Recit Avec Quiproquo

longuement. =>met en scène la solitude d'un personnage qui doit prendre une décision, qui traverse une crise. L'aparté : Réplique entendue par le public mais non par l'interlocuteur pourtant en scène. => crée une complicité avec le public. Le quiproquo : Les personnages prennent 1 mot pour 1 autre ou comprennent mal 1 phrase. => Comique ou tragique, il révèle des traits de caractères. L'histoire/L'action : L'action, ou la structure dramatique (du grec drama, « action »)est constituée par

fait de ne pas être « cocu » tourne a l'obsession , et le rend ridicule, par exemple quand il tombe dans l’excès en parodiant le tragique (III, 5). Quant à Agnès, sa naïveté est tellement exagérée qu’elle fait sourire, notamment quand elle fait le récit de sa rencontre avec Horace, ou qu’elle prend au sens premier le discours de la vieille entremetteuse COMIQUE DE LANGUAGE On retrouve les personnages comiques

scène est une bévue, Thomas confond la belle-mère et la fille. Il s’adresse à Angélique avec l’apostrophe « Madame ». Béline est très jeune, Angélique ferait donc âgée.-Thomas récite par cœur sa phrase, elle manque donc de naturel.-Il est coupé par Argan avec l’antithèse entre « femme » et « fille », il arrête donc le quiproquo avec la négation totale « n’est pas ». -Thomas est dans l’incompréhension avec l’interrogation « où donc est-elle ? ». Il est impoli et ne s’excuse pas de son erreur.-il se recueille

sens). C'est le cas par ex du quiproquo, où seul le spectateur comprend la réalité de la confusion dans laquelle sont plongés les pers.  De +, derrière chaque parole, c'est le dramaturge qui en dernier lieu s'adresse à son public. Ainsi lorsque, dans Tartuffe, le faux dévot s'adresse à Elmire, son discours à pou but de séduire ; ce que Molière révèle, lui, c'est son hypocrisie. L'apologue et ses formes : 1) L'apologue : a. Définition : Un apologue est un récit qui a pour fonction d'illustrer

unité. Monologue : (n.m.) propos qu'un personnage, seul sur la scène, se tient à lui-même révélant ainsi au spectateur ses sentiments. Scène constituée par ce type de tirade. Protagoniste : acteur principal. Quiproquo : (n.m.) effet de théâtre exploitant une méprise. Récit : long développement par lequel un personnage généralement secondaire, vient exposer des faits qui se sont déroulés hors de la scène. Réplique : (n.f.) partie du dialogue prononcée d'un seul tenant par un personnage

compréhension. L’auteur ne donne que peu de détails et laisse beaucoup de choix au lecteur (comme les versions de l’épilogue). Résumé : 1er jour : Jacques et son maître font un voyage sur lequel nous n’avons pas d’informations, Jacques commence le récit de ses amours avec son engagement dans l’armée. 2ème jour : Jacques parle de sa blessure au genou qui est selon lui la plus cruelle qui soit. La discussion est interrompue par un chirurgien qui approuve Jacques. Ce dernier explique à son maitre

Ubeda et pour finir par la première version de « La Vida del Buscon » (Vie de l’aventurier don Pablos de Ségovie) de Francisco de Quevedo. L’entretien qu’à don Quichotte avec le picaro nous montre aussi la contradiction fondamentale du genre : le récit de vie doit être relaté à la fois sous forme autobiographique et à l’article de la mort (in articulo mortis). Il y a donc ambiguïté, car Ginès de Passamont n’est pas mourant, donc c’est ici une critique du picaresque, car comment finir une œuvre si

attendu et ce qui est produit. On le reconnaît précisément à trois types de comique : le comique de mots (jeux de mots, inventions langagières, répétitions) de gestes (gesticulations, poursuites, chutes...) et de situation (situations incongrues, quiproquos, amant dans l’armoire...). On le trouve évidemment dans les comédies, mais pas seulement. * Le registre satirique La visée est la critique. On se moque d’une catégorie professionnelle ou sociale, en la mettant en situation. Ainsi Molière

comédie. On distingue différentes formes de comique : le comique de mots ; le comique de répétition ; le comique de caractère ou de geste ; le jeu sur les niveaux de langage. Procédés : jeux de mots, sur les sons, répétitions, accumulations, quiproquos, hyperboles Il est assimilable au REGISTRE HUMORISTIQUE. LE REGISTRE IRONIQUE (DERIVE DE COMIQUE) L’ironie consiste à exprimer le contraire de ce que l’on veut dire et repose sur l’implicite. Il convient alors au lecteur de s’interroger sur

II)A) Comique de situation Le vaudeville fonde ses intrigues sur des quiproquos et des rebondissements de situation. Nous pouvons alors identifier un premier comique à savoir, le comique de situation. Celui-ci est produit par la situation d'un personnage dans l'histoire qui est racontée (surprises, rebondissements, retournements...) Par exemple : Pinchard tout surpris de voir un homme dans le lit de sa femme et Pontagnac qui pense que Lucienne va le prendre comme amant. Ainsi Feydeau plonge ses