Rousseau Réprimer Ses Passions

communément comme un être libre, capable de choisir sa vie et d'obéir à sa raison plutôt qu'à ses instincts, à la différence des animaux. Pourtant l'Homme est le seul à vivre à l'intérieur de sociétés régies par des lois qui le contraignent parfois à réprimer sa spontanéïté. Il apparaît alors ici un paradoxe de part la contradiction entre la possibilité de pouvoir se libérer de son animalité naturelle et par la mise en place autonomme de nouvelles règles écrites, qui renvoient aux lois positives, et non

envie, un penchant, un fantasme, l'amour ou encore une passion, c’est-à-dire tout ce qui, en l’homme, est tendance (vers quelque chose). Au sens étymologique, « désirer » signifie « regretter l’absence de », c’est pourquoi le désir est cette tendance consciente vers ce que l’on aimerait posséder, vers cette fin ou cet objet que l’on sait, ou imagine, source de satisfaction. Ainsi conçu, le désir est la source de toutes les émotions (ou passions, sentiments, affections, affects). Le désir peut être

maîtrise met en valeur le corps. La vertu de tempérance fait en sorte que le corps et nos sens trouvent la juste place qui leur revient dans l’être humain. Possède la vertu de tempérance celui qui sait se maîtriser, celui qui ne permet pas à ses passions de l’emporter sur la raison, sur la volonté et aussi sur le cœur. Cette vertu est appelée aussi sobriété. Cette humilité est nécessaire à l’harmonie intérieure de l’Homme, à sa beauté intérieure - et à sa santé (psychique et physique). La Tempérance

doit-elle renoncer à tout idéal normatif ? Si on observe lucidement la réalité politique, comme le font Machiavel et Hobbes, la vie politique obéit à la loi du plus fort, mais pas n'importe comment : cette loi ne peut s'imposer, comme le montre Rousseau, qu'en transformant la force en loi. En cela la politique semble être l'art de persuader les dirigés de se soumettre volontairement à la force des dirigeants, s'ils veulent être protégés et non pas broyés par elle. La politique concerne la question

ailleurs constater que la notion de bonheur est récurrente lorsqu’il s’agit de désir. Le bonheur en est-il la finalité ? Le désir procure-t-il le bonheur ou l’ennui et le malheur ? « Malheur à qui n’a plus rien à désirer ! » s’exclame Jean-Jacques Rousseau dans Julie ou la nouvelle Héloïse. Cette phrase voudrait-elle sous-entendre que le désir apporte le bonheur, ou exprime-t-elle simplement l’inéluctabilité du malheur en l’absence de désir ? Nous pouvons supposer que cela dénonce l’ennui qu’engendre

rationnel et critique * * Concepts philosophiques de l’être humain : * Être acquis/inné * Perfectibilité * Historique * Culturel * Créature de Dieu * Besoin/instincts/désirs * Sentiments/émotions * Raison/passion/logique * Libre arbitre/volonté/liberté * Inconscient/conscient de soi-même * * Comprendre, Under stand: prendre, le soutenir, l’avoir sur nous * * * MODERNITÉ * Moyen Âge et christianisme (476-1453) *

possible de satisfaction ou de plaisir.   " Le jeune Freud se dit très tôt " mû par un désir de savoir "  * La soif de conaissance * Est il absurde de désirer l’impossible * "Malheur à celui qui n’a plus rien à désirer !" Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) Le désir étant par essence illimité, ne peut il pas contenir le savoir? Le savoir ne peut il pas être désirable, et considéré comme plaisant, et donc souhaité par l'homme? Mais n'existe t il pas une incompatibilité entre les termes de

9 NOVEMBREBouilly Julie Tle HLPFaudrait-il s’affranchir de toute considération de convenances sociales en matière d’expression des sentiments ?Il n’est pas convenable d’injurier une sexagénaire qui tarde à traverser la chaussée. Cette affirmation est communément admise et relève des convenances. Celles-ci regroupent toute sorte de comportements considérés ou non comme acceptables par la société et les individus. Les convenances sociales ont connu des mutations au cours de l’Histoire et en

mal, création d'une constitution juste (Ordre Jedi). Il propose donc de faire une tripartition de la justice qui correspond à la tripartie de l'homme: Philosophes législateurs| Raison | Sagesse Guerriers | Bravoure | Courage Multitude/producteurs | Passion | Obéissance = organisation de la cité de Platon. _ Karl Popper: critique , idée du contrat: on transfère sa volonté indv à la volonté générale. Émergence concept de volonté: le politique n'est pas artificiel et repose sur une convention, donc à partir

désir d’atteindre la tranquillité de l’âme, c’est a dire la béatitude. La santé de Spinoza lui fait trouver une béatitude pour faire de lui un homme qui ne souffre pas. La béatitude va provoquer chez les hommes de la tristesse et de la joie: passion joyeuse et passion triste. On recherche constamment la manière dont l’homme fonctionne et qu’est ce qui peut l’améliorer => c’est le bien, faire du bien. Le bien souverain, est lié à la question de la liberté, mais la question de la liberté est forcément