Recit Avec Quiproquo

subjectivité propre qui a sa sensibilité. Dans ce cas-là la densité du langage en fait un obstacle. Le langage n’est pas neutre. Par exemple lors d’une déclaration amoureuse, l’individu peut bafouiller, buter sur les mots, utiliser les mauvais et créer des quiproquos. Cette intimité de la parole se retrouve aussi dans la contemplation d’œuvre d’art. Lorsque nous allons au musée nous avons tendance à nous demander devant une œuvre «  ce qu’on peut en dire » mais peut-on réellement dire l’œuvre d’art ? Selon

critique. Certains dialogues sont un miroir critique des relations qui lient maîtres et domestiques. De plus, dans Le jeu de l’amour et du hasard, le comique de situation est présent dans les scènes d’aveux embarrassants des valets dans lesquelles le quiproquo fait rire mais est, une fois de plus, le révélateur de l’aliénation sociale. Cette pièce met en scène une famille dont les rapports ne sont pas ordinaires. En effet, le père de Silvia ne lui impose pas de se marier, il la laisse libre de son choix

prisonnière. . * Acte II - Arnolphe réprimande Alain et Georgette, ses serviteurs, pour avoir permis à un jeune homme de rencontrer sa pupille. Il interroge ensuite Agnès afin de découvrir ce qui s’est précisément passé lors de cette entrevue. Le récit que lui fait la jeune fille le rassure : sa réputation n’a pas été entachée. Mais il décide de précipiter le mariage. Agnès, croyant que son futur mari est Horace, lui exprime sa gratitude, mais Arnolphe la détrompe sans ménagements. * Acte III -

parodies, des emprunts, des pastiches, des allusions. Rostand, pour écrire son œuvre, se base sur plusieurs œuvres et utilise de nombreux personnages historiques comme modèles. Dans certains passages, par exemple à l’acte III, scène 13, pour le récit de Cyrano à De Guiche racontant les différents procédés de Cyrano pour monter dans la lune, Rostand s’inspire de L’Autre Monde de Cyrano, publié en 1657 : « Je pouvais, mettant mon corps nu comme un cierge, Le caparaçonner de fioles de cristal

première scène de la tragédie, Hippolyte, prétextant vouloir retrouver son père, révèle à son confident sa passion secrète pour Aricie. La scène de confidence, du jeune héros à son gouverneur, est motivée par le fait qu’elle repose sur une forme de quiproquo, Théramène ne sachant pas interpréter les propos d’Hippolyte sans jamais être dupe de ses prétextes et poussant toujours plus loin le jeune homme à révéler son inquiétude : le motif de la fuite installe d’emblée une atmosphère tragique. La

Laverdure est le perroquet de Turandot, gérant du bar la Cave. Il prête son appartement au-dessus du bar à Gabriel. Son perroquet dit toujours : « tu causes, tu causes, c’est tout ce que tu sais faire ». Marceline (Marcel) : Femme de Gabriel au début du récit, et qui peut être à la fin du roman deviendrait Marcel. Analyse d’un chapitre : Chapitre VI: Pendant que l'homme se renseigne sur le travail de son oncle, Zazie essaye son jean. Maintenant, Pédro-surplus «accuse » Gabriel d'être homosexuel à cause

un combat entre le Romantisme et le Classicisme. En effet les dramaturges refusent de respecter les codes théâtraux en revendiquant leur liberté d’écriture. Les genres les plus populaires sont le Drame romantique, le Mélodrame et le Vaudeville. Les récits sont généralement inspirés par le théâtre de Shakespeare et les romantiques Allemands.Les dramaturges les plus réputés:Victor HugoAlfred de MussetLe théâtre au XIXème siècle Le Drame Romantique: Il est théorisé par Victor Hugo dans la Préface de Cromwell

bien que ce sont eux qui se rendent chez les della Rebbia. Orso est en fait en pleine forme et lorsqu'il apparaît, les deux fils Barricini sont furieux. Orso est obligé de s'excuser. Le préfet reprend l'initiative et indique aux Barricini que le quiproquo entre les deux familles est résolu. C'est alors que Colomba s'interpose et apporte la preuve de la culpabilité des Barricini. La situation s'envenime. Les frères Barricini deviennent menaçants. Le préfet est indigné d'être mêlé à ces deux bandits

lumières et naissance d’une sensibilité littéraire: le préromantisme.  Les Lumières est un courant Européen, de réflexion scientifiques, politiques et sociales. En bref,  Le XVIIIème siècle est le siècle de des mœurs. Des auteurs rapportent des récits l’évolution de voyage. Ex. Bougainville de Diderot.  La rencontre avec d’autres cultures fait évoluer la pensée. On compare les civilisations et on constate que la morale et les habitudes sont relatives.  Le XVIIIème siècle est un siècle

perspicacité quasi surnaturelle (découvre Roméo sous son masque). • Il tue et meurt (passe de bourreau à victime) et enclenche le drame (exil de Roméo, vendetta : voir la promesse de Lady Capulet à Juliette) • Source d’un quiproquo (les pleurs de Juliette : voir le récit de Laurence à la fin) • Présence tragique aux moments les plus sombre : rencontre R & J ; mort de Mercutio ; dans le caveau, sa présence demeure. • Vite oublié par les Capulets (pleurs de circonstances, voir L. Capulet ; reproches