Récits Bref De Souvenir

une histoire mettant en scène un(ou des) camarade(s) de primaire: C'était un samedi après-midi à la fête de mon école (« Léonce Gluard »), il faisait chaud et le temps était sec, nous faisions un jeu dont je ne me rappelle plus exactement le nom. Nous étions par équipe, dans la mienne il y avait : moi Benjamin, Edouard et Etienne en face de nous Arthur, Antoine,Pablo et Tom. Le jeu était simple nous avions chacun des pistolets à eau et il fallait arroser un maximum de fois les joueurs de l'équipe

LL n°1 : « Sodome et Gomohrre » La Recherche du temps perdu, Marcel Proust Introduction : Présentation auteur/texte = introduire les thèmes du temps, du souvenir (puisque ce sont les thèmes particuliers qui nous intéressent dans cet extrait).Présentation de l’extrait : extrait d’un roman, donc texte narratif, qui est ici un passage de description. La narration est faite par un narrateur interne, qui est également le personnage. C’est ce narrateur-personnage, présent dans le

« SOUVENIR DE LA NUIT DU 4 » : LES CHÂTIMENTS (1853) de VICTOR HUGO Livre 2, troisième poème INTRO : Présentation de l’œuvre : « Souvenir de la nuit du 4 » = poème du XIXème siècle extrait du livre II du recueil Les Châtiments écrit par Victor Hugo en 1853 Genre : Œuvre poétique et satirique au ton ironique et polémique : ce qu’on appelle pamphlet. Structure du texte : Texte poétique qui se présente comme un récit. Thème : dénonciation de la dictature, innocence du peuple, pathétique Extrait

Le dossier« MOI » (Brouillon) I – Récit bref de ses souvenirs.(1 page maximum) → Les noms et prénoms de vos camarades de classe, associés chacun à un souvenir bref.II – Souvenirs autour d’une image. → Faites un mini album de photos choisies. Plusieurs travaux passibles dessus : souvenirs associés à l’image, commentaires ou bulles humoristiques collés sur ou autour de la photo. III – Évaluation actuelle de soi. → Faites votre portait chinois : « Si j’étais un animal

Georges poulet, l´espace proustien, tel Gallimard, 68. Pag. 9. Nous juxtaposons, dit Bergson, nos états de conscience de manière à les apercevoir simultanément ; non plus l´un dans l´autre mais l´un à côté de l´autre ; bref, nous projetons le temps dans l´espace. Pag. 10 Si la pensée de Bergson dénonce et rejette la métamorphose du temps en espace, Proust non seulement s´en accommode mais s´y installe, la pousse à l´extrême et en fait finalement un des principes de son art. A la mauvaise juxtaposition

ce bref récit offre-t-il une critique efficace de la tyrannie et de ses conséquences ? Nous verrons tout d'abord en quoi ce texte a bien les caractéristiques d'un conte. Nous étudieronsensuite les critiques formulées indirectement par ce conte. Tout d'abord, le « Conte arabe » de R. Belamri se présente d'emblée comme un récit enchâssé dans un récit cadre : des enfantsdemandent avec insistance à leur mère de leur raconter « l'histoire de l'éléphant du roi ». Ce récit cadre, extrêmement bref, présente

famille de financiers juifs, le lycéen fréquente déjà les salons de la haute bourgeoisie et de l’aristocratie. Marcel Proust Il côtoie des romanciers aussi célèbres qu’Anatole France ou que le poète Robert de Montesquiou, publie des vers, des récits et des articles dans les revues symbolistes. Né à Auteuil, où les Proust se sont réfugiés pour fuir le siège de Paris, Marcel a souffert toute sa vie des privations endurées par sa mère durant sa grossesse. De santé délicate, il est torturé

Un narrateur adulte miné par la solitude, commence son récit à l’attente d’approcher les raisons de sa claustration qui lui semble ainsi éternelle, traquant le petit garçon qu’il était à six ans. Il procède aussitôt à la présentation des personnages et l’espace d’interaction, tous les locataires de Dar Chouafa prennent part à son récit qui débouche aussitôt vers son instinctive répulsion du Fquih et des bains maures. Enveloppant la présentation de sa boite à merveilles d’amour et d’enthousiasme

cheveux, que ma mère appelait "maestro", dans un murmure respectueux. Je m'y rendis ensuite seul, courageusement, deux fois par semaine, avec le violon dans une boîte ocre, tapissée à l'intérieur de velours violet. Je n'ai gardé du "maestro" que le souvenir d'un homme profondément étonné chaque fois que je saisissais mon archet, et le cri "aie, aie, aie !" qu'il poussait alors, en portant les deux mains à ses oreilles, est encore présent à mon esprit. Je crois que c'était un être qui souffrait infiniment

là que commence le récit, s’entrechoquent des souvenirs, des paroles dans la tête de notre héros, s’en suit ensuite le récit de cet été à Fort-de-L’eau. La chambre chez les Cléments, mademoiselle Valnay la prof de natation, la belle Marilyne, les copains du foot mais surtout la passion des oiseaux, qui le pousse à rejoindre M Fernando et Lamia pour les seconder dans la vente des oiseaux (bengalis, perruches et autres) et la loterie qui attire les badauds. Tout le long du récit, on est entre le