (omniscient, on a l’impression

scène un héros qui est conscient de son impuissance, subit la fatalité des évènements (pouvoirs des dieux ou absurdité de l’existence). Le registre tragique peut provoquer la terreur, l’effroi mais aussi l’admiration envers le héros. Le registre pathétique : ce registre, lié à l’origine au théâtre, cherche à susciter la pitié, la compassion, par la représentation de la souffrance (pathos), de la douleur, mais sans évoquer la fatalité. Le registre épique : issue de l’épopée, il présente un héros affrontant

d’un cancer du pancréas, il exprime ses interrogations, ses angoisses et ses sentiments dans un de ses derniers écrits Le Régiment part à l’aube publiée post posthume. Cet auteur à la fois journaliste, peintre et écrivain s’inspire des thèmes et des récits de la vie quotidienne pour en faire ressortir l’aspect insolite parfois fantastique. Le temps qui passe et une fin inéluctable sont des thèmes récurrents de son œuvre. Dino Buzzati fut reporté pendant la seconde guerre mondiale et correspondante

s’identifie au personnage.  MIROIR POUR LE LECTEUR QUI PEUT SE RETROUVER DANS LE PERSONNAGE Décevante réalité (pathétique et tragique comme chez Emma Bovary) Bovarysme : désigne l’attitude d’une personne qui, ne se satisfaisant pas du réel, vit dans ces rêves. II / Avertissements non-fondés. Illusion romanesque = récit imaginaire donc divertissant. récit ayant pour but un simple divertissement pour le lecteur, qui sait que ce qu’il lit est purement imaginaire.

visent à convaincre et à persuader les lecteurs indirectement, par un récit fictionnel à travers des personnages. L’apologue Les deux coqs de la Fontaine, est un récit court mis en scène et mêlant le comique et le pathétique, qui évoque au début et à la fin une morale explicite. La leçon peut aussi bien être morale que sociale, politique ou philosophique. Les contes appartiennent également au monde de la fiction. Ce sont des récits en proses, mais plus long qu’une fable. « Candide » conte philosophique