Replique Rapide Tirade

Le destinataire (le lecteur, le peuple français) est présent et interpellé par de nombreux verbes à l’impératif. Ainsi, le discours argumentatif se double d’un discours injonctif, pour montrer que la situation est pressante et nécessite une action rapide car les victimes du régime de Napoléon III sont déjà trop nombreuses selon Hugo. p. 458 Fiche 2 : L’énonciation ■■ Exercices pp. 458-459 1 Repérer les indices d’énonciation La forme épistolaire facilite le repérage des indices d’énonciation

forces en présence, presque à égalité (Qui appelle Aminte ? […] Mon mari va venir). Il est encore douteux que DJ soit écouté et qu’il puisse rester dans la place. La seconde phase, où s’enclenche véritablement le processus de séduction, s’ouvre sur la réplique : Ton mari, c’est moi. Aminte est tombée dans le piège de la curiosité, du désir de savoir. Elle écoute et répond, ce qui est l’aubaine du suborneur, depuis le mythe d’Eve et du serpent. La scène reprend d’ailleurs le leitmotiv du « écoute ». Un

considéré comme cyclique : il ajoute au burlesque de la pièce puisqu’il s’agit d’une aventure récurrente pour le Comte qui, se croyant débarrassé de Chérubin, tombe toujours nez à nez avec lui dans des conditions embarrassantes. L’enchainement rapide de situations drôles vient donner une cadence à la pièce. Le sous-titre de l’œuvre elle-même, « la folle journée », permet au lecteur ou spectateur d’envisager, grâce à l’adjectif, une pièce au rythme effréné, dans laquelle les péripéties s’entremêlent

particularité de cette île repose sur le fait que lorqu’un maître arrive avec son valet, les rôles de ceux-ci s’inversent. À présent donc, on a Cléanthis qui joue le rôle de maîtresse et Euphrosine le rôle de servante soumise, d’où son absence de répliques le long de l’extrait. Cette permutation de rôles a été proposée par Trivelin, qui à présent juge l’imitation de Cléanthis, pour qu’Euphrosine prenne conscience de son comportement envers sa servante et pour qu’elle change de mentalité. Ceci dit,

clairement qu'il n'a plus peur d’elle. Menacée par son fils de révéler cette affaire à tous les membres de la famille, il exige de quitter la maison pour devenir interne au collège. Acculée, Folcoche ne peut qu’accepter : Jean a enfin gagné. Dans une tirade mentale, adressée bien évidemment à Folcoche, Jean Rezeau fait le lien entre la vipère qu'il a étranglée dans son enfance et celle, matérialisée par la dureté de sa mère, qu'il a « étranglée » toute sa vie. « Merci, ma mère ! Je suis celui qui marche

Zeus m'a ordonné de venir malgré moi […] car qui parcourrait volontiers les immenses eaux salées où il n'y a aucune ville d'hommes mortels qui font des sacrifices aux Dieux et leurs offrent de saintes hécatombes? En plus de situer l'espace, cette réplique ré-implique Hermès dans une hiérarchie où il est le subordonné de Zeus, mais aussi comme supérieur à la Nymphe qui n'est pas une déesse olympienne, et ne reçoit donc pas de sacrifices. C'est d'ailleurs comme représentant de l'autorité olympienne

célébration de celui qui est le champion de la résistance aux Romains, leur ennemi implacable qui les a longtemps fait trembler, mais a été battu par Pompée. De plus, la scène centrale, la plus longue de tout le théâtre de Racine (elle comprend aussi la tirade la plus longue [108 vers], à égalité avec celle d’Agrippine dans ‘’Britannicus’’ [IV, 2]), expose un grandiose projet de conquête de I'Italie : «Annibal l'a prédit, croyons-en ce grand homme : Jamais on ne vaincra les Romains que dans Rome.» (III

Perdican qui a reçu une éducation humaniste parfaite et complète et récemment titulaire d’un doctorat, met en application son savoir et son intelligence dans ses tirades, puisque le jeune homme, très habile avec la parole, tient un discours des plus efficaces. Effectivement, il cherche à retenir l’attention de Camille comme en témoignent les apostrophes par lesquelles il l’interpelle avec les périphrases « pauvre

la pièce et au contexte historique et social (inscription dans le genre de la comédie, influences de la commedia dell'arte,...). On poursuit par une analyse du titre. On s'assure enfin de la maîtrise du vocabulaire élémentaire du théâtre (réplique, tirade, didascalie, …). • • Marivaux (1688- 1763) : carrière littéraire variée = journalisme / roman / théâtre (il écrivit de nombreuses comédie pour le Théâtre-italien). Succès reconnu au XIX et XX comme en témoignent les nombreuses mises

pièce et au contexte historique et social (inscription dans le genre de la comédie, influences de la commedia dell'arte,...). On poursuit par une analyse du titre. On s'assure enfin de la maîtrise du vocabulaire élémentaire du théâtre (réplique, tirade, didascalie, …). • Marivaux (1688- 1763) : carrière littéraire variée = journalisme / roman / théâtre (il écrivit de nombreuses comédie pour le Théâtre-italien). Succès reconnu au XIX et XX comme en témoignent les nombreuses