Revendication Féminine

vision de Rousseau, un autre auteur des lumières, et cela, en se référant à son ouvrage « l’Emile ou de l’éducation ». Nous procéderons ainsi à une sorte de parallélisme entre la vision de chaque auteur et la relation qu’elle a avec la conception féminine générale répandue à leur époque. Nous apporterons, enfin, une illustration de la position contraire de Diderot en ce qui concerne sa conception de la femme. Une fois toutes les visions exposées, nous accorderons un intérêt particulier à l’actualité

Les femmes dans la société française sous la Vème République Partie I – Le féminisme et les revendications féministes Premièrement, nous verrons quelle était l’image de la femme dans les années 1960 et son statut juridique. Puis, nous montrerons comment les femmes se sont organisées pour obtenir des droits et quelles étaient leurs revendications. Enfin, nous analyserons le rôle de l’Etat dans la reconnaissance des droits des femmes. Dans les années 1960, la femme possède une image très

remise en cause. Il devient donc nécessaire de redéfinir l'action collective. Par leur nature et par leur forme, les Nouveaux Mouvements Sociaux (N.M.S.) se différencient du mouvement ouvrier. Ils se caractérisent aujourd'hui par un ensemble de revendications hétéroclites. Dans quelle mesure les N.M.S. sont-ils obligés de changer d'objet et de forme pour atteindre leurs objectifs ? I – Les mouvements sociaux 1.1. – Définitions ? Les mouvements sociaux reposent sur le rassemblement et la mobilisation

lieu de revendication d’identité, mais plutôt comme le lieu de contact avec l’altérité. La littérature permet au sujet (lecteur) de pénétrer la conscience d’autrui telle qu’elle est reconstruite imaginativement par, et dans, le langage. « La littérature, écrit-il, est donc ce qui est capable de transformer une revendication d’identité en expérience d’altérité »1. Cependant, identité et altérité « se répondent en miroir » car « l’expérience d’altérité couvre le même terrain que la revendication d’identité

politique en tant que citoyennes et non comme spectatricespropositions jugées avant-gardistes pour l’époqueles idées préconçues, les stéréotypes qui enferment ces dernièresFinalement, l’auteure propose une entraide entre femmes, une bienveillance féminine mutuelle et généralisée, que l’on peut traduire aujourd’hui par le terme de « sororité ».Elle lutte pour l'émancipation de la femme, pour la reconnaissance de sa place sociale et politique. Elle milite également pour l'abolition de l'esclavage.Problématique :

Gouges dénonce la démarche incohérente des révolutionnaires masculins.III) Mouvement : Une révolution légalLignes 11 et 12 : vocabulaire révolutionnaire : révolution, droit, égalité. Verbe de revendications : prétendre et réclamer. Elle appel donc une révolution féminine. Ligne 13 : Énumération des statues féminins, ce qui permet de représenter les femmes comme une seule et même famille (solidarité). Elle mêle les statues biologiques avec les statues politiques.Lignes 14 et 15 : Gradation qui juge sévèrement

nouveaux concepts tels le sexisme, la phallocratie, l’androcratie, l’ethnocentrisme, le statocentrisme. • Le sexisme c’est l’attitude de discrimination à l’égard du sexe féminin. Il est vu comme la résultante de la phallocratie. • La phallocratie qu’on appelle aussi l’androcratie ou le système patriarcat est un nom féminin du milieu du 20ème siècle qui se réfère à la domination des hommes sur les femmes. C’est aussi un système qui utilise soit ouvertement soit de façon subtile tous les mécanismes

droits naturels à suscité des revendications de femmes éclairées telles qu'Olympe De Gouges Celle ci proposa « la déclaration des droits de la femme et de la citoyenne ». Durant les évènements révolutionnaires, des femmes de toutes conditions, participent activement aux mouvements révolutionnaires. Le tableau de Delacroix et sa Marianne illustre la femme révolutionnaire représentation allégorique de la nation. Bien que profitant de cette première expression politique féminine peu d'hommes, au final,

travaillent. Quelques années plus tard, fin 1917, le personnel féminin dans l’industrie et dans le commerce est supérieur de 20% à son niveau d’avant guerre. Pour permettre aux femmes de travailler de nombreuses démarches ont été mise en place. Effectivement, il a fallu vaincre la méfiance des industriels, soumettre d’innombrables circulaires, ouvrir des bureaux d’embauche mais aussi exposer des affiches.   En avril 1916, un comité du Travail Féminin voit le jour. Il a pour but de recruter les ouvrières,

LA 1 : Mme du Châtelet, Discours sur le bonheur, 1779. Problématique : Comment Mme du Châtelet met-elle en place la revendication en faveur de l'éducation des femmes ? Plan: I. Un texte argumentatif construit : a) Une thèse clairement énoncée : → Elle défend la passion de l'étude. Ex : «  lignes 13- 14 » b) Un raisonnement concessif : → Elle pose sa thèse. « lignes 2-3 » Pour l'époque, c'est une thèse originale puisque depuis le classissisme, la passion est source de souffrance. → Elle concède