Res extensa

pensante qui est « une chose qui doute, qui conçoit, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi et qui sent ». Cette substance pensante (res cogitans) se distingue radicalement du corps. En effet, celui-ci se définit entièrement par son étendue dans l’espace. Le corps est par conséquent substance étendue (res extensa). Reste à penser comment est possible une union de l’âme et du corps telle qu’elle se manifeste chez l’homme. Autrement dit, comment sont possibles des interactions

je doute-je penses-donc j’existe. Il n’oublie pas aussi de précisé que « Toutes les opérations de la volonté, de l’entendement, de l’imagination et de sens sont des pensées » Enfin il affirme il affirme qu’il y a un dualisme entre « res cogitans » et « res extensa ». Hume a quant à lui une thèse empiriste (on ne peut connaitre tous que grâce à l’expérience) pense qu’il y a des impasses à l’identité. Puisque d’une part nos sensations s’enchainent sans cohérence (plus d’entité).D’autre part l’esprit

grec psyché « âme » « souffle de vie » soma « corps » (qui est le tombeau de l’âme pour Platon) Sens métaphysique : le principe de la pensée, voire la chose pensante (= res cogitans chez Descartes, opposée à la res extensa (corps). L’esprit c’est la csc pour Descartes. Sens psychologique : l’intelligence, par opposition à la sensibilité. La matière et l’esprit s’opposent et se complètent pour former l’ensemble du réel. Opposition entre

ns explique que le sujet est une chose qui ne se définit pas uniquement que par la pensée, elle n'a besoin d'aucune chose matérielle pour exister Esprit/Matière Descartes appel l'esprit ou l'âme, substance pensante ( res cogitans) de nature spirituel / substance étendue (res extensa) distinct du corp Le plus aisé à connaître → le plus simple → âme (nature substance pensante) → le moins complexe → âme plus aisé à connaître que le corps Paragraphe 3: Une proposition « Vraie et certaine »

entre la perfection de Dieu et lui et il en arrivera à la conclusion que l’homme va dépasser les limites qui sont les siennes. Enfin, un point très important est le dualisme de Descartes où il va faire la distinction entre l’étendue (res extensa) et la pensée (res cogitans). Cette étendue est régie uniquement par des lois physiques et mécaniques et correspond au corps. Ce corps est passif et tout mouvement vient de l’extérieur alors que la pensée est active. Ce dualisme de Descartes se base donc

cependant, surtout l'étude du vivant, n'étaient pas toujours très claires. N'étaient pas rares ceux qui philosophaient sur des sujets «scientifiques». Descartes, par exemple, opposait l'Homme à l'animal en distinguant l'âme de la matière (res cogitan vs res extensa) et en accordant à l'Homme seul une âme, donc la capacité de penser. Il "prouva" le tout à l'aide de sa méthode rationnelle. Les monistes, pour leur part, considéraient la nature comme étant faite d'une seule et même matière qui posséderait

agilité. » En effet, la pensée est ce qui permet à l'homme de s'élever au-dessus du rang d'animal. L'homme est à cheval entre le monde matériel et le monde spirituel, il est l'étrange association de la pensée et de la matière, de la res cogitans et de la res extensa, ce qui le sépare nettement des animaux, des plantes et des objets. Les animaux supérieurs sont capables d'apprendre. Mais lorsqu'ils le font, c'est de manière entièrement expérimentale. L'homme seul est capable de transcender cet empirisme

part entière au processus de fonctionnement complexe, selon la théorie freudienne. Pour Descartes, il existe deux modalités du Sujet : la pensée, res cogitans, qui par le biais du cogito (prise de conscience d'une pensée qui se pense elle-même comme être de pensée) fait de l'individu un être conscient, et l'étendue ou construction, res extensa, qui est son enveloppe matérielle dans l'espace. C'est le dualisme substantiel qui dissocie l'Âme et le Corps. Cependant, le principe du cogito, « Je

commence par son corps. Celui-ci est par nature une figure, il est étendu et sensible. De plus, il ne peut résister au doute. De mon corps, seule la pensée est certaine, Descartes distingue donc en lui la res cogitans (chose pensante) de la res extensa (chose étendue), plus difficile à connaître. Qu’en est-il des autres corps ? Argumentation : Descartes commence par exposer l’opinion courante  : pour connaître

tu te meus avec agilit. En effet, la pense est ce qui permet lhomme de slever au-dessus du rang danimal. Lhomme est cheval entre le monde matriel et le monde spirituel, il est ltrange association de la pense et de la matire, de la res cogitans et de la res extensa, ce qui le spare nettement des animaux, des plantes et des objets. Les animaux suprieurs sont capables dapprendre. Mais lorsquils le font, cest de manire entirement exprimentale. Lhomme seul est capable de transcender cet empirisme et