Faut-il s'affranchir de toute considération de convenances sociales en matière d'expression
D’une part à travers les fioritures qui induisent une sorte d’hypocrisie sentimentale. C’est-à-dire, l’attitude morale par laquelle on exprime des sentiments, des opinions que l'on n'a pas ou que l'on n'approuve pas, ou plus simplement l'acte de mentir consciemment pour s'attirer des faveurs. En effet, certaines fioritures telles que celles amenées par la politesse vont avoir tendance à enjoliver ou même à fausser complètement les vrais sentiments d’une personne. Cela mène à des conflits puisque le mensonge est désigné comme étant mauvais. Aussi le problème de la connaissance d’autrui à sa rencontre se pose. Découvrir quelqu’un ne passe pas que par savoir son nom, son âge, son métier, etc., cela passe aussi par la connaissance de la sensibilité d’une personne, ainsi une personne dont on ne saurait rien des sentiments par souci de se conformer …afficher plus de contenu…
Encore une fois, il s’agit d’un amour impossible puisque Mme. Arnoux, qui est déjà mariée à un homme, Mr. Arnoux , est d’une classe sociales différente, plus haute. Ce dernier étant un homme que Frédéric admire de surcroît. Tous ces amours, bien que littéraires, sont contrariés par les conventions ayant établi des classes sociales et des limites aux personnes à aimer ou non. Dans ces situations, l’expression même des sentiments serait entravée puisque ceux-ci ne mèneraient nulle part et puisqu’ils seraient interdits à moins de se défaire des