Res extensa

et surtout avec l’auto-organisation où l’autonomie, individualité, complexité, incertitude sont propres à l’objet. Le sujet a été éliminé des sciences parce qu’on ne pouvait l’étudier avec l’objectivisme. C’est l’opposition de Descartes entre le res extensa et le cogito subjectif (premier principe de réalité). En fait, l’objet existe grâce au sujet (qui l’observe, l’isole, le définit) et le sujet existe grâce à l’environnement objectif (qui lui permet d’exister et de se penser). Pour Morin, nous pensons

implicitement l’hypothèse de l’identité et de la permanence du sujet pensant à travers la diversité de ses représentations et de ses attributs. Il oppose ainsi nettement la réalité de la pensée ou chose pensante (res cogitans), dont le trait essentiel est la réflexion, à la chose corporelle (res extensa) dont le trait essentiel est l’étendue c’est-à-dire le fait d’occuper de l’espace. 2) Hume : le moi substantiel n’est qu’une fiction. La critique la plus virulente de la saisie intuitive du moi, et du

Traité de l’homme : Dieu a construit notre corps comme une machine et il voulait qu’il fonctionne comme une machine. Corps humain bien plus perfectionné que celui de l’animal. Corps animés : « substance corporelle » (res extensa) « substance pensante » (res cogitans) La différence de degré entre l’homme et l’animal se situe au niveau de la substance pensante car seul l’homme possède la pensée puisqu’il détient le langage énoncer significativement et opportunément + illustration

l’adéquation de la pensée de Montaigne avec des aspects profonds de la culture française. Descartes, chez qui la métaphysique du Cogito assure les bases d’une méthode scientifique de connaissance des choses - et de soi-même comme union de res extensa et de res cogitans -, ou Pascal, chez qui la révélation du Mystère de Jésus oriente une fois pour toutes la temporalité vécue, sembleront plus « représentatifs » à qui voudrait établir une histoire de la pensée éducative institutionnelle. Nous chercherons

substance lorsqu'elles n'ont besoin que du concours ordinaire de Dieu pour continuer à subsister; les autres choses sont des « qualités ou des attributs de ces substances » (Principes..., I, 51). Ainsi, la pensée est un attribut de la substance pensante (res cogitans), tandis que l'étendue est un attribut de la substance corporelle. Pour Descartes, la seule pensée ne peut être la cause de mon existence en tant que chose pensante: il faut un acte qui me crée, en tant que substance pensante, et me maintienne

Athéisme 1L’athéisme n’est pas que celui qui nie l’existence de Dieu. C’est une partie de la définition de l’athéisme mais elle ne regroupe pas toutes les questions. L’athéisme est une position attachée à des thèses philosophiques. L’âge classique regroupe différentes définitions de l’athéisme. Ralph Cudworth dans un traité de 1678, distingue quatre formes d’athéisme :- hylopathien. Ceux qui pensent que la matière sent. La matière inerte produit les formes.Anaximandre. Thèse en opposition avec la

l'une à l'autre. Pour poser cette thèse D propose une démonstration. Texte 6 → Descartes, Discours de la méthode, IV ème partie. Que suis-je ? Je pense, je suis mais que suis-je ? Idée principale du texte : Je suis une substance pensante (= res cogitans → chose pensante → une substance) Cette chose pensante D l'appelle aussi l'âme ou l'esprit. C'est-à-dire une réalité distinct du corps aussi bien du point de vue de son existence que du point de vue de son essence, de son être, c'est-à-dire

Ainsi, pour Descartes il n’existe dans le monde que deux types d’être, deux « substances » fondamentales différant par essence : la substance étendue (res extensa) – dont relève tout ce qui se donne à moi sur le mode de la sensation, à savoir non seulement les choses qui m’entourent, mais également mon propre corps – et la substance pensante (res cogitans), cet être « dont toute l’essence ou la nature n’est que de penser, et qui, pour être, n’a besoin d’aucun lieu, ni ne dépend d’aucune chose matérielle

(pendant la période de la Renaissance en Italie et avec Descartes en France) le sujetRené Descartes pense que le sujet pensant ( res cogitans ) = le moi, l’homme, soit créateur du non-moi, c’est a dire du monde extérieur ( res extensa ). Avec Immanuel Kant l’homme devient législateur de la nature et de la science, mais il ne peut connaître que le phénomène (le noumène reste impossible

esprit ; tout n'est que matière organisée. Descartes pose la théorie de l'animal machine et, dans les Passions de l'âme, il fait de la sensibilité humaine une mécanique complexe mais fonde sa vision du monde sur une métaphysique : Dieu a fait l'homme - res cogitans, « substance pensante » - à son image ; autrement dit, il lui a accordé la pensée pour maîtriser la nature dont il fait lui-même partie. La place de l'homme dans l'univers : l'univers entier est lisible en termes mathématiques ; l'homme lui