Rifampicine

non identifié: 10jours Evaluation antibiothérapie après isolement bactérie et détermination de la sensibilité (48 heures) vice des Maladies Épidémiques Allergie aux bétalactamines ! • Phénicolés:Thiobactin. • Fluoroquinolones :Levofloxacine • Rifampicine • fosfomycine • Vancomycine • Trimethoprime/Sulfamethoxazol. vice des Maladies Épidémiques Traitement : Corticothérapie ?? • Discutée. • Indiquée surtout chez l’enfant. • Diminuerait les séquelles ? • La première injection est administrée 10

mécanismes d’action – Paroi – Acides nucleiques – Synthèse protéique Cours IFSI 2010 S1 Pr G. Arlet Antibiotiques et Bactéries • • • • • • • • ß-lactamines Aminosides Fluoroquinolones Tetracyclines Trimethoprime & sulfamides Chloramphenicol Rifampicine fosfomycine Gram Gram + • Macrolides • Glycopeptides Cours IFSI 2010 S1 Pr G. Arlet Cibles potentielles des antibiotiques Porines Peptidoglycane PLP Membrane cytoplasmique Pompes efflux ADN Membrane externe Peptidoglycane ARN Ribosomes

sur l’ARN de transfert ce qui bloque l’avancement du ribosome. * Mauvaise fixation d’un AA sur l’autre * TETRACYCLINE : se fixe sur l’ARNm et elle empêche la fixation de l’ARN de transfert. d) SUR LES ACIDES NUCLEIQUES * RIFAMPICINE : bloque l’ARN polymérase donc bloque son action => plus de synthèse de la protéine. * ACIDE NALIDIXIQUE (quinolones) : bloque l’ADN gyrase (permet le déroulement de l’ADN pour sa lecture) => ADN reste enroulé, non accessible donc plus de

faire augmenter la production du métabolite toxique NAPQI, mais il n’y a que très peu d’effets bien documentés, cliniquement significatifs sur cette interaction [1, 21]. De nombreux inducteurs enzymatiques sont eux-mêmes hépatotoxiques (par ex. rifampicine). Globalement avec la prise de doses thérapeutiques de paracétamol, même en association à des substances inductrices, aucune toxicité n’est à craindre [22]. Facteurs de risque «classiques» Lors de la consommation chronique d’éthanol et si les réserves

diagnostic immunologique n’est pas utilisé. VII – Traitement : 1) La MEAP : Les rares résultats positifs obtenus chez l’homme (3 cas) ont fait appel à l’Amphotericine B (Fungisone*) en injection par voie intrarachidienne et une antibiothérapie Rifampicine ou tétracycline ou sulfamide. 2) L’EAG : L’efficacité de la sulfadiazine a été rapportée ainsi que celle de la polymyxine par voie intraveineuse. 3) Kératites : Les kystes d’Acanthamœba sont très résistants, lorsque le diagnostic est confirmé à

qu’un antibiotique ou qu’une famille d’antibiotiques ayant le même mécanisme d’action. L’utilisation d’une association de deux ou de plusieurs antibiotiques semble pouvoir prévenir l’émergence de mutants résistants. Par exemple, la résistance à la rifampicine et aux quinolones résulte toujours d’une mutation. La résistance bactérienne par acquisition d’information génétique exogène représente la majorité des cas isolés en clinique et s’observe aussi bien chez les bactéries à gram positif qu’à gram

tests diagnostiques • Quantiferon® : Test de détection de la production d'Interféron γ pour le diagnostic des infections tuberculeuses. En cours d’évaluation LA TUBERCULOSE TRAITEMENT • Association prolongée d’antituberculeux • Isoniazide, rifampicine, pyrazinamide, éthambutol • Le matin à jeun en une seule prise • Traitement 6 à 9 mois (6 mois = ttt classique) • Isolement pendant les 3 à 4 premières semaines (patient toujours contagieux) • Surveillance du bilan hépatique (ASAT, ALAT) LA

d’éviter le risque d’escarreSur le plan infectieux Il lui a été prélevé des hémocultures et du liquide céphalo-rachidien qui reviennent positifs à Staphyloccocus aureus. Une antibiothérapie à été mise en place avec une association de Cloxacilline et Rifampicine. MR R. reste fébrile à 38,5 avec une hyperleucocytose à 26 000. Devenir  : A court terme il sera effectué une réunion médicale éthique afin de statuer sur le devenir de MR R. A moyen terme l’équipe accompagnera en fin de vie

éthambutol et de la perception des couleurs) insuffisance rénale, choc, thrombopénie rifampicine hépatite pyrazinamide 10.5 EFFETS SECONDAIRES DES ANTITUBERCULEUX Médicament Effets secondaires Effets secondaires rares courants isoniazide º neuropathie périphérique convulsions,pellagre,arthralgies, º hépatite (plus de 40 ans) agranulocytose,réactions º somnolence/léthargie lupoïdes,éruptions cutanées, psychose aiguë rifampicine º digestifs: insuffisance rénale aiguë, anorexie, nausées, choc,thrombopénie

-diminution de la perméabilité de la membrane empêche l'ATB d'entrer -capsule 5-2 Résistance par rejet de l'ATB -la pompe à efflux permet à l'ATB de sortir ; il est rejeté vers l'extérieur 5-3 Résistance par modification de la cible -rifampicine ne peut plus se fixer sur l'ARN polymérase mutée -mutation au niveau des PLP, engendre une résistance chez certaines bactéries : β-lactamines (ex:Staphylococcus aureux) -surproduction de la cible de PABA (résistance aux sulfamides) 5-4 Résistance