La conscience, l’inconscient et le sujet
Le Sujet : subjectivité libre, foyer d’initiative, auteur et responsable de ces actes. Au sens juridique : il est soumis a des règles et des lois qui garantissent sa liberté politique, il a aussi des droits et des devoir : c’est un citoyen. Comme le voit Rousseau « les associées […] prennent collectivement le nom de peuple et s’appelle en particulier citoyen, comme le participant à l’autorité souveraine et sujets, comme soumis aux lois de l’état »La conscience : latin cum-scientia = « avec savoir » * La conscience au sens psychologique et au sens moral
On peut distinguer :
-la conscience au sens intellectuel (elle consiste en des représentations partant des faits passés, présent et futur.)
Bergson « La conscience est un trait d’union entre ce qui a été et ce qui sera un pont jeté entre le passé et l’avenir » Ainsi elle relit le passé par souvenir, présent par l’attention et futur par les projets, devenirs et souhaits. -la conscience au sens morale (consiste en des jugements de valeurs ce qui doit être ce qui est juste ou injuste)
Rousseau « Nous pouvons être homme sans être savant »
* Les degrés de conscience
Spontané ou empirique (immanente, passive, intuition direct qui accompagne nos actes automatiquement)
Réfléchie ou réflexive (Tous ce qui touche avec la critique) on peut l’attendre avec la réflexion et l’introspection. D’après Hegel elle est « pour soi ».
* Les problèmes d’identités (=égalité à soi-même suppose l’unité et la stabilité de nos états de consciences)
La Conscience selon Descartes(rationaliste) est « chose pensante » une réalité stable du fait que « je pense donc je suis » = « cogito ergo sum ».
Il fait aussi l’hypothèse d’un malin génie qui nous tromperait sur le monde dans lequel nous vivons.
Il met aussi en place ce doute est métaphysique, hyperbolique, méthodique: - métaphysique : en pensée, abstrait,